Religion (histoire des idées) (French Wikipedia)

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abbaye-saint-benoit.ch

  • À propos de l'usage ancien qui consistait à désigner une communauté religieuse comme une religion, cf. l'article Religion sur le site du Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales ; voir aussi l'Homélie sur la perle sur le site du monastère Saint-Benoît de Port Valais, un texte anonyme du XIIe siècle un temps attribué à Bernard de Clairvaux ; voir enfin le Code de droit canonique de 1917, en particulier les canons 487-681. Le canon 488 pose la définition suivante : « Religion : une société approuvée par l’autorité ecclésiastique légitime, dans laquelle les membres, conformément aux lois de cette société, émettent des vœux publics, soit perpétuels, soit temporaires, - lesquels doivent être renouvelés quand expire le temps pour lequel ils furent émis -, de cette façon les membres tendent à la perfection évangélique. »

augustinus.it

  • La dimension d'abord populaire de l'usage d'appeler paganos les non-chrétiens est signalée par Augustin, Lettre 184, « vel Gentiles, vel iam vulgo usitato vocabulo Paganos appellare consuevimus » (Les Gentils, ou bien ceux que l'on appelle d'habitude païens selon le terme communément employé), texte latin sur Augustinus.it ; ainsi que par une loi de 409 reprise dans le code de Théodose, XVI, 5, 46, quos vulgo paganos appellant, Texte latin sur The Latin Library.

bnf.fr

gallica.bnf.fr

  • Publié en 1883, le Grand dictionnaire de la langue latine basé sur les travaux du philologue allemand Freund indique que religio, pris au sens subjectif, pouvait se comprendre comme « délicatesse résultant des sentiments religieux, scrupule, inquiétude de conscience, crainte religieuse, crainte superstitieuse » ,Grand dictionnaire de la langue latine, 1865, art. « Religio », t.3, p.71. Lecture en ligne sur Gallica.

clerus.org

  • À propos de l'usage ancien qui consistait à désigner une communauté religieuse comme une religion, cf. l'article Religion sur le site du Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales ; voir aussi l'Homélie sur la perle sur le site du monastère Saint-Benoît de Port Valais, un texte anonyme du XIIe siècle un temps attribué à Bernard de Clairvaux ; voir enfin le Code de droit canonique de 1917, en particulier les canons 487-681. Le canon 488 pose la définition suivante : « Religion : une société approuvée par l’autorité ecclésiastique légitime, dans laquelle les membres, conformément aux lois de cette société, émettent des vœux publics, soit perpétuels, soit temporaires, - lesquels doivent être renouvelés quand expire le temps pour lequel ils furent émis -, de cette façon les membres tendent à la perfection évangélique. »

cnrs.fr

www2.cnrs.fr

  • Le concept de « confessionnalisation » a été développé depuis les années 1980, surtout par des chercheurs allemands (Heinz Schilling et Wolfgang Reinhard), pour décrire la façon dont se sont construites les « confessions » telles que le calvinisme, le Luthéranisme ou le catholicisme à la suite de la Réforme. Cf, Jean-Claude Monot, Sécularisation et laïcité, Paris, PUF, Philosophies n°193, 2007, « La diversification des voies nationales, sécularisation, confessionnalisation, laïcité, religion civile... » pp.75-112, (ISBN 978-2-13-054180-6) ; voir aussi Wolfgang Reinhard, Papauté, confessions, modernité, trad. Florence Chaix, Paris, Éditions de l'École des hautes études en sciences sociales, coll. Recherches d'histoire et de sciences sociales n°81, 1998. (ISBN 2-7132-1256-1) ; explication du problème sur le site du CNRS ; présentation du concept sur le site de l'IESR

cnrtl.fr

  • À propos de l'usage ancien qui consistait à désigner une communauté religieuse comme une religion, cf. l'article Religion sur le site du Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales ; voir aussi l'Homélie sur la perle sur le site du monastère Saint-Benoît de Port Valais, un texte anonyme du XIIe siècle un temps attribué à Bernard de Clairvaux ; voir enfin le Code de droit canonique de 1917, en particulier les canons 487-681. Le canon 488 pose la définition suivante : « Religion : une société approuvée par l’autorité ecclésiastique légitime, dans laquelle les membres, conformément aux lois de cette société, émettent des vœux publics, soit perpétuels, soit temporaires, - lesquels doivent être renouvelés quand expire le temps pour lequel ils furent émis -, de cette façon les membres tendent à la perfection évangélique. »

documentacatholicaomnia.eu

federatio.org

  • Victor Segesvary, L’Islam et la Réforme., éd. University Press of America, 2002, p.26 texte en ligne

google.fr

books.google.fr

  • Pierre Charron, Réplique sur la Réponse faite à la troisième Vérité., 1595, p. 231. Lecture sur Google Book. Le Dictionnaire historique de la langue française et les ouvrages qui le cite signalent que le premier emploi du terme « catholicisme » remonte à 1598, dans le Recueil des choses mémorables des choses mémorables avenues en France sous le règne de Henri II.
  • François Xavier Lanthenas, Religion civile proposée aux Républiques, 1793, lecture sur Google books

inist.fr

documents.irevues.inist.fr

  • Habib Bacha, « Tanqih al-abhat li-l-milal al-talat d'Ibn Kammuna », dans Parole d'Orient, vol.2, n°1, 1971. p. 151-162. Disponible sur irevues.inist.fr

issn.org

portal.issn.org

  • John Scheid, « Politique et religion dans la Rome antique. Quelle place pour la liberté de culte dans une religion d’État ? », La Vie des idées, 28 juin 2011. Lecture sur laviedesidées.fr (ISSN 2105-3030)

laviedesidees.fr

  • John Scheid, « Politique et religion dans la Rome antique. Quelle place pour la liberté de culte dans une religion d’État ? », La Vie des idées, 28 juin 2011. Lecture sur laviedesidées.fr (ISSN 2105-3030)

persee.fr

  • Scheid John. « Le délit religieux dans la Rome tardo-républicaine », in Le délit religieux dans la cité antique. Actes de la table ronde de Rome (6-7 avril 1978). Publications de l'École française de Rome n°48, Rome, École Française de Rome, 1981. pp. 117-171.

remacle.org

  • Plaute, Curculio (Charançon), v.355 « religio fuit, denegare nolui. » ; Mercator (Le Marchand), v.881, « Religionem illic obiecit, recipiam me illuc. » ; Asinaria, v.782 (« si magis religiosa fuerit, tibi dicat, tu pro illa ores, ut sit propitius. » ; Térence, Adrienne, IV,3 (« nova nunc religio in te istaec incessit ») et V,4 (« Dignus es cum tua religione, odium... ! ») ; Héautontimoruménos, I,3 (« nil esse mihi religio est dicere ») et IV,1 (« Ut stultae et misere omnes sumus religiosae »). Ces textes sont disponibles avec traduction sur L’antiquité grecque et latine.
  • Minucius Felix, Octavius, 2 occurrences chapitres 1 et 38. Octavius, texte latin. ; traduction en français

revues.org

crm.revues.org

sorbonne.fr

iesr.ephe.sorbonne.fr

  • Le concept de « confessionnalisation » a été développé depuis les années 1980, surtout par des chercheurs allemands (Heinz Schilling et Wolfgang Reinhard), pour décrire la façon dont se sont construites les « confessions » telles que le calvinisme, le Luthéranisme ou le catholicisme à la suite de la Réforme. Cf, Jean-Claude Monot, Sécularisation et laïcité, Paris, PUF, Philosophies n°193, 2007, « La diversification des voies nationales, sécularisation, confessionnalisation, laïcité, religion civile... » pp.75-112, (ISBN 978-2-13-054180-6) ; voir aussi Wolfgang Reinhard, Papauté, confessions, modernité, trad. Florence Chaix, Paris, Éditions de l'École des hautes études en sciences sociales, coll. Recherches d'histoire et de sciences sociales n°81, 1998. (ISBN 2-7132-1256-1) ; explication du problème sur le site du CNRS ; présentation du concept sur le site de l'IESR

thelatinlibrary.com

  • La dimension d'abord populaire de l'usage d'appeler paganos les non-chrétiens est signalée par Augustin, Lettre 184, « vel Gentiles, vel iam vulgo usitato vocabulo Paganos appellare consuevimus » (Les Gentils, ou bien ceux que l'on appelle d'habitude païens selon le terme communément employé), texte latin sur Augustinus.it ; ainsi que par une loi de 409 reprise dans le code de Théodose, XVI, 5, 46, quos vulgo paganos appellant, Texte latin sur The Latin Library.

tsr.ch

archives.tsr.ch

  • Jean-Pierre Vernant, Mythe et religion dans la Grèce ancienne, Paris, Seuil, 1990. Sur le même thème, voir aussi la série de huit entretiens avec Jean-Pierre Vernant sur le site de la TSR

uchicago.edu

artflx.uchicago.edu

wikipedia.org

en.wikipedia.org

  • Pour une thèse sur la permanence de la religion à partir des neurosciences, cf, Andrew B. Newberg (en) et alii, Pourquoi Dieu ne disparaîtra pas, Quand la science explique la religion, Paris Sully, 2003 (ISBN 978-2702889633)

wikisource.org

fr.wikisource.org

  • « Platon, Euthyphron, 14b » (consulté le )
  • Michel de Montaigne, Journal de voyage en Italie, 1580-1581, « Bâle ». De passage à Bâle avec son secrétaire, ce dernier écrit « M. de Montaigne jugea qu’ils étaient mal d’accord de leur religion pour les réponses qu’il en reçut : les uns se disant zwingliens, les autres calvinistes, et les autres martinistes ; et il fut averti que plusieurs couvaient encore la religion romaine dans leur cœur. » ; « Toutes les villes impériales ont liberté de deux religions, catholique ou luthérienne, selon la volonté des habitants. » Texte en vieux français sur Wikisource : Michel de Montaigne, Journal du voyage en Italie par la Suisse et l'Allemagne.
  • Kant, Éléments métaphysiques de la doctrine du droit, 1784. Lecture sur wikisource