Voyez la notice de Paul Verhaegen, Taintenier (Charles Philippe Bonfils) jurisconsulte, dans la Biographie nationale, Tome 24, col. 490-491, Bruylant, Bruxelles, 1926-1929, à lire en ligne [2].
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Henri Dehérain, « La correspondance archéologique du Baron Jean de Witte, conservée a la bibliothèque de l'institut. (premier article) », Journal des savants, vol. 11, , p. 362–370 (DOI10.3406/jds.1913.5865, lire en ligne, consulté le )
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Emmanuel Hoyois, Documents et particularités historiques sur le Catalogue du comte de Fortsas, , 222 p. (lire en ligne), p. 5.
Renier Hubert G. Chalon, Catalogue d'une collection de livres provenant de la bibliothèque de feu m le comte J.-N.-A. de Fortsas [a jeu d'esprit by R.H.G. Chalon]., , 64 p. (lire en ligne).
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Victoire Taintenier serait une descendante directe du peintre David Teniers, mais cette hypothétique filiation reste à prouver sur titres : voyez notamment sur les origines des Teniers, l'étude de Jules Dewert, Origine wallonne des peintres Teniers, dans le Bulletin de la Commission royale d'Histoire, Année 1911, n° 80, pp. 287-319, à lire en ligne dans le Portail Persée [1]. Cela étant, la grand-mère maternelle de Charles Philippe Bonfils Taintenier, père de Victoire, aurait été Anne Caroline Teniers, née en 1696 à Ath, épouse de Germain de Cassaignard, qui fut capitaine dans le régiment du prince de Ligne. Cette dernière serait ainsi la fille de Louis Teniers (Bruxelles 1662 - mort à Philippeville avant 1721) et la petite-fille du peintre David II le jeune Teniers qui avait épousé en premières noces Anna Brueghel et en secondes noces Isabelle de Fren. Cette filiation est exposée dans l'étude de Jules Dewert mentionnée ci-avant.
Henri Dehérain, « La correspondance archéologique du Baron Jean de Witte, conservée a la bibliothèque de l'institut. (premier article) », Journal des savants, vol. 11, , p. 362–370 (DOI10.3406/jds.1913.5865, lire en ligne, consulté le )
