« La chronique littéraire », France Musique, par Christophe Bourseiller, le . « Dans un vagabondage souvent personnel et parfois intime, Richard Millet nous rappelle que nous sommes tous les enfants de la Méditerranée. »
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« Celui qui ne l’aime pas ne sait non seulement pas vivre mais n’est pas capable de mener cette existence au-delà du temps et peut-être de la vie » in La Forteresse (cité par Franz-Olivier Giesbert, in« Richard Millet : un silence de mort », Revue des Deux Mondes, février 2023, p. 87-89).
« […] mon intolérance au bruit et à la chiennerie humaine, écrit-il, [est] infiniment supérieure à celle de la plupart des gens, à une époque d’ailleurs de plus en plus bruyante, vulgaire, violente » (cité par Franz-Olivier Giesbert, in« Richard Millet : un silence de mort », op. cit.).
« L’écrivain répondit pour sa défense que, dans son texte, il condamnait par deux fois l’action du forcené dont il dressait un portrait peu flatteur. Pour le titre, il plaida l’ironie. Que ce fût le cas ou qu’il s’agît d’une provocation, ce titre était malheureux » (cité par Franz-Olivier Giesbert, in« Richard Millet : un silence de mort », op. cit.).
Mohamed Aït-Aarab, « Une lecture de l'Éloge littéraire d'Anders Breivik, de Richard Millet, à la lumière de la littérature pamphlétaire de l'entre-deux guerres », Travaux & documents, no 47, , p. 139 (lire en ligne, consulté le ).