Eudald Carbonell, Marina Mosquera, Andreu Ollé, Xosé Pedro Rodríguez, Robert Sala, Josep Maria Vergès, Juan Luis Arsuaga et José María Bermúdez de Castro, « Did the earliest mortuary practices take place more than 350 000 years ago at Atapuerca », L'Anthropologie, Elsevier, 1re série, vol. 107, , p. 1-14 (DOIdoi:10.1016/S0003-5521(03)00002-5, lire en ligne)
Marie-Pierre Terrien, La christianisation de la région rhénane du IVe au milieu du VIIIe siècle, Presses Univ. Franche-Comté, (lire en ligne), p. 91
Danièle James-Raoul, Claude Thomasset, Claude Thomasset, De l'écrin au cercueil : essais sur les contenants au Moyen Âge, Presses Paris Sorbonne, (lire en ligne), p. 102
précisément par ex, 534 795 pour l’année 2011,source INSEE
khandro.net
Le recours aux chiens sauvages, entre autres animaux, est attesté pour les années 1980 dans le livre de Niema Ash, Flight of the Wind Horse. A Journey into Tibet, paru en 1990 et préfacé par le 14e dalaï-lama : « Those who cannot afford it (the sky burial) have to make do with putting their dead out on the high rocks for birds and other animals such as wild dogs », Niema Ash, Flight of the Wind Horse. A Journey into Tibet, Random House, 1990, 208 p. Cf. l'extrait publié sur le site Khandro.net à la page « Vulture ».
Tatu Florin, « Rite funéraire dans la Grèce antique », wordpress.com, (lire en ligne)
lisez.com
Dominique Sewane, Le Souffle du Mort - La tragédie de la mort chez les Batammariba (Togo-Bénin), Paris, Plon, coll. « Collection Terre humaine, », , 720 p. (ISBN978-2-259-28262-8, lire en ligne), quatrième de couverture
« Vultures - previously kept at bay by men waving sticks - then complete the job of disposal, often helped by wild dogs. », Sky Burials Of Tibet, Lonely Planet, repris par phayul.com
public.lu
legilux.public.lu
Arrêté du Gouverneur général du 20 août 1814 concernant la police des inhumations : « Comme il convient, de rendre aux morts les derniers honneurs, dus à la dignité de l'homme, il est du devoir des autorités locales, ainsi que cela est conforme à la lettre et à l'esprit du décret, qu'un des membres de la municipalité accompagne jusqu'au tombeau les personnes qui ne peuvent pas l'être par un ecclésiastique de leur religion, parce qu'il ne s'en trouve pas dans la commune. »
Eudald Carbonell, Marina Mosquera, Andreu Ollé, Xosé Pedro Rodríguez, Robert Sala, Josep Maria Vergès, Juan Luis Arsuaga et José María Bermúdez de Castro, « Did the earliest mortuary practices take place more than 350 000 years ago at Atapuerca », L'Anthropologie, Elsevier, 1re série, vol. 107, , p. 1-14 (DOIdoi:10.1016/S0003-5521(03)00002-5, lire en ligne)