Florian Rubis, « Angoulême 2011 : Riyoko Ikeda, la voix du shôjo manga », sur actuabd.com, : « […] cette artiste nippone, « monument national » au Japon, qui avait déjà reçu, le 11 mars 2009, les insignes de chevalier de l’Ordre national de la Légion d’honneur des mains de l’ambassadeur français à Tôkyô. »
« Le Manga », sur Les Roses de Versailles : « A l'époque, aborder un sujet historique dans, un shojo manga (manga pour filles) était en soi une grande aventure. Pour la réalisation de ce projet, j'ai dû convaincre la rédaction qui était sceptique, en arguant que même un sujet historique, s'il est traité de façon drôle, et compréhensible, pouvait faire un tabac... »
(en) Nobuko Anan, Contemporary Japanese Women’s Theatre and Visual Arts : Performing Girls’ Aesthetics, Springer, , 229 p. (ISBN978-1-137-37298-7, lire en ligne)
Lloyd Chéry, « L'art du shōjo manga en 3 leçons avec l'auteure de Takane & Hana », sur Le Point, : « Mais connaissez-vous les shōjos ? Les mangas pour jeunes filles sont très populaires au pays du Soleil-Levant. Le genre vit un âge d'or dans les années 70 avec Lady Oscar de Riyoko Ikeda. »
Romain Brethes, « Manga-Antoinette à Angoulême », sur Le Point, : « Riyoko Ikeda, qui a obtenu la Légion d'honneur en 2009 pour son rôle déterminant en faveur de la culture française au Japon [...] »
manga-news.com
« Dossier Riyoko Ikeda - Partie 2 », sur manga-news.com : « L’hyper case fait déborder décors et personnages sur toute la page sans se limiter aux cases »
« Riyoko Ikeda Fan Site », sur www.riyokoikedafansite.org (consulté le ) : « Selon ces éditeurs un Shōjo manga historique aurait tout simplement ennuyé les lecteurs. Les convaincre du contraire n'a pas été facile mais après plusieurs heures de discussion ils ont pu trouver un compromis. »