(en) Ernesto Pontieri, « Robert, duke of Apulia », Encyclopedia Britannica. [lire en ligne].
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G.-R. Jeanne, « L'évocation romantique d'un héros normand », Études Normandes, vol. 35, no 4, , p. 19–30 (DOI10.3406/etnor.1986.2694, lire en ligne, consulté le ).
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Jean Yver, « “Vavassor” : Note sur les premiers emplois du terme », Annales de Normandie, vol. 40, no 1, , p. 31-48 (lire en ligne, consulté le ).
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Catherine Hervé-Commereuc, « La Calabre dans l'État normand d'Italie du Sud (XIe – XIIe siècles) », Annales de Normandie, 1995 [3].
Anne Comnène : « En détroussant les voyageurs, il se procurait des chevaux et aussi d'autres dépouilles et des armes. Ainsi les débuts de sa vie se passaient-ils à verser le sang et à commettre de nombreux meurtres. », Jean Decarreaux, « La grande aventure de Robert Guiscard », Revue des Deux Mondes, décembre 1970. [2].
(it) Vito Loré, « Roberto d’Altavilla », Dizionario Biografico degli Italiani, Volume 87, 2016. [lire en ligne].
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Edward Gibbon : « Les auteurs et les éditeurs normands qui connaissaient le mieux leur langue, traduisaient le mot Guiscard ou Wiscard, par Callidus, un homme rusé et astucieux. La racine Wise est familière aux oreilles anglaises, et l’ancien mot Wiseacre, offre à peu près le même sens et la même terminaison. Την ψυχην πανουργοτατος rend assez bien le surnom et le caractère de Robert. » Histoire de la décadence et de la chute de l’Empire romain, traduction Guizot, 1819, tome 11/LVI, p. 132. [1].
Edward Gibbon (trad. Guizot), Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain, t. 11/LVI, (lire sur Wikisource), p. 166.