Voir l'article d'Éliane Daphy, ethnologue, « Bohémienne aux grands yeux noirs… Essai sur le personnage tzigane dans la chanson », in Études tsiganes nlle série vol. 9 (Les Tsiganes de la littérature, La littérature des Tsiganes, Patrick Williams et Evelyne Pommerat eds.), p. 113- 128 (5 ill.) disponible en archives ouvertes sur Hal-SHS.
Michel Foucher, Les minorités en Europe centrale et orientale, Éditions du Conseil de l'Europe, 1994, cité par Jean-Pierre Liégeois, « Les Roms au cœur de l'Europe », Le Courrier des pays de l'Est, no 1052, 2005-2006, p. 19-29.
Jean-Pierre Liégeois, Roms et Tsiganes, La Découverte, 2019, p. 23 (en ligne).
Archives de Loire-Atlantique, no 43 W 145, cité par Collectif, Telles furent nos jeunes années : Le Pays castelbriantais sous l'occupation, Chateaubriant, La Mée socialiste, coll. « Les dossiers de la Mée », , 2e éd. (1re éd. 2003), 304 p. (présentation en ligne, lire en ligne), p. 24.
Claire Pedotti et Mickaël Guet, « Contribution au glossaire sur les Roms », Conseil de l'Europe, dernière mise à jour : 11 septembre 2008, consulté le 14 octobre 2010. Une version de ce document est présente en annexe de Liégeois 2007, p. 295-311. Il existe aussi une version anglophone sur le site de l'OSCE (dernière mise à jour 11 décembre 2006) : « The Roma are – with the Sinti and Kale – one of the three main branches of the Roma (generic term), (…) ».
(en) Marcel Courthiade, « The Rromani Endaja (Groups) », dans Alexandra Raykova, Report of the seminar "Cultural Identities of Roma, Gypsies, Travellers and related Groups in Europe", Strasbourg, 15-16 September 2003, Strasbourg, Conseil de l'Europe, (lire en ligne).
Paul Bataillard, « Sur les origines des Bohémiens on Tsiganes. », Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris, vol. 10, no 1, , p. 546–557 (ISSN0301-8644, DOI10.3406/bmsap.1875.3170, lire en ligne, consulté le ).
(en) Gaja Maestri et Tommaso Vitale, « A sociology of the camps' persisting architecture. Why did Rome not put an end to expensive ethnic housing policies? », dans Manuela Mendes, Teresa Sá & João Cabral, Architecture and the Social Sciences. Inter- and Multidisciplinary Approaches between Society and Space., Spriger, (ISBN978-3-319-53476-3, DOI10.1007/978-3-319-53477-0_13, lire en ligne), p. 197-218.
errc.org
(en) « Exclusion of Roma from Employment », THE GLASS BOX, , p. 25 (lire en ligne).
(en) « Exclusion of Roma from Employment », THE GLASS BOX, , p. 31 (lire en ligne).
Chiffre maximum selon Vincent Nara Ritz, représentant de l’association tsigane Regards (cité par le Centre européen pour les droits des Roms, Hors d'ici! Anti-tsiganisme en France, Série des rapports pays, no 15, novembre 2005, (ISBN963 86955 1 X), p. 47, §2 : « Le nombre de personnes ayant des documents de circulation doit être multiplié au moins par trois, si on s’appuie sur une estimation très conservatrice du nombre moyen d’enfants par famille. Ce qui ferait un total d’environ 600 000. Ensuite, vous devez ajouter ces personnes qui voyagent sans documents de circulation (étant donné qu’ils ont une carte d’identité) et ces personnes qui sont d’origine tsigane mais n’ont pas un mode de vie nomade. Ces groupes totalisent au moins autant de gens que ceux ayant des documents de circulation, ce qui porte le total au moins à 1 200 000 ou 1 300 000. »).
Donald Kenrick, The Romani world : a historical dictionary of the the gypsies, Scarecrow Press, 2007 (lire en ligne[PDF]), p. 215 :
« Derivation from the god Rama is unlikely. »
(en) Donald Kenrick, Historical Dictionary of the Gypsies (Romanies), Scarecrow Press, 2007, p. 138 (en ligne).
(es) Miguel Laparra et Ángel García, « Una comunidad gitana de tamaño y perfiles todavía imprecisos », dans Diagnóstico social de la comunidad gitana en España : Un análisis contrastado de la Encuesta del CIS a Hogares de Población Gitana 2007, Ministerio de Sanidad, Política Social e Igualdad (lire en ligne), p. 27, basé sur Situación social y tendencias de cambio en la Comunidad Gitana Coordinación de Miguel Laparra Navarro, p.15.
Joseph Valet, Vocabulaire des Manouches d'Auvergne, Clermont-Ferrand, , 190 p. (HALhal-03881791, lire en ligne), cité par Patrick Williams, Nous, on n'en parle pas : les vivants et les morts chez les Manouches, Maison des Sciences de l'homme, 1993, p. 47.
shs.hal.science
Joseph Valet, Vocabulaire des Manouches d'Auvergne, Clermont-Ferrand, , 190 p. (HALhal-03881791, lire en ligne), cité par Patrick Williams, Nous, on n'en parle pas : les vivants et les morts chez les Manouches, Maison des Sciences de l'homme, 1993, p. 47.
La constitution (Pravila) des Principautés danubiennes en tant qu'états chrétiens vassaux d'un empire musulman (l'Empire ottoman) et ainsi situées dans le Dar el Ahd ("domaine de la trêve", en arabe : دار العهد), définit de jure les statuts des différents groupes d'habitants : les chrétiens orthodoxes seuls, « robs » inclus, relevaient de l'autorité du voïvode ou hospodar (domnitor), bénéficiant de la protection de l'Église orthodoxe ; les musulmans, avdétis, romaniotes et séfarades étaient sujets et protégés du sultan turc ; les catholiques, protestants et ashkénazes étaient sujets et protégés de l'Empire des Habsbourg ou des états d'Europe centrale et occidentale dont ils étaient originaires : voir Gilles Veinstein et Mihnea Berindei : op. cit., EHESS 1987, et Viorel Achim du Groupe de recherches sur l'histoire des Minorités, Documente despre istoria Romilor (Documents de l'histoire des Roms), Institutul Naţional de Istorie « Nicolae Iorga » 2013, sur [1].
issn.org
portal.issn.org
Paul Bataillard, « Sur les origines des Bohémiens on Tsiganes. », Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris, vol. 10, no 1, , p. 546–557 (ISSN0301-8644, DOI10.3406/bmsap.1875.3170, lire en ligne, consulté le ).
Archives de Loire-Atlantique, no 43 W 145, cité par Collectif, Telles furent nos jeunes années : Le Pays castelbriantais sous l'occupation, Chateaubriant, La Mée socialiste, coll. « Les dossiers de la Mée », , 2e éd. (1re éd. 2003), 304 p. (présentation en ligne, lire en ligne), p. 24.
la-croix.com
Bernard Gorce, gens du voyage, deux réalités différentes, La Croix, 22 juillet 2010 : « L'interdiction de statistiques ethniques empêche de donner un chiffre précis des Roms français, mais on cite souvent le nombre de 350 000 personnes. Pour les gens du voyage, l'administration recensait 160 000 titres de circulation en 2006, délivrés aux personnes âgées de 16 à 80 ans ».
larousse.fr
Dans cet article est utilisée la graphie Rom avec un seul R plutôt qu'avec deux, même si les deux phonèmes sont distincts dans certains parlers romani, car elle est utilisée dans plusieurs publications universitaires (voir les titres dans la bibliographie ci-après), ainsi qu'un dictionnaire et une encyclopédie francophones : « rom », dictionnaire Larousse et Encyclopædia Universalis, consultés le 7 octobre 2010).
témoignage de Jean Henrique paru le 27 avril 1995 dans le quotidien Centre-Presse, cité par Jacques Sigot dans Les déportés du camp de Poitiers, memoires-tsiganes1939-1946.fr consulté le 3 octobre 2010.
(es) Miguel Laparra et Ángel García, « Una comunidad gitana de tamaño y perfiles todavía imprecisos », dans Diagnóstico social de la comunidad gitana en España : Un análisis contrastado de la Encuesta del CIS a Hogares de Población Gitana 2007, Ministerio de Sanidad, Política Social e Igualdad (lire en ligne), p. 27, basé sur Situación social y tendencias de cambio en la Comunidad Gitana Coordinación de Miguel Laparra Navarro, p.15.
Manuel Valls déclarait l'été 2013 que « Les Roms ont vocation à rester en Roumanie ou à y retourner » sur [2].
nih.gov
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(en) Laboratory of Molecular Genetics, Western Australian Institute for Medical Research and UWA Centre for Medical Research (Université d'Australie-Occidentale), « Mutation history of the roma/gypsies », (consulté le ).
Claire Pedotti et Mickaël Guet, « Contribution au glossaire sur les Roms », Conseil de l'Europe, dernière mise à jour : 11 septembre 2008, consulté le 14 octobre 2010. Une version de ce document est présente en annexe de Liégeois 2007, p. 295-311. Il existe aussi une version anglophone sur le site de l'OSCE (dernière mise à jour 11 décembre 2006) : « The Roma are – with the Sinti and Kale – one of the three main branches of the Roma (generic term), (…) ».
Paul Bataillard, « Sur les origines des Bohémiens on Tsiganes. », Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris, vol. 10, no 1, , p. 546–557 (ISSN0301-8644, DOI10.3406/bmsap.1875.3170, lire en ligne, consulté le ).
Ian F. Hancock et Dileep Karanth, Danger! Educated gypsy: selected essays, University of Hertfordshire Press, (ISBN978-1-902806-98-3, lire en ligne), p. 99–101.
Ralph Schor, « Emmanuel Filhol, Un camp de concentration français. Les Tsiganes alsaciens-lorrains à Crest, 1915-1919 », Revue européenne des migrations internationales, vol. 22 - no 1 | 2006, [en ligne], mis en ligne le 27 novembre 2008. Adresse Web : http://remi.revues.org/index4080.html. Consulté le 24 septembre 2010.
(en) Gaja Maestri et Tommaso Vitale, « A sociology of the camps' persisting architecture. Why did Rome not put an end to expensive ethnic housing policies? », dans Manuela Mendes, Teresa Sá & João Cabral, Architecture and the Social Sciences. Inter- and Multidisciplinary Approaches between Society and Space., Spriger, (ISBN978-3-319-53476-3, DOI10.1007/978-3-319-53477-0_13, lire en ligne), p. 197-218.
Elena Marushiakova et Veselin Popov, « Roma Muslims in the Balkans », Education of Roma Children in Europe, Council of Europe, (consulté le ).
universalis.fr
Dans cet article est utilisée la graphie Rom avec un seul R plutôt qu'avec deux, même si les deux phonèmes sont distincts dans certains parlers romani, car elle est utilisée dans plusieurs publications universitaires (voir les titres dans la bibliographie ci-après), ainsi qu'un dictionnaire et une encyclopédie francophones : « rom », dictionnaire Larousse et Encyclopædia Universalis, consultés le 7 octobre 2010).
Cette affiche, extraite de l'ouvrage de Ian F. Hancock Pariah Syndrome : An Account of Gypsy Slavery and Persecution, Karoma Publishers, Ann Arbor, Michigan, 1987, (ISBN0897200799), est utilisée plusieurs fois sur Wikipédia mais son authenticité est contestée dans Talk:Slavery in Romania car à cette époque on n'utilisait pas encore l'écriture latine, les expressions Sclavi ţigăneşti et în condiţie fină sont des calques linguistiques de l'anglais Gypsy slaves, in fine condition (en roumain correct de l'époque on aurait dit Robi ţigani, sănătoşi) et il est impossible de trouver cette image ailleurs que dans l'œuvre de Hancock, qui présente d'autres affiches semblables, telle Discuție:Robia în țările române#/media/File:200 de familie de țigani de vânzare.jpg (dans Ian F. Hancock, We Are the Romani People, University of Hertfordshire Press, 2002, (ISBN9781902806198), censée être de 1845 alors que l'écriture latine n'a été adoptée qu'en 1860.
ro.wikipedia.org
Cette affiche, extraite de l'ouvrage de Ian F. Hancock Pariah Syndrome : An Account of Gypsy Slavery and Persecution, Karoma Publishers, Ann Arbor, Michigan, 1987, (ISBN0897200799), est utilisée plusieurs fois sur Wikipédia mais son authenticité est contestée dans Talk:Slavery in Romania car à cette époque on n'utilisait pas encore l'écriture latine, les expressions Sclavi ţigăneşti et în condiţie fină sont des calques linguistiques de l'anglais Gypsy slaves, in fine condition (en roumain correct de l'époque on aurait dit Robi ţigani, sănătoşi) et il est impossible de trouver cette image ailleurs que dans l'œuvre de Hancock, qui présente d'autres affiches semblables, telle Discuție:Robia în țările române#/media/File:200 de familie de țigani de vânzare.jpg (dans Ian F. Hancock, We Are the Romani People, University of Hertfordshire Press, 2002, (ISBN9781902806198), censée être de 1845 alors que l'écriture latine n'a été adoptée qu'en 1860.