Le premier témoignage était l'usage dans l'antiphonaire de Senlis, manuscrit 111 de la bibliothèque Sainte-Geneviève, copié à la fin du IXe siècle [2] ; donc il s'agissait d'une liturgie locale.
Hyacinthe Loyson, The Principles of Catholic Reform, p. 135, ; voir précision [4]
Éamonn Ó Carragáin, Ritual and the Rood, p. 355 - 356, British Library, 2005 (en) [7]
James McKinnon, The Advent Project : The Later Seventh Century Creation of the Roman Mass Proper, p. 130, University of California Press 2000 [10]
Lodovico Antonio Muratori, Liturgia romana, Venise 1748, p. 493 (la) [11]
Académie de chant grégorien [14] ; les abréviations RBCKS signifient les antiphonaires de Rheinau, du Mont-Bladin, de Compiègne, de Corbie et de Senlis [15].
Académie de chant grégorien [14] ; les abréviations RBCKS signifient les antiphonaires de Rheinau, du Mont-Bladin, de Compiègne, de Corbie et de Senlis [15].