Au Moyen Âge, il était fréquent qu'une rue prenne le nom d'une famille patricienne qui y habitait, voir « Au gré des rues bizarres », Le Point, (consulté le )
Strasbourg était devenue française dès 1681, mais jusqu'au milieu du XVIIIe siècle, elle avait gardé la langue allemande. Ce n'est qu'à partir de 1750 et l'augmentation de la population francophone, qu'on s'est mis à traduire en particulier les noms de rue, voir « Au gré des rues bizarres », Le Point, (consulté le )