Russification (French Wikipedia)

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books.google.com

  • O'Connonr, K. The History of the Baltic States. Greenwood Press. (ISBN 0-313-32355-0). Google Print, p. 58
  • Si seuls les trois pays baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie) ont pu sortir de la sphère d'influence russe pour rejoindre l'Union européenne et l'OTAN, c'est parce que leur occupation par l'Armée rouge conformément au protocole secret du Pacte germano-soviétique, le , suivie de leur incorporation forcée dans l'URSS en tant que républiques constitutives (ou « unionales ») : RSS d'Estonie, de RSS de Lettonie et RSS de Lituanie, n'a jamais été reconnue, ni par les États-Unis (Gerard Pieter van den Berg, Ferdinand Feldbrugge, William B. Simons : Encyclopedia of Soviet law, Brill 1985, (ISBN 90-247-3075-9), p. 461 : On March 26, 1949, the US Department of State issued a circular letter stating that the Baltic countries were still independent nations with their own diplomatic representatives and consuls), ni par le Parlement européen ((en) Motion for a resolution on the Situation in Estonia, Parlement européen, B6-0215/2007, 21.05.2007 ; passée le 24.05.2007 consulté le  ; (en) Renaud Dehousse, « The International Practice of the European Communities: Current Survey », European Journal of International Law, vol. 4, no 1,‎ , p. 141 (lire en ligne [archive du ], consulté le ) ; (en) European Parliament, « Resolution on the situation in Estonia, Latvia, Lithuania », Official Journal of the European Communities, vol. 42/78,‎ (lire en ligne)), ni par la CEDH, ni par le Conseil des droits de l'homme de l'ONU(Périodique « United Nations, Human Rights Council », article Mission to Estonia du  : The Molotov–Ribbentrop Pact in 1939 assigned Estonia to the Soviet sphere of influence, prompting the beginning of the first Soviet occupation in 1940. After the German defeat in 1944, the second Soviet occupation started and Estonia became a Soviet republic) qui ont unanimement ont considéré ces trois pays (et eux seuls, parmi les 15 Républiques socialistes soviétiques) comme envahis, occupés illégalement et annexés par l'URSS entre 1940 et 1941 puis entre 1944 et 1991 (ainsi que par l'Allemagne entre 1941 et 1944). La plupart des pays non-communistes membres de l'ONU ont, de plus, continué pendant toute la guerre froide à reconnaître de jure l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie comme États indépendants ((en) David J. Smith, Estonia : independence and European integration, Londres, Routledge, coll. « Postcommunist states and nations », , 196 p. (ISBN 978-0-415-26728-1, OCLC 919857543, lire en ligne), p. XIX ; (en) Bruce Parrott, State building and military power in Russia and the new states of Eurasia, M.E. Sharpe, (ISBN 1-56324-360-1, lire en ligne), « Reversing Soviet Military Occupation », p. 112–115 ; (en) Peter Van Elsuwege, Russian-speaking minorities in Estonian and Latvia : Problems of integration at the threshold of the European Union, Flensburg, Allemagne, European Centre for Minority Issues, (lire en ligne), p. 2

    « The forcible incorporation of the Baltic states into the Soviet Union in 1940, on the basis of secret protocols to the Molotov-Ribbentrop Pact, is considered to be null and void. Even though the Soviet Union occupied these countries for a period of fifty years, Estonia, Latvia and Lithuania continued to exist as subjects of international law. »

    et Catherine Cosquer, Atlas encyclopédique mondial, Paris, Nathan, , 734 p. (ISBN 978-2-09-181401-8, OCLC 401491299)
    ).

cyberussr.com

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  • Si seuls les trois pays baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie) ont pu sortir de la sphère d'influence russe pour rejoindre l'Union européenne et l'OTAN, c'est parce que leur occupation par l'Armée rouge conformément au protocole secret du Pacte germano-soviétique, le , suivie de leur incorporation forcée dans l'URSS en tant que républiques constitutives (ou « unionales ») : RSS d'Estonie, de RSS de Lettonie et RSS de Lituanie, n'a jamais été reconnue, ni par les États-Unis (Gerard Pieter van den Berg, Ferdinand Feldbrugge, William B. Simons : Encyclopedia of Soviet law, Brill 1985, (ISBN 90-247-3075-9), p. 461 : On March 26, 1949, the US Department of State issued a circular letter stating that the Baltic countries were still independent nations with their own diplomatic representatives and consuls), ni par le Parlement européen ((en) Motion for a resolution on the Situation in Estonia, Parlement européen, B6-0215/2007, 21.05.2007 ; passée le 24.05.2007 consulté le  ; (en) Renaud Dehousse, « The International Practice of the European Communities: Current Survey », European Journal of International Law, vol. 4, no 1,‎ , p. 141 (lire en ligne [archive du ], consulté le ) ; (en) European Parliament, « Resolution on the situation in Estonia, Latvia, Lithuania », Official Journal of the European Communities, vol. 42/78,‎ (lire en ligne)), ni par la CEDH, ni par le Conseil des droits de l'homme de l'ONU(Périodique « United Nations, Human Rights Council », article Mission to Estonia du  : The Molotov–Ribbentrop Pact in 1939 assigned Estonia to the Soviet sphere of influence, prompting the beginning of the first Soviet occupation in 1940. After the German defeat in 1944, the second Soviet occupation started and Estonia became a Soviet republic) qui ont unanimement ont considéré ces trois pays (et eux seuls, parmi les 15 Républiques socialistes soviétiques) comme envahis, occupés illégalement et annexés par l'URSS entre 1940 et 1941 puis entre 1944 et 1991 (ainsi que par l'Allemagne entre 1941 et 1944). La plupart des pays non-communistes membres de l'ONU ont, de plus, continué pendant toute la guerre froide à reconnaître de jure l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie comme États indépendants ((en) David J. Smith, Estonia : independence and European integration, Londres, Routledge, coll. « Postcommunist states and nations », , 196 p. (ISBN 978-0-415-26728-1, OCLC 919857543, lire en ligne), p. XIX ; (en) Bruce Parrott, State building and military power in Russia and the new states of Eurasia, M.E. Sharpe, (ISBN 1-56324-360-1, lire en ligne), « Reversing Soviet Military Occupation », p. 112–115 ; (en) Peter Van Elsuwege, Russian-speaking minorities in Estonian and Latvia : Problems of integration at the threshold of the European Union, Flensburg, Allemagne, European Centre for Minority Issues, (lire en ligne), p. 2

    « The forcible incorporation of the Baltic states into the Soviet Union in 1940, on the basis of secret protocols to the Molotov-Ribbentrop Pact, is considered to be null and void. Even though the Soviet Union occupied these countries for a period of fifty years, Estonia, Latvia and Lithuania continued to exist as subjects of international law. »

    et Catherine Cosquer, Atlas encyclopédique mondial, Paris, Nathan, , 734 p. (ISBN 978-2-09-181401-8, OCLC 401491299)
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  • Si seuls les trois pays baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie) ont pu sortir de la sphère d'influence russe pour rejoindre l'Union européenne et l'OTAN, c'est parce que leur occupation par l'Armée rouge conformément au protocole secret du Pacte germano-soviétique, le , suivie de leur incorporation forcée dans l'URSS en tant que républiques constitutives (ou « unionales ») : RSS d'Estonie, de RSS de Lettonie et RSS de Lituanie, n'a jamais été reconnue, ni par les États-Unis (Gerard Pieter van den Berg, Ferdinand Feldbrugge, William B. Simons : Encyclopedia of Soviet law, Brill 1985, (ISBN 90-247-3075-9), p. 461 : On March 26, 1949, the US Department of State issued a circular letter stating that the Baltic countries were still independent nations with their own diplomatic representatives and consuls), ni par le Parlement européen ((en) Motion for a resolution on the Situation in Estonia, Parlement européen, B6-0215/2007, 21.05.2007 ; passée le 24.05.2007 consulté le  ; (en) Renaud Dehousse, « The International Practice of the European Communities: Current Survey », European Journal of International Law, vol. 4, no 1,‎ , p. 141 (lire en ligne [archive du ], consulté le ) ; (en) European Parliament, « Resolution on the situation in Estonia, Latvia, Lithuania », Official Journal of the European Communities, vol. 42/78,‎ (lire en ligne)), ni par la CEDH, ni par le Conseil des droits de l'homme de l'ONU(Périodique « United Nations, Human Rights Council », article Mission to Estonia du  : The Molotov–Ribbentrop Pact in 1939 assigned Estonia to the Soviet sphere of influence, prompting the beginning of the first Soviet occupation in 1940. After the German defeat in 1944, the second Soviet occupation started and Estonia became a Soviet republic) qui ont unanimement ont considéré ces trois pays (et eux seuls, parmi les 15 Républiques socialistes soviétiques) comme envahis, occupés illégalement et annexés par l'URSS entre 1940 et 1941 puis entre 1944 et 1991 (ainsi que par l'Allemagne entre 1941 et 1944). La plupart des pays non-communistes membres de l'ONU ont, de plus, continué pendant toute la guerre froide à reconnaître de jure l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie comme États indépendants ((en) David J. Smith, Estonia : independence and European integration, Londres, Routledge, coll. « Postcommunist states and nations », , 196 p. (ISBN 978-0-415-26728-1, OCLC 919857543, lire en ligne), p. XIX ; (en) Bruce Parrott, State building and military power in Russia and the new states of Eurasia, M.E. Sharpe, (ISBN 1-56324-360-1, lire en ligne), « Reversing Soviet Military Occupation », p. 112–115 ; (en) Peter Van Elsuwege, Russian-speaking minorities in Estonian and Latvia : Problems of integration at the threshold of the European Union, Flensburg, Allemagne, European Centre for Minority Issues, (lire en ligne), p. 2

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  • Si seuls les trois pays baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie) ont pu sortir de la sphère d'influence russe pour rejoindre l'Union européenne et l'OTAN, c'est parce que leur occupation par l'Armée rouge conformément au protocole secret du Pacte germano-soviétique, le , suivie de leur incorporation forcée dans l'URSS en tant que républiques constitutives (ou « unionales ») : RSS d'Estonie, de RSS de Lettonie et RSS de Lituanie, n'a jamais été reconnue, ni par les États-Unis (Gerard Pieter van den Berg, Ferdinand Feldbrugge, William B. Simons : Encyclopedia of Soviet law, Brill 1985, (ISBN 90-247-3075-9), p. 461 : On March 26, 1949, the US Department of State issued a circular letter stating that the Baltic countries were still independent nations with their own diplomatic representatives and consuls), ni par le Parlement européen ((en) Motion for a resolution on the Situation in Estonia, Parlement européen, B6-0215/2007, 21.05.2007 ; passée le 24.05.2007 consulté le  ; (en) Renaud Dehousse, « The International Practice of the European Communities: Current Survey », European Journal of International Law, vol. 4, no 1,‎ , p. 141 (lire en ligne [archive du ], consulté le ) ; (en) European Parliament, « Resolution on the situation in Estonia, Latvia, Lithuania », Official Journal of the European Communities, vol. 42/78,‎ (lire en ligne)), ni par la CEDH, ni par le Conseil des droits de l'homme de l'ONU(Périodique « United Nations, Human Rights Council », article Mission to Estonia du  : The Molotov–Ribbentrop Pact in 1939 assigned Estonia to the Soviet sphere of influence, prompting the beginning of the first Soviet occupation in 1940. After the German defeat in 1944, the second Soviet occupation started and Estonia became a Soviet republic) qui ont unanimement ont considéré ces trois pays (et eux seuls, parmi les 15 Républiques socialistes soviétiques) comme envahis, occupés illégalement et annexés par l'URSS entre 1940 et 1941 puis entre 1944 et 1991 (ainsi que par l'Allemagne entre 1941 et 1944). La plupart des pays non-communistes membres de l'ONU ont, de plus, continué pendant toute la guerre froide à reconnaître de jure l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie comme États indépendants ((en) David J. Smith, Estonia : independence and European integration, Londres, Routledge, coll. « Postcommunist states and nations », , 196 p. (ISBN 978-0-415-26728-1, OCLC 919857543, lire en ligne), p. XIX ; (en) Bruce Parrott, State building and military power in Russia and the new states of Eurasia, M.E. Sharpe, (ISBN 1-56324-360-1, lire en ligne), « Reversing Soviet Military Occupation », p. 112–115 ; (en) Peter Van Elsuwege, Russian-speaking minorities in Estonian and Latvia : Problems of integration at the threshold of the European Union, Flensburg, Allemagne, European Centre for Minority Issues, (lire en ligne), p. 2

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