« Mission d'information sur le Rwanda, audition de Robert Galley », sur assemblee-nationale.fr, (consulté le ) : « À ce sujet, il convient de distinguer deux phases. La première, qui s’étend jusqu’en 1990, a été notamment marquée par les premières attaques du FPR. Les raids dévastateurs et meurtriers de ce dernier dans le nord du pays furent stoppés par les parachutistes français, certes peu nombreux -ils n’étaient que 125-, mais représentant une force suffisante. » Jean Hervé Bradol dira aussi aux députés « De 1990 à 1994, quand il a fallu arrêter le FPR, l’armée française a su le faire. »
« la population rwandaise d’origine tutsi pense que le coup de main militaire a échoué dans ses prolongements psychologiques... Elle compte encore sur une victoire militaire, grâce à l’appui en hommes et en moyens venus de la diaspora. Cette victoire militaire, même partielle, lui permettrait d’échapper au génocide. », Rapport de la Mission d'Information Parlementaire sur le Rwanda, page 141
Johan Pottier, Re-Imagining Rwanda: Conflict, Survival and Disinformation in the Late Twentieth Century, Cambridge, Cambridge University Press, (ISBN978-0-5215-2873-3, lire en ligne), p. 13
Gérard Prunier, The Rwanda Crisis: History of a Genocide, Kampala, Fountain Publishers Limited, , 2nd éd. (ISBN978-9970-02-089-8, lire en ligne), p. 13-14
La légalité de l'opération Noroît est contestable, comme le reconnaîtra le général Quesnot dans une note du 26 juin 1994 adressée au président Mitterrand, note accessible sur le site de la Commission d’Enquête Citoyenne, http://www.enquete-citoyenne-rwanda.org/
« C'est entre 8 000 et 10 000 personnes qui furent arrêtées et détenues sans charges, quelques-unes pour des jours ou des semaines et beaucoup d'autres pour des mois. Beaucoup parmi eux furent battus ou même torturés de façon systématique. Les conditions de détention étaient déplorables, surtout pendant les premières semaines qui ont suivi les arrestations. »« Rapport de la commission internationale d'enquête sur les violations des droits de l'homme au Rwanda depuis le 1er octobre 1990 », sur cec.rwanda.free.fr, 7-21/01/1993 (consulté le ), p. 14.
Lettre pastorale de Monseigneur Perraudin du 11 février 1959 - Tout en attirant l'attention sur les risques de dérapage de cette analyse raciale et en prêchant l'amour entre « races », le vicaire apostolique du Rwanda justifie les bases de la stigmatisation implicite de la « race » des Tutsi : « Constatons tout d'abord qu'il y a réellement au Ruanda plusieurs races assez nettement caractérisées bien que des alliances entre elles aient eu lieu et ne permettent pas de dire toujours à quelle race tel individu appartient. »[...] « Dans notre Ruanda les différences et les inégalités sociales sont pour une grande part liées aux différences de race, en ce sens que les richesses d'une part et le pouvoir politique et même judiciaire d'autre part, sont en réalité en proportion considérable entre les mains des gens d'une même race. »
Romain Gras, « Rwanda-Ouganda : après des mois de tensions, signature d’un accord entre Paul Kagame et Yoweri Museveni », Jeune Afrique, (lire en ligne)
« Attaque dans le nord du Rwanda : la police présente à la presse des rebelles présumés des FDLR », Jeune Afrique, (lire en ligne)
Pierre Boisselet, « Rwanda – Burundi : mille collines, mille refuges… », Jeune Afrique, (lire en ligne)
Christophe Migeon, « Voyage au Rwanda, le pays des Mille Collines », Le Point, (lire en ligne)
lesoir.be
archives.lesoir.be
N'étant munis que d'armes légères, ils ne furent pas en état de pouvoir résister. cf Conseil de guerre de Bruxelles 07-04-1994, in journal Le Soir Bruxelles. Ce commando était aussi composé de cinq casques bleus ghanéens qui furent aussi capturés avec les Belges, mais qui furent relâchés.
liberation.fr
Pierre Benetti, « Génocide rwandais: Le pape François demande pardon pour l’Église », Libération.fr, (lire en ligne, consulté le ).
(en) Martin J. Wolf, John W. Emerson, Daniel C. Esty, Alex de Sherbinin, Zachary A. Wendling et al., 2022 Environmental Performance Index, New Haven, Connecticut, États-Unis, Yale Center for Environmental Law & Policy, , 192 p. (lire en ligne [PDF]).