Shane Bilsborough et Mann, Niel, « A review of issues of dietary protein intake in humans », International Journal of Sport Nutrition and Exercise Metabolism, vol. 16, no 2, , p. 129–52 (PMID16779921, lire en ligne, consulté le )
lequotidiendumedecin.fr
Les « peptides libérés dans le sang après digestion des protéines, sont interceptés par des récepteurs mu-opioïdes de la veine porte (les mêmes que pour la morphine), avant d’être utilisés par le foie. Ces récepteurs situés dans le système nerveux de la veine porte, sont inhibés par les peptides, ce qui déclenche l’activation du nerf vague qui communique avec le cerveau et induit une réponse en arc réflexe. La réponse nerveuse efférente induit l’expression des gènes de la néoglucogenèse : le glucose joue alors son effet coupe-faim. Cette séquence dure 5 ou 6 heures ». Cf Dr Anne Teyssédou-Mairé., « L’effet satiétogène des repas hyperprotéinés élucidé », sur lequotidiendumedecin.fr, .
Shane Bilsborough et Mann, Niel, « A review of issues of dietary protein intake in humans », International Journal of Sport Nutrition and Exercise Metabolism, vol. 16, no 2, , p. 129–52 (PMID16779921, lire en ligne, consulté le )
S. Bilsborough et N. Mann, « A review of issues of dietary protein intake in humans », International Journal of Sport Nutrition and Exercise Metabolism, vol. 16, no 2, , p. 129–152 (PMID16779921)