(en) Lyombe S. Eko, American Exceptionalism, the French Exception, and Digital Media Law (Livre numérique Google), Lexington Books, 2013, 330 p., p. 256 (Olivier Malnuit, Réseau Voltaire v. Compagnie Gervais Danone and the Danone Group) : « The Paris Court of Appeals said they [the websites] were protected under French laws of freedom of expression. The court reversed the decision of the High Court of Paris, and ruled that the websites were not expressly designed to promote the commercialization of products or services that competed with those of the Danone group of companies. The court held that the website had a purely polemical purpose that had nothing to do with [Danone's] business, and that reference to the registered trademark of the company "was necessary to explain the political and polemical nature of the campaign"... ».
Louis Colart, Rudy Reichstadt: "la complosphère considère le Réseau Voltaire comme un site sérieux", interview de Rudy Reichastadt sur journ@lismes.info, 14 mars 2013 : « Mais au terme d’une mue qui commence à la fin des années 90 et qui est achevée en 2005, le Réseau Voltaire n’a plus rien à voir avec ce qu’il était à l’origine : c’est devenu un site d'extrême-droite, déserté par les organisations qui l’avaient rejoint (les Verts, le Parti communiste, le PRG, le MRAP. »
Pierre Haski, Syrie : quand le général dissident était l’ami de Dieudonné Rue89, 29 juillet 2012 « Tout général qu’il était, Manaf Tlass s’occupait en particulier de cet étrange attelage autour du Réseau Voltaire de Thierry Meyssan ainsi financé par Damas, et du site InfoSyrie.fr, « agence de réinformation » créée l’an dernier par Frédéric Chatillon, un ancien dirigeant du GUD d’extrême droite, le « prestataire de service » de la dernière campagne de Marine Le Pen. Chatillon a créé une boîte de com' nommée Riwal très active au Proche-Orient. »