(en) Hong Xiaoyong, China Did Well by Tibet', The Straits Times (Singapour), 23 avril 2008, reproduit sur le site AsiaoneNews : « The so-called 'high-level autonomy and real autonomy' he seeks would involve the following: Withdrawal of Chinese troops and military installations from Tibet; Tibet being able to establish diplomatic ties with other countries and international organisations; the establishment of a Great Tibetan Zone of 2.4 million sq km, to include areas inhabited by Tibetans in the provinces of Qinghai, Gansu, Sichuan and Yunnan; non-Tibetans to move out of this zone; etc. In essence, the Dalai Lama's 'high-level autonomy' would deny the central government sovereignty over Tibet and would be tantamount to independence for it. This of course will by no means be accepted by the central government. »
(en) Bhaskar Vyas, Rajni Vyas, Experiments with truth and non-violence: the Dalai Lama in exile from Tibet, Concept Publishing Company, 2007 (ISBN8180693597 et 9788180693595), p. 88 ; « There was a hope that, following 1965 resolution by the UN and confirmation of genocide internationally, China would be put to shame. At least they will abide by the Seventeen Point Agreement in true spirit and effectively implement genuine autonomy. Though the UN resolutions did not materially change anything, China became aware that they have to deal with the issue. »
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Ainsi que le signale Martine Bulard, journaliste au Monde diplomatique, responsable de l’Asie, le Tibet n'a jamais été répertorié par les Nations unies comme « pays à décoloniser », que ce soit avant ou après 1971, date de l'entrée de la république populaire de Chine au sein de cette organisation internationale, et aucun pays n'a reconnu à ce jour le gouvernement tibétain en exil, cf. Martine Bulard, Chine-Tibet, des identités communes, article du blog Planète Asie du Monde Diplomatique à la date du 30 avril 2008, reproduit sur le site de l'UPMF de Grenoble : « Rappelons que les Nations unies n’ont jamais inclus le Tibet dans les pays à décoloniser (avant comme après 1971 – date du remplacement de Taïwan par la République populaire de Chine) et qu’aucun pays n’a reconnu le « gouvernement » tibétain en exil et donc la possibilité d’une indépendance. » [PDF]. Dans la liste des pays et territoires à décoloniser publiée en 2008 par l'ONU, le Tibet n'est pas mentionné, et la Chine n'est pas citée au nombre des « puissances administrantes », cf. Les Nations unies et la décolonisation
Réponse du Ministère des affaires étrangères à une question écrite No 11393 de M. Gilbert Chabroux (Rhône - SOC), publiée dans le JO Sénat du 13/05/2004, page 1028; reproduite sur le site Bienvenue au Sénat, Situation du Tibet, 12e législature : « En tout état de cause, les résolutions de l'Assemblée générale ne sont pas juridiquement contraignantes et n'ont qu'une portée recommandatoire ».
Ainsi que le signale Martine Bulard, journaliste au Monde diplomatique, responsable de l’Asie, le Tibet n'a jamais été répertorié par les Nations unies comme « pays à décoloniser », que ce soit avant ou après 1971, date de l'entrée de la république populaire de Chine au sein de cette organisation internationale, et aucun pays n'a reconnu à ce jour le gouvernement tibétain en exil, cf. Martine Bulard, Chine-Tibet, des identités communes, article du blog Planète Asie du Monde Diplomatique à la date du 30 avril 2008, reproduit sur le site de l'UPMF de Grenoble : « Rappelons que les Nations unies n’ont jamais inclus le Tibet dans les pays à décoloniser (avant comme après 1971 – date du remplacement de Taïwan par la République populaire de Chine) et qu’aucun pays n’a reconnu le « gouvernement » tibétain en exil et donc la possibilité d’une indépendance. » [PDF]. Dans la liste des pays et territoires à décoloniser publiée en 2008 par l'ONU, le Tibet n'est pas mentionné, et la Chine n'est pas citée au nombre des « puissances administrantes », cf. Les Nations unies et la décolonisation
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Ainsi que le signale Martine Bulard, journaliste au Monde diplomatique, responsable de l’Asie, le Tibet n'a jamais été répertorié par les Nations unies comme « pays à décoloniser », que ce soit avant ou après 1971, date de l'entrée de la république populaire de Chine au sein de cette organisation internationale, et aucun pays n'a reconnu à ce jour le gouvernement tibétain en exil, cf. Martine Bulard, Chine-Tibet, des identités communes, article du blog Planète Asie du Monde Diplomatique à la date du 30 avril 2008, reproduit sur le site de l'UPMF de Grenoble : « Rappelons que les Nations unies n’ont jamais inclus le Tibet dans les pays à décoloniser (avant comme après 1971 – date du remplacement de Taïwan par la République populaire de Chine) et qu’aucun pays n’a reconnu le « gouvernement » tibétain en exil et donc la possibilité d’une indépendance. » [PDF]. Dans la liste des pays et territoires à décoloniser publiée en 2008 par l'ONU, le Tibet n'est pas mentionné, et la Chine n'est pas citée au nombre des « puissances administrantes », cf. Les Nations unies et la décolonisation