Léon Trotsky, « Marée montante », dans son Histoire de la révolution russe.
Arno Joseph Mayer, Les Furies : Violence, vengeance, terreur, aux temps de la Révolution française et de la révolution russe, p. 215-219 : « S'il n'y avait pas eu de "preuves" d'une résistance implacable juste après la prise du pouvoir, les bolcheviques auraient très probablement renoncé à la terreur (...) En novembre 1918 encore, alors que le clivage ami-ennemi était consommé, Lénine prétendait non sans raison que "nous procédons à des arrestations mais que nous ne recourons pas à la terreur" notamment contre des frères ennemis. ». Voir aussi Pierre Broué, « Les débuts du régime soviétique et la paix de Brest-Litovsk », dans Le Parti bolchevique ; ou Edward Hallett Carr, La Révolution russe.