David Kelly, cité dans Charles Escudé et Andrés Cisneros, La campaña del embajador Braden y la consolidación del poder de Perón, Historia de las Relaciones Exteriores Argentinas, CARI 2000.
Evita y la participación de la mujer, par Pablo Vázquez, Rebanadas de Realidad, 23 mai 2006. Le slogan de l’Assemblée nationale des femmes était : « Suffrage féminin oui, mais sanctionné par un parlement élu à la suite d’élections honnêtes ».
gba.gov.ar
mseg.gba.gov.ar
Le décret no 10.638/1944 modifia les articles 15 et 17 de la loi no 12.331, connue comme la loi de Prophyllaxie des maladies vénérienes. Initialement, l’on autorisa les maisons closes à proximité des casernes, puis les autorisations furent étendues au pays entier. Le décret no 10.683/1944 fut ratifié par la loi 12.912 de 1946. Cf. Raúl A. Schnabel, « Historia de la trata de personas en Argentina como persistencia de la esclavitud » [archive du ], Ministerio de Justicia y Seguridad de la Provincia de Buenos Aires (consulté le ) : « La fermeture des maisons closes eut deux résultats inattendus : 1) la prostitution que nous pourrions appeler ‘grande’, d’être auparavant contrôlée par les organisations proxénètes, vint à être contrôlée par la mafia ; 2) l’on vit surgir une infinité de variantes mineures, pour accueillir l’activité de nombreuses femmes qui se retrouvaient dans la possibilité de travailler pour leur compte (Andrés Carretero, Prostitución en Buenos Aires, 2e éd., Corregidor, 1998, p. 169). ». La prostitution s’exerçait de façon dissimulée dans les cabarets, cafés, restaurants, et les femmes concluaient des arrangements avec les hôtels du centre-ville. L’absence de contrôles sanitaires, la mauvaise alimentation et la crise sociale provoquèrent une forte hausse des cas de syphilis, qui était, jusqu’à l’apparition de la pénicilline en 1945, une maladie sexuellement transmissible grave.
Cité par Hugo Gambini dans son Historia del peronismo . L’expression polémique de Sammartino fut prononcée à la Chambredes députés le 7 août 1947. Textuellement, Sammartino dit : « L’alluvion zoologique du 24 février semble avoir emporté sur son banc un certain député, pour que de là il miaule aux astres pour une indemnité de 2500 pesos. Qu’il continue de miauler, cela ne me gêne pas...».
Il fut promu colonel en 1941, cf. Biografía de Juan Perón, sur le site de l’Instituto Nacional Juan D. Perón.
« Le GOU est, dans une large mesure, un mythe. Une grande création du Renseignement. », Rogelio García Lupo. Cf. Cada vez hay más generales indígenas en Sudamérica, entretien avec Juan Salinas, Causa Popular, 23 septembre 2006.
Le décret no 10.638/1944 modifia les articles 15 et 17 de la loi no 12.331, connue comme la loi de Prophyllaxie des maladies vénérienes. Initialement, l’on autorisa les maisons closes à proximité des casernes, puis les autorisations furent étendues au pays entier. Le décret no 10.683/1944 fut ratifié par la loi 12.912 de 1946. Cf. Raúl A. Schnabel, « Historia de la trata de personas en Argentina como persistencia de la esclavitud » [archive du ], Ministerio de Justicia y Seguridad de la Provincia de Buenos Aires (consulté le ) : « La fermeture des maisons closes eut deux résultats inattendus : 1) la prostitution que nous pourrions appeler ‘grande’, d’être auparavant contrôlée par les organisations proxénètes, vint à être contrôlée par la mafia ; 2) l’on vit surgir une infinité de variantes mineures, pour accueillir l’activité de nombreuses femmes qui se retrouvaient dans la possibilité de travailler pour leur compte (Andrés Carretero, Prostitución en Buenos Aires, 2e éd., Corregidor, 1998, p. 169). ». La prostitution s’exerçait de façon dissimulée dans les cabarets, cafés, restaurants, et les femmes concluaient des arrangements avec les hôtels du centre-ville. L’absence de contrôles sanitaires, la mauvaise alimentation et la crise sociale provoquèrent une forte hausse des cas de syphilis, qui était, jusqu’à l’apparition de la pénicilline en 1945, une maladie sexuellement transmissible grave.