Du verbe jiggle (« trémousser, remuer »), ce type de séries met en avant des personnages féminins hypersexualisés, portant des mini-shorts mais pas de soutiens-gorge, qui trémoussent leurs seins et leurs fesses. Cf (en) Leslie Jackson Turner, « But the Republic Stood: Program Producers' Perceived Pivotal Moments in Network Television Broadcast Standards of the 1970s », Journal of Broadcasting & Electronic Media, vol. 44, no 1, , p. 110-124 (DOI10.1207/s15506878jobem4401_8).
Marjolaine Boutet, « Dallas, synecdoque de la culture populaire américaine (1982) », Parlement[s], Revue d'histoire politique, no 29, , p. 137-149 (DOI10.3917/parl2.029.0137).
essachess.com
Hacker, Violaine (2011), « La télévision, un instrument démodé ou crucial pour l’avenir de l’Union européenne ? », revue Essachess : La télévision du présent et de l’avenir, Vol 4, No 7., p. 7-11, http://www.essachess.com/index.php/jcs/issue/current/showToc.
Céline Morin, Les Héroïnes de séries américaines. De Ma Sorcière Bien-Aimée à The Good Wife, Presses universitaires François-Rabelais, , 288 p. (lire en ligne).