Pons 2017, p. 182 [lire en ligne]. À propos du père Georges Fattal, supérieur de la communauté salésienne d'Alep : « Dans ce pays dévasté, les récompenses sont rares. La Journée des familles, chaque , est un rayon de soleil : plus de mille personnes répondent en général à l'appel : « C'était l'occasion d'entendre les gens nous remercier de leur avoir offert un peu de joie au cœur de cette période terrible. Nous avons pu utiliser pour la première fois le générateur offert par SOS Chrétiens d'Orient. » »
Pons 2017, p. 188 [lire en ligne]. À propos de Sœur Marguerite Slim, directrice de l'hôpital Saint-Louis à Alep : « Au cours de l'été 2015, un des pics des violences commises contre la ville, la religieuse téléphone à l'association SOS Chrétiens d'Orient : « Ne nous oubliez surtout pas. » Elle veut remercier l'ONG de la générosité de ses donateurs. L'hôpital a pu acheter un générateur. Cela paraît dérisoire, mais dans la situation désespérée de la ville assiégée par les islamistes, ce générateur joue un rôle majeur. Il conforte la résistance de l'hôpital, malgré la nuit de la guerre. Pour la communauté chrétienne, il est le signe qu'elle n'est pas abandonnée. Financé par les donateurs de SOS Chrétiens d'Orient, il a été livré en . »
Pons 2017, p. 202–203 [lire en ligne]. À propos du projet “Bâtir pour rester” de l'archevêque Jean-Clément Jeanbart : « Bâtir, mais avec quel argent ? Le , l'association SOS Chrétiens d'Orient offre au diocèse d'Alep 150 000 euros. Ce soir-là, dans la Grande Crypte du 69 bis rue Boissière à Paris, des centaines de jeunes côtoient quelques généreux donateurs, heureux d'avoir participé au semi-marathon de Paris qui a permis de sensibiliser les Français à la cause des chrétiens d'Orient, avec mille trois cents coureurs sous les couleurs de SOS-CO. Invité d'honneur de cette soirée chaleureuse, l'archevêque de la cité martyre reçoit le chèque, ému, confiant. »
Pons 2017, p. 304 [lire en ligne]. « Ce choix a conduit aussi l'association Al-Sakhra à récupérer une ancienne maison arabe dans le vieux Damas, avec l'aide du gouvernement. « Nous sommes en train de l'aménager avec des volontaires de SOS Chrétiens d'Orient pour y installer l'Institut d'apprentissage de l'artisanat syrien. L'idée est de pérenniser les métiers d'art et d'artisanat qui sont une grande richesse de la culture damascène. » »
Adel Ghali, L'Appel du Royaume : Sur les pas de sœur Emmanuelle, ma vie auprès des chiffonniers du Caire, Paris et Perpignan, Artège, , 206 p. (ISBN979-10-336-1078-6, lire en ligne). « Il y a au Caire des jeunes gens volontaires de France - leur association s'appelle SOS-Chrétiens d'Orient. Ils viennent aider ceux de nos frères qui en ont besoin au Liban, en Syrie, en Irak, et ici, en Égypte, ils ont une antenne à Alexandrie qui dépend de la mission du Caire, laquelle se partage sur plusieurs lieux que je connais bien, Matareya, Ezbet-El-Nakhl, Méadi-Tora, et maintenant un nouveau bidonville, celui du 15-mai(en). Ils s'occupent des vieux ou des tout-petits, donnent des soins ou simplement du temps, des sourires, ou participent à l'éducation. Ils sont bien, désintéressés, courageux, pleins d'allant. Ils ne ressemblent pas aux jeunes à problèmes que nous montrent les télévisions. Ils ont laissé leur travail ou leurs études pour venir aider. [...] Je viens les voir, ils viennent me voir. [...] Je leur fais part de mon expérience. Ils sont pleins d'entrain et d'idéal, ils apprennent à agir efficacement sur la durée. J'approuve leur action et je les en remercie [...]. »
Myriam Rawick et Philippe Lobjois, Le Journal de Myriam, Paris, Fayard, , 293 p. (ISBN978-2-213-70489-0, lire en ligne). « Je me suis rendu à Alep le alors que la capitale économique de la Syrie était encore en plein chaos. J'y ai découvert une ville presque entièrement ravagée. Du nord au sud, seul un triangle regroupant ce que l'on a nommé les “quartiers ouest” avait subsisté. Ce triangle loyal au régime, plus petit morceau de cette citée immense, était devenu, en l'espace des cinq ans de guerre, une zone surpeuplée de déplacés qui avaient fui les zones rebelles de l'est. Il n'y avait pas d'eau, pas d'électricité et le ciel gris pleurait sans s'arrêter sur une ville en proie au désespoir. Plus de souk, plus de parc, plus de fontaine où l'on s'arrosait quand il faisait trop chaud. Mais une population debout, forte, animée d'une volonté de vivre. Dans cet îlot survivant, je vais d'abord rencontrer SOS Chrétiens d'Orient, organisation française venant en aide aux fidèles sur place. Ce sont eux qui me dirigeront ensuite vers les Maristes Bleus, autre organisme chrétien »
Sara Daniel et Benoit Kanabus, La Putain du Califat, Paris, J'ai lu, coll. « Témoignage » (no 13405), , 224 p. (ISBN978-2-290-36234-1), p. 109 [lire en ligne]. Marie est une Irakienne chrétienne qui fut vendue 13 fois par l'État islamique en tant qu'esclave sexuelle. Après sa libération, SOS Chrétiens d'Orient l'a aidée à payer son loyer et a pourvu à ses besoins.[réf. nécessaire]« La travailleuse sociale qui a rendu visite à Marie a beau être membre d'une association très chrétienne, SOS Chrétiens d'Orient, elle ne croit pas en Dieu. La jeune femme d'origine chinoise au débardeur échancré et aux longs cheveux noirs ne cadre pas vraiment avec les demoiselles en jupe plissée bleu marine et chemisier blanc que l'on peut croiser dans ces organisations de bienfaisance. »
Nathan Jobert, « L'Œuvre d'Orient et l'invention de la tradition française de protection des chrétiens d'Orient », Les Cahiers d'EMAM : Études sur le monde arabe et la Méditerranée, no 32, (ISSN1969-248X, DOI10.4000/emam.2489, lire en ligne, consulté le ).
Nathan Jobert, « L'Œuvre d'Orient et l'invention de la tradition française de protection des chrétiens d'Orient », Les Cahiers d'EMAM : Études sur le monde arabe et la Méditerranée, no 32, (ISSN1969-248X, DOI10.4000/emam.2489, lire en ligne, consulté le ).
(en) Inès Daif et Stéphane Kenech, Under the Guise of Aid : The Far-Right French NGO Allegedly Supporting War Crimes in Syria, New Lines Institute for Strategy and Policy, , 25 p. (lire en ligne [PDF]).
Nathan Jobert, « L'Œuvre d'Orient et l'invention de la tradition française de protection des chrétiens d'Orient », Les Cahiers d'EMAM : Études sur le monde arabe et la Méditerranée, no 32, (ISSN1969-248X, DOI10.4000/emam.2489, lire en ligne, consulté le ).
Adel Ghali, L'Appel du Royaume : Sur les pas de sœur Emmanuelle, ma vie auprès des chiffonniers du Caire, Paris et Perpignan, Artège, , 206 p. (ISBN979-10-336-1078-6, lire en ligne). « Il y a au Caire des jeunes gens volontaires de France - leur association s'appelle SOS-Chrétiens d'Orient. Ils viennent aider ceux de nos frères qui en ont besoin au Liban, en Syrie, en Irak, et ici, en Égypte, ils ont une antenne à Alexandrie qui dépend de la mission du Caire, laquelle se partage sur plusieurs lieux que je connais bien, Matareya, Ezbet-El-Nakhl, Méadi-Tora, et maintenant un nouveau bidonville, celui du 15-mai(en). Ils s'occupent des vieux ou des tout-petits, donnent des soins ou simplement du temps, des sourires, ou participent à l'éducation. Ils sont bien, désintéressés, courageux, pleins d'allant. Ils ne ressemblent pas aux jeunes à problèmes que nous montrent les télévisions. Ils ont laissé leur travail ou leurs études pour venir aider. [...] Je viens les voir, ils viennent me voir. [...] Je leur fais part de mon expérience. Ils sont pleins d'entrain et d'idéal, ils apprennent à agir efficacement sur la durée. J'approuve leur action et je les en remercie [...]. »