Il existe plusieurs mentions de Saadia dans le commentaires de Rachi. Néanmoins, pour celle du Psaume 45:10, il s'agit d'une interpolation de copistes — (he) A. Dotan, Niqqud rav Seʿadya : fact or fiction ?, Tarbiz 1997, vol. 66, no2, pp. 247-257. Quant au Saadia, que Rachi dit avoir personnellement rencontré, il aurait été identifié par Ḥayyim Michael à un homonyme, Saadia ben Naḥmani (Executive Committee & M. Seligsohn, SAADIA BEN NAḤMANI, in Jewish Encyclopedia, 1901-1906)
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Il existe plusieurs mentions de Saadia dans le commentaires de Rachi. Néanmoins, pour celle du Psaume 45:10, il s'agit d'une interpolation de copistes — (he) A. Dotan, Niqqud rav Seʿadya : fact or fiction ?, Tarbiz 1997, vol. 66, no2, pp. 247-257. Quant au Saadia, que Rachi dit avoir personnellement rencontré, il aurait été identifié par Ḥayyim Michael à un homonyme, Saadia ben Naḥmani (Executive Committee & M. Seligsohn, SAADIA BEN NAḤMANI, in Jewish Encyclopedia, 1901-1906)
Les Karaïtes lui ont attribué comme maître son futur antagoniste, Salman ben Yerouham — cf. Review: The Milḥamōth ha-Shēm of Salmon ben Jeroham by Leon Nemoy, The Jewish Quarterly Review, New Series, Vol. 28, No. 1 (Jul., 1937), pp. 91-94 ; Nemoy rapporte une contre-légende rabbinique, selon laquelle Salman ben Yerouḥam aurait été l'un des leurs, devenu karaïte à la suite d'un conflit personnel avec son rival Saadia ; il se peut toutefois qu'Abou Kathir ait été un Karaïte, Simhah Pinsker l'identifiant au grammairien Juda ben Eli — cf. S. Stroumsa, 2003