« De la palette d’Utrillo aux mots de Sacha Guitry », Actu, (lire en ligne sur Gallica).
« Une conférence de M. Sacha Guitry rapporte 14.621 francs 80 aux victimes de la RAF », Le Petit Parisien, 28 29 mars 1942 (lire en ligne sur Gallica).
Philippe d' Hugues, « Ce haïssable théâtre filmé », 1895, revue d'histoire du cinéma, vol. 15, no 1, , p. 55–64 (DOI10.3406/1895.1993.1064, lire en ligne, consulté le )
dvdfr.com
Selon la base de données DVD.fr. Cependant, les films originaux de Guitry (sauf Le Veilleur de nuit qui ne fut pas adapté au cinéma par Guitry) furent édités en DVD.
Anne Spofford Kimball, Anne Verdure-Mary (commentaires et édition), « « Je me tais et j’attends… » Lettres inédites à Jean Cocteau (1916 ?-1944) et à Madame sa mère (1922-1927) », Cahiers Max Jacob numéro 17-18, 2017 m, p. 11-32, article no Lettre à Jean Cocteau numéro 14 (lire en ligne).
L'intervention de Guitry pour sauver Max Jacob fait l’objet d’un débat. Dans « La mort de Max Jacob : réalité et représentations » (Les Cahiers Max Jacob, 2009, numéro 9, p. 103-118), Patricia Sustrac relève que :
« Henri Jadoux, fidèle assistant et biographe de Sacha Guitry, relate que le dramaturge et lui-même ont été entendus par les services de la Gestapo sans préciser le rang de l’autorité qui les reçut. Sacha Guitry, quant à lui, ne fait pas mention de cette rencontre, ni d’aucune autre démarche spécifique pour sauver Max Jacob ». Cf. Sacha Guitry, Quatre ans d’occupations, dans Cinquante ans d’Occupations, coll. « Omnibus », Presses de la Cité, Paris , 1992, p. 707-899.
À partir de 1942 « an terrible pour les Juifs », il considère que quotidiennement, « [leurs] doléances [lui] parviennent » (ibid. p. 849). Si les démarches pour libérer Tristan Bernard sont très précisément décrites (ibid., p. 867-880), rien n’est noté en faveur de Max Jacob.
Philippe d' Hugues, « Ce haïssable théâtre filmé », 1895, revue d'histoire du cinéma, vol. 15, no 1, , p. 55–64 (DOI10.3406/1895.1993.1064, lire en ligne, consulté le )