« Mandatum ad Ottonem Frisingensem datum », dans Monumenta Germaniae Historia : Constitutiones et acta publica imperatorum et regum, t. 1, Hannovre, , Friderici I. constitutiones, texte no 161, p. 224 (lire en ligne, consulté le 21 août 2015).
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Václav Žůrek, « Les langues du roi. Le rôle de la langue dans la communication de propagande dynastique à l’époque de Charles IV », Revue de l'Institut français d'histoire en Allemagne, (DOIhttps://doi.org/10.4000/ifha.8045, lire en ligne).
Concernant la nomenclature officielle « Saint-Empire romain » : Représentation impartiale de ce qui est juste à l'égard de l'élection d'un roi des Romains, selon les lois et les coutumes du Saint Empire Romain, La Haye, 1751, p. 46 : « Le Roi des Romains doit et veut ne se mêler du Gouvernement et de l'Administration du Saint Empire Romain, qu'autant que sa Majesté Impériale voudra le lui céder et permettre », etc. passim[1]. David Chytraeus, Histoire de la Confession d'Auxpourg, Anvers, chez Armand Coninx, 1632, p. 341 : « qu'on aduisat de faire vne paix publique et bien asseurée pour tout le Saint Empire Romain », et passim[2]. Code criminel de l'empereur Charles V, vulgairement appelé la Caroline, La Neuville, 1742, p. 12 : « Je jure de rendre justice et de prononcer un jugement en affaire criminelle… de suivre fidèlement l'Ordonnance Criminelle de l'Empereur Charles V, du Saint Empire »[3].
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Walter Zurbuchen, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, « L'établissement de relations diplomatiques entre le Saint-Siège et la république de Genève: une histoire anecdotique », Bulletin de la Société d'histoire et d'archéologie de Genève, vol. Tome XVIII, 2e livraison, (lire en ligne).
Walter Zurbuchen, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, « L'établissement de relations diplomatiques entre le Saint-Siège et la république de Genève: une histoire anecdotique », Bulletin de la Société d'histoire et d'archéologie de Genève, vol. Tome XVIII, 2e livraison, (lire en ligne)
Godefroid Kurth, Biographie nationale T. XV, publiée par l'Académie royale des sciences, des lettres et des Beaux-arts de Belgique, Bruxelles 1897, p. 901 et suiv.[4]
Václav Žůrek, « Les langues du roi. Le rôle de la langue dans la communication de propagande dynastique à l’époque de Charles IV », Revue de l'Institut français d'histoire en Allemagne, (DOIhttps://doi.org/10.4000/ifha.8045, lire en ligne).