(en) « Making Sense of the YSL Retrobranding », sur businessoffashion.com, (consulté le ) : « Yves Saint Laurent, the company, which was founded in haute couture, became the first Parisian fashion house to launch a ready-to-wear collection, in 1966, then called “Saint Laurent Rive Gauche” »
« Une première pour Yves Saint Laurent », L'Officiel de la mode, Éditions Jalou, no 634, , p. 10 (ISSN0030-0403, lire en ligne)« Les nouveaux salons de la boutique Saint Laurent rive-gauche accueillirent un parterre de femmes très élégantes, venues admirer les nouvelles créations fourrures d'Yves Saint Laurent, présentées pour la première fois. »
« Une première pour Yves Saint Laurent », L'Officiel de la mode, Éditions Jalou, no 634, , p. 10 (ISSN0030-0403, lire en ligne)« Les nouveaux salons de la boutique Saint Laurent rive-gauche accueillirent un parterre de femmes très élégantes, venues admirer les nouvelles créations fourrures d'Yves Saint Laurent, présentées pour la première fois. »
Florentin Collomp, « YSL, trois lettres qui valent de l'or », sur lefigaro.fr, Le Figaro, (consulté le ) : « Le premier parfum Saint Laurent, Y, est lancé en 1964 par Charles of the Ritz, en échange de 5 % du chiffre d'affaires reversés en royalties à la maison de couture. Cet afflux de liquidités permet de créer en 1966 le prêt-à-porter, sous le nom d'Yves Saint Laurent Rive Gauche. »
Nicolas Penicaut, « Une affaire cousue d’or », Culture, sur liberation.fr, Libération, (consulté le ) : « Rive gauche, nom qui renvoie à cette rive parisienne sur laquelle, il a ouvert en 1966 sa première boutique de prêt-à-porter. Cette ouverture est saluée par la presse comme un coup de génie et le début d’une longue série dans différentes capitales. »
Anne Boulay, « La fin des années clinquantes », sur liberation.fr, Libération, (consulté le ) : « Le concept remonte à l'ouverture de la boutique Saint Laurent Rive gauche, à la fin des années 60. C'est l'identification de la boutique qui faisait qu'on entrait», se souvient Andrée Putman. »
Gérard Lefort, « YSL, un style et un sigle », Culture, sur liberation.fr, Libération, (consulté le ) : « la première boutique Rive gauche. Il s’agissait de mettre à portée de main et de porte-monnaie, une mode jusqu’alors inaccessible au commun des femmes. Les prix de ce prêt-à-porter de luxe restent élevés mais possibles sur le mode du coup de tête. »
« Tom Ford taille dans YSL », Économie, sur liberation.fr, Libération, (consulté le ) : « L'idée est de regrouper les "produits féminins sous le seul label Rive Gauche". »
next.liberation.fr
Clément Ghys, « Didier Grumbach. Monsieur mode », Next, sur liberation.fr, Libération, (consulté le ) : « Un vent nouveau fait alors trembler les ateliers parisiens : le prêt-à-porter. Grumbach est de l’aventure Yves Saint Laurent Rive Gauche en 1966, s’associe avec le petit prince à lunettes de la couture et Pierre Bergé »
Cédric Saint-André Perrin, « YSL, merci patrons », Next, sur liberation.fr, Libération, (consulté le ) : « Rive Gauche étant à présent fabriqué en Italie dans les usines Gucci, certains sous-traitants français, avec lesquels nous collaborons depuis des années, risquaient de glisser la clé sous la porte. »
lofficielmode.com
Edson Pannier, « Stefano Pilati, itinéraire d’une force tranquille », sur lofficielmode.com, Éditions Jalou, (consulté le ) : « Chez Yves Saint Laurent, il accompagne Tom Ford avant de prendre le contrôle de la ligne Rive Gauche. Lorsque le roi du porno-chic fait ses valises en 2004, Stefano Pilati prend le relais. Dès lors, il brise les codes établis par son prédécesseur et impose sa patte dans le plus grand respect de la tradition Saint Laurent. »