Voir : Cyprien Tanguay, Dictionnaire généalogique des familles canadiennes [du régime français (1608-1760)] (Montréal, Eusèbe Sénécal, 1871-1890, 7 vol.) et René Jetté, Dictionnaire généalogique des familles du Québec, des origines à 1730 (Montréal, Les Presses de l'Université de Montréal, 2002 (1re édit. 1983), 1206 p. (ISBN978-2-89105-815-5) Gaétan Morin Éditeur, distributeur de l'ouvrage).
ameriquefrancaise.org
À la fin de l'été 1867, près de Cobden en Ontario, un adolescent trouve ce qui lui semble un petit disque en laiton, à l'occasion de travaux de défrichage menés par son père. Il comporte un anneau de suspension, un pointeur mobile, des graduations. Ce petit astrolabe est gravé d'un « 1603 ». Quiconque l'apprend conclut à « l'astrolabe de Champlain ». Mais... avec ce vieil astrolabe miniature, on trouve une chaîne rouillée, de petits récipients en cuivre, ainsi que deux gobelets en argent gravé. En 2004, le chercheur Douglas Hunter propose une autre conclusion qui tient compte de l'ensemble des données, et que le journaliste Jean-François Nadeau rapporte, sous le titre Est-ce bien l'astrolabe de Samuel de Champlain? (Le Devoir du 30 décembre 2004. Voir l'article. — D'autres auteurs ignorent encore cette interrogation, même le Musée de l'Amérique française (à Québec), comme le Musée canadien des civilisations (à Ottawa), l'actuel gardien de cet objet qu'il nomme, toutefois, prudemment « l'astrolabe dit de Champlain ».
Samuel de Champlain, Des sauvages, ou Voyage de Samuel Champlain, de Brouage, fait en la France nouvelle l'an mil six cens trois... : contenant les moeurs, façons de vivre, mariages, guerres, & habitations des sauvages de Canadas [sic]..., Paris, C. de Monstr'oeil, , IV-36 f. (lire en ligne)
books.google.com
Pierre Damien Rainguet, Biographie saintongeaise ou Dictionnaire historique de tous les personnages qui se sont illustrés dans les anciennes provinces de Saintonge et d'Aunis jusqu'à nos jours, Saintes, (réimpr. 1971) (lire en ligne), 140-141
Liste des actes de Brouage sur le site d'archives des registres paroissiaux, pastoraux et d'état civil de la Charente-Maritime.
civilisations.ca
À la fin de l'été 1867, près de Cobden en Ontario, un adolescent trouve ce qui lui semble un petit disque en laiton, à l'occasion de travaux de défrichage menés par son père. Il comporte un anneau de suspension, un pointeur mobile, des graduations. Ce petit astrolabe est gravé d'un « 1603 ». Quiconque l'apprend conclut à « l'astrolabe de Champlain ». Mais... avec ce vieil astrolabe miniature, on trouve une chaîne rouillée, de petits récipients en cuivre, ainsi que deux gobelets en argent gravé. En 2004, le chercheur Douglas Hunter propose une autre conclusion qui tient compte de l'ensemble des données, et que le journaliste Jean-François Nadeau rapporte, sous le titre Est-ce bien l'astrolabe de Samuel de Champlain? (Le Devoir du 30 décembre 2004. Voir l'article. — D'autres auteurs ignorent encore cette interrogation, même le Musée de l'Amérique française (à Québec), comme le Musée canadien des civilisations (à Ottawa), l'actuel gardien de cet objet qu'il nomme, toutefois, prudemment « l'astrolabe dit de Champlain ».
Thierry, Éric, « Le mystère des origines de Samuel de Champlain », Cap-aux-diamants, no. 134, été 2018, p. 4-7 (ISSN0829-7983, lire en ligne)
Robert Le Blant, La famille Boullé 1586-1639, Revue d'histoire de l'Amérique française, vol. 17, no 1, 1963, p. 55-69en ligne.
Robert Le Blant, Le triste veuvage d’Hélène Boullé, Revue d'histoire de l'Amérique française, vol. 18, no 3, 1964, p. 425-437 [PDF] Lire en ligne.
fichierorigine.com
Le texte de l'acte peut se lire comme suit : « Le vandredy treziesme Jour daougst / mil cinq centz SoySente et quatorze / a este baptize Samuel filz de / Anthoynne chapeleau et de m (mot rayé) / margerite Le Roy p[a]rain Estienne / Paris, mayrenne Marye Rousseau. / Signatures : Denors, N Girault (paraphe). » — Source : Fiche « Champlain (De), Samuel », du Fichier Origine.
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Cette carte manuscrite de Champlain est signalée à Nantes en 1886 cédée par un abbé à Gabriel-Alexandre Marcel, qui la cède plus tard à Henry Harrisse, un historien franco-américain. Ce dernier fait don de cette carte à la Bibliothèque du Congrès à Washington en 1910. Source: Marcel, Gabriel, Cartographie de la Nouvelle-France: Supplément de l'ouvrage de H. Harrisse, Paris Maisonneuve, 1885, p. 6..https://books.google.ca/books?id=BH8OAAAAYAAJ&printsec=frontcover#v=onepage&q&f=false
Voir aussi : Nicole Fyfe-Martel, Hélène de Champlain (roman historique, trilogie), (Montréal, HMH [1], 2003, 2005, 2007, 3 tomes avec bibliographie, réimpr. mars 2008). ; Note : Un peu de fiction pétillante sur trame historique rigoureuse, l'auteure est tante de l'historien Mathieu D'Avignon (elle le révèle dans la section remerciements).
issn.org
portal.issn.org
Thierry, Éric, « Le mystère des origines de Samuel de Champlain », Cap-aux-diamants, no. 134, été 2018, p. 4-7 (ISSN0829-7983, lire en ligne)
N. Weiss, « Champlain était-il huguenot? », Bulletin de la Société de l'Histoire du Protestantisme Français (1903-), vol. 61, no 3, , p. 276 (ISSN0037-9050, lire en ligne, consulté le )
Eugène Réveillaud, « SAMUEL CHAMPLAIN, de Brouage: ses origines et ses affinités protestantes », Bulletin de la Société de l'Histoire du Protestantisme Français (1903-), vol. 80, no 2, , p. 189 (ISSN0037-9050, lire en ligne, consulté le )
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N. Weiss, « Champlain était-il huguenot? », Bulletin de la Société de l'Histoire du Protestantisme Français (1903-), vol. 61, no 3, , p. 276 (ISSN0037-9050, lire en ligne, consulté le )
Eugène Réveillaud, « SAMUEL CHAMPLAIN, de Brouage: ses origines et ses affinités protestantes », Bulletin de la Société de l'Histoire du Protestantisme Français (1903-), vol. 80, no 2, , p. 189 (ISSN0037-9050, lire en ligne, consulté le )
Au-delà de la présomption provenant de son prénom, usuel dans les familles protestantes, des chercheurs ont découvert en 2012 son acte de baptême dans un temple protestant de La Rochelle. Cela explique sa grande discrétion sur ses origines car il se trouvera en compagnie de religieux catholiques dans sa carrière dans le Nouveau Monde. « Samuel de Champlain serait né protestant », sur le site du journal Le Soleil, (consulté le )
Gagnon, François-Marc, Le Brief Discours est-il de Champlain ?, pp. 83-92, dans Raymonde Litalien (dir.) et Denis Vaugeois (dir.), Champlain : La naissance de l'Amérique française, Sillery (Québec)/Paris/La Rochelle, Septentrion (Québec) et Nouveau monde éditions (Paris), , 400 p. (ISBN2-89448-388-0, présentation en ligne)
(en) Conrad E. Heidenreich: Who was Champlain? His Family and Early Life. (Métis sur mer; 8 août 2008). — As said into a note to this text, "this lecture is based on parts of a book by Conrad E. Heidenreich and K. Janet Ritch soon to by published by The Champlain Society, provisionally entitled: The Works of Samuel de Champlain: Des Sauvages and other Documents Related to the Period before 1604".
Dans le contexte, son titre de maréchal des logis désigne alors probablement un hallebardier responsable des écuries : un « maréchal des logis de cavalerie », qui commande aux fourriers. Au siècle suivant, la première parution (1694) du Dictionnaire de l'Académie françaiseindique que : « Mareschal des Logis, Est celuy qui fait le departement [=la distribution, l'assignation, la répartition] des logis de ceux qui suivent la Cour ou des troupes de l'armée. Grand Mareschal des logis chez le Roy. Mareschal des logis par quartier. premier Mareschal des logis chez la Reine, chez les fils de France. Mareschal des logis General d'une armée. Mareschal des logis de cavalerie. Mareschal des logis d'une Compagnie de cavalerie. »
Actes existants concernant Hélène Boullé : contrat de mariage (27 décembre 1610 devant les notaires Nicolas Chocquillot et Loys [Louis] Arragon, registre des Insinuations, greffe du Châtelet, Paris), exhérédation d'Hélène Boullé, femme de Champlain, par ses parents Nicolas Boullé et Marguerite Alix (10 janvier 1614) et révocation de cet acte (23 mai 1636), testament de Marguerite Alix, femme de Nicolas Boullé, déshéritant sa fille Hélène (14 février 1614) et révocation de cet acte (23 mai 1636), contrat d'engagement de sa suivante (domestique) Ysabel Terrier (22 juillet 1617, à Paris), dernier testament de Champlain (1635, à Québec), réception d'Hélène Boullé au couvent des Ursulines de la rue Saint-Jacques (20 mars 1646, A.N. Min. Centr. LXII, 82), privilège accordé par l'évêque à Hélène Boullé, fondatrice d'une maison des Ursulines à Meaux (10 mars 1648, acceptation des religieuses Ursulines d'un contrat pour l'achat d'une maison à Meaux (19 mai et 22 juin 1650, Arch. Dept. Seine & Marne, Série H624), procuration du (17 octobre 1650) et constitution de rente par les Ursulines de Meaux aux Ursulines de Paris (26 octobre 1650, A.N. Min. Centr. LXIV, liasse 90, De Rivière) rachat de cette rente (17 novembre 1654, id.), etc. — voir aussi : Fonds René-Baudry, Université de Moncton
À la fin de l'été 1867, près de Cobden en Ontario, un adolescent trouve ce qui lui semble un petit disque en laiton, à l'occasion de travaux de défrichage menés par son père. Il comporte un anneau de suspension, un pointeur mobile, des graduations. Ce petit astrolabe est gravé d'un « 1603 ». Quiconque l'apprend conclut à « l'astrolabe de Champlain ». Mais... avec ce vieil astrolabe miniature, on trouve une chaîne rouillée, de petits récipients en cuivre, ainsi que deux gobelets en argent gravé. En 2004, le chercheur Douglas Hunter propose une autre conclusion qui tient compte de l'ensemble des données, et que le journaliste Jean-François Nadeau rapporte, sous le titre Est-ce bien l'astrolabe de Samuel de Champlain? (Le Devoir du 30 décembre 2004. Voir l'article. — D'autres auteurs ignorent encore cette interrogation, même le Musée de l'Amérique française (à Québec), comme le Musée canadien des civilisations (à Ottawa), l'actuel gardien de cet objet qu'il nomme, toutefois, prudemment « l'astrolabe dit de Champlain ».
Éric Thierry nous explique dans cette vidéo le travail du graveur de David Pelletier. Il s’agit de la scène de la bataille de 1609 parue dans l’ouvrage de Champlain paru en 1613
https://www.youtube.com/watch?v=m2Q0c2cWNH8.