Sarcophage d'Eshmunazar II (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Sarcophage d'Eshmunazar II" in French language version.

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doi.org

dx.doi.org

  • «Son intérêt est plus grand à la fois à ce titre et comme étant la première inscription proprement dite qui ait encore été trouvée en Phénicie proprement dite, qui n'avait fourni auparavant que quelques monnaies et une gemme inscrite. C'est aussi la plus longue inscription découverte jusqu'ici, celle de Marseille - qui s'en rapproche le plus par la forme de ses caractères, la pureté de sa langue et son étendue - consistant en seulement 21 vers et fragments de vers», Turner, « The Sidon Inscription, with a Translation and Notes », Journal of the American Oriental Society, vol. 5,‎ , p. 243–259 (ISSN 0003-0279, DOI 10.2307/592227, JSTOR 592227, lire en ligne)

issn.org

portal.issn.org

  • «Son intérêt est plus grand à la fois à ce titre et comme étant la première inscription proprement dite qui ait encore été trouvée en Phénicie proprement dite, qui n'avait fourni auparavant que quelques monnaies et une gemme inscrite. C'est aussi la plus longue inscription découverte jusqu'ici, celle de Marseille - qui s'en rapproche le plus par la forme de ses caractères, la pureté de sa langue et son étendue - consistant en seulement 21 vers et fragments de vers», Turner, « The Sidon Inscription, with a Translation and Notes », Journal of the American Oriental Society, vol. 5,‎ , p. 243–259 (ISSN 0003-0279, DOI 10.2307/592227, JSTOR 592227, lire en ligne)

jstor.org

  • «Son intérêt est plus grand à la fois à ce titre et comme étant la première inscription proprement dite qui ait encore été trouvée en Phénicie proprement dite, qui n'avait fourni auparavant que quelques monnaies et une gemme inscrite. C'est aussi la plus longue inscription découverte jusqu'ici, celle de Marseille - qui s'en rapproche le plus par la forme de ses caractères, la pureté de sa langue et son étendue - consistant en seulement 21 vers et fragments de vers», Turner, « The Sidon Inscription, with a Translation and Notes », Journal of the American Oriental Society, vol. 5,‎ , p. 243–259 (ISSN 0003-0279, DOI 10.2307/592227, JSTOR 592227, lire en ligne)

uni-mainz.de

hebraistik.uni-mainz.de

  • «Hélas, tous les textes en alphabet phénicien étaient ou tardifs ou puniques, et venaient de Chypre, des ruines de Kition, de Malte, de Sardaigne, d'Athènes et de Carthage, mais pas encore de la patrie phénicienne. Le premier texte phénicien en tant que tel a été trouvé en 1855, l'inscription du sarcophage d'Eshmunazor de Sidon.», (de) Reinhard G. Lehmann, Biblische Exegese und hebräische Lexikographie: Das "Hebräisch-deutsche Handwörterbuch" von Wilhelm Gesenius als Spiegel und Quelle alttestamentlicher und hebräischer Forschung, 200 Jahre nach seiner ersten Auflage, Berlin, De Gruyter, (ISBN 978-3-11-026704-4, OCLC 902599516, lire en ligne [archive du ]), « Wilhelm Gesenius and the Rise of Phoenician Philology »

web.archive.org

  • «Hélas, tous les textes en alphabet phénicien étaient ou tardifs ou puniques, et venaient de Chypre, des ruines de Kition, de Malte, de Sardaigne, d'Athènes et de Carthage, mais pas encore de la patrie phénicienne. Le premier texte phénicien en tant que tel a été trouvé en 1855, l'inscription du sarcophage d'Eshmunazor de Sidon.», (de) Reinhard G. Lehmann, Biblische Exegese und hebräische Lexikographie: Das "Hebräisch-deutsche Handwörterbuch" von Wilhelm Gesenius als Spiegel und Quelle alttestamentlicher und hebräischer Forschung, 200 Jahre nach seiner ersten Auflage, Berlin, De Gruyter, (ISBN 978-3-11-026704-4, OCLC 902599516, lire en ligne [archive du ]), « Wilhelm Gesenius and the Rise of Phoenician Philology »

worldcat.org

  • «Hélas, tous les textes en alphabet phénicien étaient ou tardifs ou puniques, et venaient de Chypre, des ruines de Kition, de Malte, de Sardaigne, d'Athènes et de Carthage, mais pas encore de la patrie phénicienne. Le premier texte phénicien en tant que tel a été trouvé en 1855, l'inscription du sarcophage d'Eshmunazor de Sidon.», (de) Reinhard G. Lehmann, Biblische Exegese und hebräische Lexikographie: Das "Hebräisch-deutsche Handwörterbuch" von Wilhelm Gesenius als Spiegel und Quelle alttestamentlicher und hebräischer Forschung, 200 Jahre nach seiner ersten Auflage, Berlin, De Gruyter, (ISBN 978-3-11-026704-4, OCLC 902599516, lire en ligne [archive du ]), « Wilhelm Gesenius and the Rise of Phoenician Philology »