Olivier Lazzarotti, « Franz Schubert était-il viennois? // Was Franz Schubert a Viennese ? », Annales de géographie, vol. 113, no 638, , p. 425–444 (DOI10.3406/geo.2004.21632, lire en ligne, consulté le )
Olivier Lazzarotti, « Franz Schubert était-il viennois? // Was Franz Schubert a Viennese ? », Annales de géographie, vol. 113, no 638, , p. 425–444 (DOI10.3406/geo.2004.21632, lire en ligne, consulté le )
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Ce tableau est l’un des plus célèbres représentant une Schubertiade par un témoin oculaire. Elle est en effet dessinée de mémoire par Moritz von Schwind en 1868 ; il s’est représenté lui-même parmi le public, comptant parmi les amis du compositeur. En plus de Schubert au piano et Vogl au chant, on y reconnaît aussi d’autres amis de Schubert, artistes pour la plupart (musiciens, compositeurs, peintres, écrivains) : Josef von Spaun (peut-être à sa gauche pour la tourne des pages de la partition), ainsi que Franz Lachner, Wilhelm August Rieder, Leopold Kupelwieser, Eduard von Bauernfeld, Franz von Schober, Franz Grillparzer, et sur le tableau au mur la comtesse Caroline Esterházy, qui fut l’élève et le grand amour malheureux de Schubert. Inspiré et traduit de la description en allemand du fichier : (de) photo : Andreas Praefcke, « Schubertiade de Moritz von Schwind », sur wikimedia.org, (consulté le )