Plan du temple au mur : (en) Babis Intzesiloglou, « A newly discovered Archaic bronze statue from Metropolis (Thessaly) », dans Maria Stamatopoulou et Marina Yeroulanou dir., Excavating classical culture : recent archaeological discoveries in Greece, Oxford, England : Archaeopress, (SUDOC074049879, lire en ligne), p. 111 et 115 : à propos de la statue de culte, Apollon hoplite. ("The Archaic Temple of Apollo at Metropolis (Thessaly)")
Annonce de la découverte du kouros, en mai 2001 : [4], sur artaujourdhui.info. Voir aussi: Alain Duplouy, « Wolf-Dietrich NIEMEIER, Der Kuros vom Heiligen Tor. Überraschende Neufunde archaischer Skulptur im Kerameikos in Athen », L'Antiquité Classique, no 74, , p. 600 (lire en ligne, consulté le ).
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Jeune fille en train de courir. British Museum : [12]. Comparer au même sujet, vers 550-540 [13] . MNArch Athènes.
Kouros d'Anafi: Atelier d'une île proche d'Anafi (?) : selon Ernst Langlotz, cité par le British Museum : [16].
cairn.info
Le minerai de fer de meilleure qualité se trouvait surtout en Laconie, mais aussi sur l'île de Thasos, qui était une colonie de Paros depuis environ 680. Plus d'informations : Giorgos M. Sanidas, Yannis Bassiakos, Myrto Georgakopoulou, Eleni Filippaki, Benjamin Jagou et Nerantzis Nerantzis, « Polykmetos Sideros : À propos du fer en Grèce Antique », Revue Archéologique, vol. 2, no 62, , p. 279-301 (lire en ligne [Cairn Info], consulté le ).
Patrice Brun, « Chapitre 2 - La période de l’hégémonie athénienne 479-431 », dans Patrice Brun, Le Monde Grec à l'époque classique - 500-323 avant J.-C., Armand Colin, coll. « U », , 269 p. (ISBN9782200246525, lire en ligne), p. 25-36, l'ouvrage de 2010 en ligne : [3]. 4e éd. 2020 (SUDOC242556019), numérique : (SUDOC253184320)
Tonio Hölscher, La vie des images grecques : Sociétés de statues, rôles des artistes et notions esthétiques dans l'art grec ancien, Hazan : Louvre Éditions, (ISBN978-2-7541-0841-6, SUDOC187241910), p. 116-117 et (en) Jeffrey M. Hurwit, Artists and Signatures in Ancient Greece, Cambridge University Press, (ISBN9781316226452, SUDOC188041028, lire en ligne), p. 3
Danse pyrrhique : « Danse guerrière, particulièrement en honneur à Sparte et en Crète puis importée à Rome, exécutée le plus souvent au son de la flûte et sur un mode rapide par des hommes en armes simulant un combat »: CNRTL. Cette dernière interprétation sur Semni Karouzou, Musée national, 1978-1984, p. 52. En référence à Demetrius V. Schilardi (/ stèle funéraire, 510, danse) : [20], sur Annual of the British School at Athens, 1987.
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Publication par Ernst Langlotz en 1927 de Fruehgriechische Bildhauerschulen, (SUDOC257269924). (de) Helga Dittmers-Herdejürgen, « Langlotz, Ernst », sur Deutsche Biographie, n.d. (consulté le )
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Voir aussi : Hélène Aurigny, Danièle Braunstein et Jean-Luc Martinez, « Recherches sur la sculpture archaïque de Delphes : nouvelles propositions et perspectives », Bulletin de Correspondance Hellénique, vol. 142, no 1, , p. 71-96 (lire en ligne, consulté le ).
Collection du musée [1]. Traduction partielle de la notice: "Le jeune sur la stèle funéraire est représenté comme un athlète, avec un aryballe (flacon d'huile) suspendu à son poignet. L'athlétisme était une partie importante de l'éducation de chaque garçon et l'huile était utilisée comme nettoyant après l'exercice. Il tient une grenade - un fruit associé à la fois à la fécondité et à la mort dans les mythes grecs - indiquant peut-être qu'il avait atteint la puberté avant sa mort. La petite fille, vraisemblablement une sœur cadette, tient une fleur." Ce monument doit avoir été érigé par l'une des familles de l'élite les plus riches d'Athènes. Voir aussi Holtzmann et Pasquier, 1998/2011, p. 138-139
Sophie Descamps-Lequime, Isabelle Biron et Juliette Langlois, « Les yeux d’Auguste et de Livie au musée du Louvre : une nouvelle technique antique identifiée », Techne « Bronzes grecs et romains : études récentes sur la statuaire antique », (lire en ligne, consulté le ).
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Dominique Barcat, « La diffusion des premières images de l’Égypte en Grèce », dans François Brizay, Les formes de l'échange: Communiquer, diffuser, informer, de l'Antiquité au XVIIIe siècle, PUR, (ISBN978-2-7535-1994-7, SUDOC163924856, lire en ligne), p. 28 (repère numérique)
L'auteur est « vraisemblablement parien » (Holtzmann, 2010, p. 166). Voir aussi la Restitution du Trésor de Siphnos, vue du Nord-Ouest (d’après E. Hansen) sur : Didier Viviers, Le bouclier signé du Trésor de Siphnos à Delphes : « Régions stylistiques » et ateliers itinérants ou la sculpture archaïque face aux lois du marché, [17] in Christel Müller et Francis Prost , dir. :Identités et cultures dans le monde méditerranéen antique, Éditions de la Sorbonne 2002. (SUDOC069478619) et (SUDOC236693794).
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Alain Bresson, « Naucratis : de l'emporion à la cité », Topoi. Orient-Occident, vol. 12-13/1, , p. 133-155 (lire en ligne, consulté le ).
Alain Bresson, « Naucratis : de l'emporion à la cité », Topoi. Orient-Occident, vol. 12-13/1, , p. 133-155 (lire en ligne, consulté le ). Voir aussi l’étude par H. Kyrieleis de ce colosse d’Ischès qui précise en quoi le modèle que présentait la sculpture de l’Égypte pharaonique a pu aider les sculpteurs samiens mais aussi le rôle qu'a pu jouer Chypre à travers les ateliers de sculpture à Naucratis.
Annonce de la découverte du kouros, en mai 2001 : [4], sur artaujourdhui.info. Voir aussi: Alain Duplouy, « Wolf-Dietrich NIEMEIER, Der Kuros vom Heiligen Tor. Überraschende Neufunde archaischer Skulptur im Kerameikos in Athen », L'Antiquité Classique, no 74, , p. 600 (lire en ligne, consulté le ).
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Dominique Barcat, « La diffusion des premières images de l’Égypte en Grèce », dans François Brizay, Les formes de l'échange: Communiquer, diffuser, informer, de l'Antiquité au XVIIIe siècle, PUR, (ISBN978-2-7535-1994-7, SUDOC163924856, lire en ligne), p. 28 (repère numérique)
Publication par Ernst Langlotz en 1927 de Fruehgriechische Bildhauerschulen, (SUDOC257269924). (de) Helga Dittmers-Herdejürgen, « Langlotz, Ernst », sur Deutsche Biographie, n.d. (consulté le )
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Marion Muller-Dufeu, Créer du vivant : Sculpteurs et artistes dans l'Antiquité grecque, Villeneuve d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, , 381 p., 24 cm (ISBN978-2-7574-0208-5, SUDOC150783140), p. 48-49. (SUDOC250190842)
Plan du temple au mur : (en) Babis Intzesiloglou, « A newly discovered Archaic bronze statue from Metropolis (Thessaly) », dans Maria Stamatopoulou et Marina Yeroulanou dir., Excavating classical culture : recent archaeological discoveries in Greece, Oxford, England : Archaeopress, (SUDOC074049879, lire en ligne), p. 111 et 115 : à propos de la statue de culte, Apollon hoplite. ("The Archaic Temple of Apollo at Metropolis (Thessaly)")
Alain Pasquier et Jean-Luc Martinez, 100 chefs-d'oeuvre de la sculpture grecque au Louvre, Somogy éd. d'art ; Musée du Louvre Ed., (SUDOC114647259), p. 24-25.
(en) Neer, Art & archaeology of the Greek world : a new history, c. 2500 - c. 150 BCE, Thames & Hudson, , 400 p., 29 cm (ISBN978-0-500-05166-5, SUDOC158540670), p. 149-203
L'auteur est « vraisemblablement parien » (Holtzmann, 2010, p. 166). Voir aussi la Restitution du Trésor de Siphnos, vue du Nord-Ouest (d’après E. Hansen) sur : Didier Viviers, Le bouclier signé du Trésor de Siphnos à Delphes : « Régions stylistiques » et ateliers itinérants ou la sculpture archaïque face aux lois du marché, [17] in Christel Müller et Francis Prost , dir. :Identités et cultures dans le monde méditerranéen antique, Éditions de la Sorbonne 2002. (SUDOC069478619) et (SUDOC236693794).
Brigitte Le Guen (dir.), Maria Cecilia d'Ercole et Julien Zurbach, Naissance de la Grèce : De Minos à Solon : 3200 à 510 avant notre ère, (ISBN978-2-7011-6492-2, SUDOC235597856), p. 394-395
Son expression discrète, sans le sourire archaïque des anciennes Korai, évoque l'art classique primitif et le soi-disant "style sévère" : (en) « Statue of a Kore. The "Kore with Almond Eyes" », sur Acropolis Museum (consulté le )
(en) « Core 685 », sur Acropolis Museum (consulté le ). Elle portait, sur la tête, une protection en forme de petite ombrelle de bronze, le méniskos.
Dimension actuellement introuvable sauf sur Voyage Hors Saison 2022.05.12 (Le temple archaïque d’Apollon Metropolis près de Karditsa) et selon l'information donnée par « une archéologue rencontrée sur place » ([8]).