Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Serge Humpich" in French language version.
« Je pense avoir choisi le métier d'ingénieur en électronique parce qu'il comble mon attirance pour les subtilités de la technique. J'aime cette culture ardue, rare, les astuces étonnantes qu'elle suscite. »
« Je fus bien inspiré de parler de mes recherches à Frédéric Sayn, un de mes collègues du Crédit Lyonnais, avec qui j'avais sympathisé. Notre relation professionnelle était saine, nous nous comprenions assez bien. J'appris que son père était avocat, spécialiste de droit industriel, aveugle, mais que sa cécité ne limitait pas ses capacités de travail. Je me méfiais beaucoup des avocats, mais j'avais confiance en Frédéric ; son père pouvait être la bonne personne. »
« J'arrivai à la station Balard, vers 9 heures, moment de forte affluence. Je m'arrêtai devant deux distributeurs de tickets de métro […] de la RATP, apparemment les tout derniers modèles, dont on ne pouvait pas douter de la sûreté. […] Je m'approchai de l'un des deux appareils et attendis mon tour. Puis je sortis naturellement de ma poche la première de mes cartes bancaires témoins et sélectionnai le plus petit achat payable ici avec la carte bancaire à puce, c'est-à-dire un carnet de tickets de métro sans réduction au prix de 48 francs. […] Pour finir, la machine me demanda si je souhaitais obtenir une facturette. Je répondis « oui », puisque je comptais la remettre à Me Sayn afin qu'il la présente, avec les tickets, au groupement cartes bancaires. Avais-je été trop lent à réagir ou m'étais-je trompé dans la touche de réponse, toujours est-il qu'aucune facturette n'apparut. J'introduisis de nouveau la même carte, et fis le même achat, puis j'achetai quatre autres cartes. Pour tous, j'obtins des facturettes ayant des numéros différents qui se suivaient. […] Pendant ma pause déjeuner, je me rendis à la station de métro Charles-Michels. Il devait être midi et demi quand, devant le même type d'appareil, j'introduisis mes cinq autres cartes bancaires, et achetai de nouveau cinq carnets de métro. J'avais donc en poche onze carnets de métro et dix facturettes. »
« J'ai ma conscience pour moi et il me semble bien vain de continuer à faire le jeu de la justice. J'ai donc décidé d'abandonner mon appel. Ce livre permettra à chacun de se faire une idée sur cette histoire, et peut-être même de juger en son for intérieur. Il est mon appel devant tous. »
« Je pense avoir choisi le métier d'ingénieur en électronique parce qu'il comble mon attirance pour les subtilités de la technique. J'aime cette culture ardue, rare, les astuces étonnantes qu'elle suscite. »
« Je fus bien inspiré de parler de mes recherches à Frédéric Sayn, un de mes collègues du Crédit Lyonnais, avec qui j'avais sympathisé. Notre relation professionnelle était saine, nous nous comprenions assez bien. J'appris que son père était avocat, spécialiste de droit industriel, aveugle, mais que sa cécité ne limitait pas ses capacités de travail. Je me méfiais beaucoup des avocats, mais j'avais confiance en Frédéric ; son père pouvait être la bonne personne. »
« J'arrivai à la station Balard, vers 9 heures, moment de forte affluence. Je m'arrêtai devant deux distributeurs de tickets de métro […] de la RATP, apparemment les tout derniers modèles, dont on ne pouvait pas douter de la sûreté. […] Je m'approchai de l'un des deux appareils et attendis mon tour. Puis je sortis naturellement de ma poche la première de mes cartes bancaires témoins et sélectionnai le plus petit achat payable ici avec la carte bancaire à puce, c'est-à-dire un carnet de tickets de métro sans réduction au prix de 48 francs. […] Pour finir, la machine me demanda si je souhaitais obtenir une facturette. Je répondis « oui », puisque je comptais la remettre à Me Sayn afin qu'il la présente, avec les tickets, au groupement cartes bancaires. Avais-je été trop lent à réagir ou m'étais-je trompé dans la touche de réponse, toujours est-il qu'aucune facturette n'apparut. J'introduisis de nouveau la même carte, et fis le même achat, puis j'achetai quatre autres cartes. Pour tous, j'obtins des facturettes ayant des numéros différents qui se suivaient. […] Pendant ma pause déjeuner, je me rendis à la station de métro Charles-Michels. Il devait être midi et demi quand, devant le même type d'appareil, j'introduisis mes cinq autres cartes bancaires, et achetai de nouveau cinq carnets de métro. J'avais donc en poche onze carnets de métro et dix facturettes. »
« J'ai ma conscience pour moi et il me semble bien vain de continuer à faire le jeu de la justice. J'ai donc décidé d'abandonner mon appel. Ce livre permettra à chacun de se faire une idée sur cette histoire, et peut-être même de juger en son for intérieur. Il est mon appel devant tous. »
« Je pense avoir choisi le métier d'ingénieur en électronique parce qu'il comble mon attirance pour les subtilités de la technique. J'aime cette culture ardue, rare, les astuces étonnantes qu'elle suscite. »
« Je fus bien inspiré de parler de mes recherches à Frédéric Sayn, un de mes collègues du Crédit Lyonnais, avec qui j'avais sympathisé. Notre relation professionnelle était saine, nous nous comprenions assez bien. J'appris que son père était avocat, spécialiste de droit industriel, aveugle, mais que sa cécité ne limitait pas ses capacités de travail. Je me méfiais beaucoup des avocats, mais j'avais confiance en Frédéric ; son père pouvait être la bonne personne. »
« J'arrivai à la station Balard, vers 9 heures, moment de forte affluence. Je m'arrêtai devant deux distributeurs de tickets de métro […] de la RATP, apparemment les tout derniers modèles, dont on ne pouvait pas douter de la sûreté. […] Je m'approchai de l'un des deux appareils et attendis mon tour. Puis je sortis naturellement de ma poche la première de mes cartes bancaires témoins et sélectionnai le plus petit achat payable ici avec la carte bancaire à puce, c'est-à-dire un carnet de tickets de métro sans réduction au prix de 48 francs. […] Pour finir, la machine me demanda si je souhaitais obtenir une facturette. Je répondis « oui », puisque je comptais la remettre à Me Sayn afin qu'il la présente, avec les tickets, au groupement cartes bancaires. Avais-je été trop lent à réagir ou m'étais-je trompé dans la touche de réponse, toujours est-il qu'aucune facturette n'apparut. J'introduisis de nouveau la même carte, et fis le même achat, puis j'achetai quatre autres cartes. Pour tous, j'obtins des facturettes ayant des numéros différents qui se suivaient. […] Pendant ma pause déjeuner, je me rendis à la station de métro Charles-Michels. Il devait être midi et demi quand, devant le même type d'appareil, j'introduisis mes cinq autres cartes bancaires, et achetai de nouveau cinq carnets de métro. J'avais donc en poche onze carnets de métro et dix facturettes. »
« J'ai ma conscience pour moi et il me semble bien vain de continuer à faire le jeu de la justice. J'ai donc décidé d'abandonner mon appel. Ce livre permettra à chacun de se faire une idée sur cette histoire, et peut-être même de juger en son for intérieur. Il est mon appel devant tous. »
« Je pense avoir choisi le métier d'ingénieur en électronique parce qu'il comble mon attirance pour les subtilités de la technique. J'aime cette culture ardue, rare, les astuces étonnantes qu'elle suscite. »
« Je fus bien inspiré de parler de mes recherches à Frédéric Sayn, un de mes collègues du Crédit Lyonnais, avec qui j'avais sympathisé. Notre relation professionnelle était saine, nous nous comprenions assez bien. J'appris que son père était avocat, spécialiste de droit industriel, aveugle, mais que sa cécité ne limitait pas ses capacités de travail. Je me méfiais beaucoup des avocats, mais j'avais confiance en Frédéric ; son père pouvait être la bonne personne. »
« J'arrivai à la station Balard, vers 9 heures, moment de forte affluence. Je m'arrêtai devant deux distributeurs de tickets de métro […] de la RATP, apparemment les tout derniers modèles, dont on ne pouvait pas douter de la sûreté. […] Je m'approchai de l'un des deux appareils et attendis mon tour. Puis je sortis naturellement de ma poche la première de mes cartes bancaires témoins et sélectionnai le plus petit achat payable ici avec la carte bancaire à puce, c'est-à-dire un carnet de tickets de métro sans réduction au prix de 48 francs. […] Pour finir, la machine me demanda si je souhaitais obtenir une facturette. Je répondis « oui », puisque je comptais la remettre à Me Sayn afin qu'il la présente, avec les tickets, au groupement cartes bancaires. Avais-je été trop lent à réagir ou m'étais-je trompé dans la touche de réponse, toujours est-il qu'aucune facturette n'apparut. J'introduisis de nouveau la même carte, et fis le même achat, puis j'achetai quatre autres cartes. Pour tous, j'obtins des facturettes ayant des numéros différents qui se suivaient. […] Pendant ma pause déjeuner, je me rendis à la station de métro Charles-Michels. Il devait être midi et demi quand, devant le même type d'appareil, j'introduisis mes cinq autres cartes bancaires, et achetai de nouveau cinq carnets de métro. J'avais donc en poche onze carnets de métro et dix facturettes. »
« J'ai ma conscience pour moi et il me semble bien vain de continuer à faire le jeu de la justice. J'ai donc décidé d'abandonner mon appel. Ce livre permettra à chacun de se faire une idée sur cette histoire, et peut-être même de juger en son for intérieur. Il est mon appel devant tous. »