(en) Diana M. Swancutt, « Still before Sexuality: 'Greek' Androgyny, the Roman Imperial Politics of Masculinity and the Roman Invention of the tribas », dans Todd Penner et Caroline Vander Stichele, Mapping Gender in Ancient Religious Discourses, Brill, (lire en ligne), p. 15–16.
William Loader, Sexuality and the Jesus Tradition (Wm. B. Eerdmans, 2005), p. 186. La relation entre l'éthique sociale stoïcienne et la formation de l'éthique sexuelle chrétienne est un sujet très débattu, mais la chrétienté voit le célibat comme un idéal et le sexe comme un péché en soi, racheté un peu si survenant au sein du mariage ; voir Nussbaum, "The Incomplete Feminism of Musonius Rufus", p. 308. Voir aussi Marcia L. Colish, The Stoic Tradition from Antiquity to the Early Middle Ages, passim.
Dans une déclamation attribuée à Quintilien, Declamatio minor340.13 tel que cité par Sebesta, "Women's Costume", p. 532.
At laeva lacrimas muttoni absterget amica : Lucilius 307 et 959. Kirk Freundenburg a surnommé le mutto de Lucilius « clairement le moins capricieux de tous les pénis personnifiés dans la satire romaine » : Satires of Rome : Threatening Poses from Lucilius to Juvenal (Cambridge University Press, 2001), p. 205.
Antonio Varone, Erotica pompeiana: Love Inscriptions on the Walls of Pompeii («L'Erma» di Bretschneider, 2002), p. 95.
Le nomen de Crassus était Licinius ; le nom de la Vestale était Licinia (voir Nom romain). Sa réputation, ses relations et sa cupidité ont réussi à le sauver ; il affirma qu'il avait passé du temps avec Licinia pour obtenir certaines propriétés qu'elle possédait. Pour des sources, voir Michael C. Alexander, Trials in the Late Roman Republic, 149 BC to 50 BC (University of Toronto Press, 1990), p. 84. L'année la plus probable est 73 av. J.-C. ; Plutarch, Life of Crassus1.2, indique que la poursuite avait une utilité politique. Une ou plusieurs autres Vestales ont été emmenées devant le Collège des pontifes pour incestum en relation avec la conjuration de Catilina (Alexander, Trials, p. 83).
Plutarque, Vie de Caton l'Ancien21.2; Sandra R. Joshel et Sheila Murnaghan, introduction to Women and Slaves in Greco-Roman Culture: Differential Equations (Routledge, 1998), p. 11.
Suétone, Vie de Néron29; Carlin A. Barton, The Sorrows of the Ancient Romans: The Gladiator and the Monster (Princeton University Press, 1993), p. 68.
Cassius Dio76.8.2; Barton, The Sorrows of the Ancient Romans, p. 68.
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Voir par exemple Agathe de Catane et Febronia de Nisibis(en) ; Sebastian P. Brock and Susan Ashbrook Harvey, introduction to Holy Women of the Syrian Orient (University of California Press, 1987), p. 24–25 ; Harvey, "Women in Early Byzantine Hagiography: Reversing the Story", in That Gentle Strength: Historical Perspectives on Women in Christianity (University Press of Virginia, 1990), p. 48–50. Les récits de mutilation des seins apparaissent dans les sources et l'iconographie chrétienne mais pas dans l'art et la littérature romain.
Iter amoris, "journey" or "course of love."SeePropertius 3.15.3–6; Ovide, Fastes) 3.777–778; Michelle George, "The 'Dark Side' of the Toga", in Roman Dress and the Fabrics of Roman Culture (University of Toronto Press, 2008), p. 55. Robert E.A. Palmer(en), "Mutinus Titinus: A Study in Etrusco-Roman Religion and Topography", in Roman Religion and Roman Empire: Five Essays (University of Pennsylvania Press, 1974), p. 187–206, argued that Mutunus Tutunus was subsumed by the cult of Liber; Augustine, De civitate Dei 7.21, said that a phallus was a divine object used during the Liberalia to repel malevolent influences from the crops.
(en) Barbette Stanley Spaeth, The Roman Goddess Ceres, University of Texas Press, , p. 115–116 citant Festus (87 dans l'édition de Müller) au sujet de la torche et notant que les prêtresses dévouées à Cérès en Afrique du Nord faisaient vœu de chasteté comme les Vestales (Tertullien, Ad uxorem 1.6 Oehler). Ovide note que Cérès est satisfaite même des petites offrandes du moment qu'elles sont casta (Fastes 4.411–412). Stace affirme que Cérès elle-même est casta (Silvae(en) 4.311). La préoccupation de la déesse pour la castitas peut avoir une relation avec sa fonction tutélaire sur les frontières, dont la transition entre la vie et la mort, comme dans les Culte à Mystères.
Elaine Fantham(en), "The Ambiguity of Virtus in Lucan's Civil War and Statius' Thebiad", Arachnion 3; Andrew J.E. Bell, "Cicero and the Spectacle of Power", Journal of Roman Studies 87 (1997), p. 9.
Ann Ellis Hanson, "The Restructuring of Female Physiology at Rome", dans Les écoles médicales à Rome, Université de Nantes, , p. 267 citant Priapea(en) 78 et CIL 12.6721(5).
(en) Catulle 61.97–101, T.P. Wiseman(en), Catullus and His World: A Reappraisal (Cambridge University Press, 1985, 2002), p. 114–115.
Les seins comme vota, comme les autres parties du corps humain (voir milagro(en)), peuvent être aussi offerts dans des sanctuaires de soins pour chercher un remède à des maladies du sein comme les mammites ou les différentes tumeurs que les anciens diagnostiquaient comme des cancers.
(en) Mary Lefkowitz(en) et Maureen B. Fant, Women's Life in Greece and Rome, p. 350, note 5. Un exemple grec est trouvé chez Euripide, Hécube 557–565 quand Polyxène, alors qu'elle va être sacrifiée, montre son courage en exposant « ses seins et sa poitrine aussi beaux que ceux d'une statue. »
Selon la Lex Iulia et Papia, telle que cité dans Women's Life in Greece and Rome: A Sourcebook in Translation, édité par Mary R. Lefkowitz(en) et Maureen B. Fant (Johns Hopkins University Press, 2005, 3rd ed.), p. 118.
Hectoreus equus (Ars Amatoria 3.777–778); Meyboom et Versluys, "The Meaning of Dwarfs in Nilotic Scenes", in Nile into Tiber, p. 188; Gibson, Ars Amatoria Book 3, p. 393. L'imagerie Troyenne, particulièrement en relation avec le cheval de Troie, devient importante sous les Julio-Claudiens qui revendiquent comme ascendant le réfugié TroyenÉnée, fil de Vénus. Voir par exemple les Lusus Troiae(en).