T. Bochnak, « L'umbo à pointe centrale d'Alise-Sainte-Reine (Côte-d'Or) dans son contexte d'Europe centrale et septentrionale », Antiquités nationales, 38, 2006-2007, p. 67-76 (lire en ligne).
A. Chastagnol, compte-rendu de J. Le Gall, op. cit., 1963 dans Annales, 1969, 24, 2, p. 441-443. [1].
Sylvia Nieto, « Monnaies arvernes (Vercingétorix, Cas) en orichalque », Revue numismatique, 6, 160, 2004, p. 5-25, p. 20. [2].
Voir par exemple J. France, « Forêts et Peuples « forestiers » de Gaule Belgique d’après le Bellum Gallicum de César. Contribution à l’étude des divisions de la Gaule », Revue archéologique de Picardie, 1-2, 1985, p. 14, lire en ligne.
Michel Mangin et Philippe Fluzin, « L'organisation de la production métallurgique dans une ville gallo-romaine : le travail du fer à Alésia », Revue archéologique de l’Est, 55, 2006, p. 129-150. Lire en ligne.
Germaine Depierre, Antoine Mamie, Romuald Pinguet et Arnaud Coutelas, « Alésia : un nouvel atelier de bronzier dans le quartier des Champs de l’Église », Revue archéologique de l’Est, 55, 2006, p. 151-172. Lire en ligne.
J. Vidal et C. Petit, « L’eau sur le site d’Alésia : la contrainte hydrogéologique lors du siège de 52 av. J.-C. », Revue archéologique de l'Est, 59-1, 2010, lire en ligne.
etudesanciennes.revues.org
Pour J.Y. Guillaumin, Dion Cassius est catégorique, la localisation de l'embuscade est bien chez les Séquanes. En effet, Guillaumin considère que Dion utilise une autre source que César et qu'il faut revoir entièrement les jugements péjoratifs à son encontre. Il affirme aussi que certains jugements sur sa crédibilité n'étaient pas étayés et que la critique n'a jamais hésité à admettre des renseignements que seul Dion a donnés. J.Y. Guillaumin, « Alésia et les textes antiques » dans A. Berthier et A. Wartelle, Alesia, Nouvelles Éditions latines, 1990, p. 58-60. Voir aussi J.-Y. Guillaumin, « Dissimulation et aveu chez César autour du combat de cavalerie préliminaire du siège d’Alésia (Bellum Gallicum VII, 66, 2.) », Cahier des études anciennes, XLVI, 2009, p. 55-69. Lire en ligne.