Siège d'Arles (534) (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Siège d'Arles (534)" in French language version.

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  • Étienne Grousset - Histoire du diocèse de Montpellier pendant les premiers siècles - Page 108 ici :
    Théodebert, sans se déconcerter, continua seul la campagne. 11 prit le Rouergue et Rodez sa capitale, puis il s'avança vers la Septimanie où il s'empara sans difficulté de tout le diocèse de Lodève (3) et ensuite de deux châteaux-forts qui se trouvaient dans le diocèse de Béziers : celui de Dio (Deas) et celui de Gabrières.
  • Étienne GROUSSET - Histoire du diocèse de Montpellier pendant les premiers siècles - Page 108 ici

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  • Claude Charles Fauriel - Histoire de la Gaule méridionale sous la domination des conquérants germains – 1836 - page 131 ici :
    En 531 Childebert, immédiatement après son coup manqué sur l'Arvernie, marcha avec toutes ses forces contre les Visigoths de la Septimanie. Son prétexte était de soustraire Clotilde, sa sœur, aux mauvais traitements d'Amalaric, à qui elle avait été donnée pour femme, et qui s'était fait proclamer roi des Visigoths après la mort de Théodoric..
  • Claude Charles Fauriel - Histoire de la Gaule méridionale sous la domination des conquérants germains – 1836 - page 133 ici :
    C'est à l'intervalle de ces deux expéditions contre les Goths, à l'année 532, qu'appartient une autre expédition dont j'ai déjà fait mention par incident et dont c'est ici le lieu de dire expressément quelques mots. Il s'agit de cette campagne de Childebert et de Clotaire contre Godemar, roi de Burgondie, et dont Thierry, qui n'y voulut jamais prendre part, détourna ses leudes en les menant en Arvernie.
  • Abel Hugo - France historique et monumentale : Histoire générale de France depuis les... – page 78 ici :
    Un an avant de mourir, il (Théodoric) avait envoyé dans le Rouergue son fils Théodebert avec une armée. Gonthier, un des fils de Chlotaire, devait être l'auxiliaire du fils de Théodoric ; mais les deux jeunes princes, en commençant la Campagne, s'étaient pris de querelle, et Gonthier avait laissé son cousin poursuivre seul la guerre..
  • Claude Charles Fauriel - Histoire de la Gaule méridionale sous la domination des conquérants germains – 1836 - pages 132,133 ici :
    Au printemps de 533, les deux rois rassemblèrent leurs forces, et chacun des deux donna le commandement des siennes à son fils. Thibert commanda donc celles de Thierry et Gonthaire celles de Clotaire. Mais ce dernier, s'étant mis en marche, s'arrêta, l'on ne sait pourquoi, à mi-chemin, et Thibert s'avança seul contre les Goths.
  • Abel Hugo - France historique et monumentale : Histoire générale de France depuis les... – page 78 ici :
    Le château de Cabrières était au pouvoir d'une dame gallo-romaine nommée Deutherie, remarquable par son esprit et par sa beauté, qui s'abandonna elle-même au jeune prince, en lui livrant sa forteresse. Deutherie était mariée ; Théodebert était lui-même fiancé à Wisigarde, fille de Wacconi, roi des Lombards; mais ce double obstacle ne l'empêcha pas de prendre d'abord pour concubine et ensuite pour femme la belle Gallo-Romaine.
  • Claude Charles Fauriel - Histoire de la Gaule méridionale sous la domination des conquérants germains – 1836 - page 134 ici :
    Cependant leur entreprise aurait peut-être échoué de nouveau ou traîné en longueur s'ils n'eussent à la fin réuni leurs forces pour l'achever. Thierry qui, en 53a, avait montré tant de répugnance à marcher avec ses frères contre la Burgondie, ne fit depuis aucune difficulté de joindre ses forces aux leurs. Attaqué par leurs armées réunies, Godemar ne fut plus en état de résister. Vaincu et abandonné des siens, en 534, il s'enfuit l'on ne sait où, et la Burgondie occupée par les Franks, à l'exception de sa moitié méridionale qui restait au pouvoir des Ostrogoths, cessa d'exister comme royaume à part1. Les trois vainqueurs se la partagèrent également; mais les détails de ce partage ne sont pas connus.
  • Claude Charles Fauriel - Histoire de la Gaule méridionale sous la domination des conquérants germains – 1836 - page 133 : ici
    Théodebert s'avança seul contre les Goths. Il leur enleva aisément toutes les villes qu'ils possédaient encore au-delà du Rhône, entra dans la Septimanie où il s'empara de quelques châteaux. Encouragé par ces succès il se crut en état d'attaquer les Ostrogoths en Provence, passa le Rhône et voulut tenter un coup de main sur la ville d'Arles; mais cette fois il échoua et fut rejeté avec perte sur la rive droite du fleuve. Il y resta pour garder les conquêtes qu'il avait faites, ou peut-être seulement retenu par l'amour dont il s'était pris pour une matrone gallo-romaine nommée Deuterie T qu'il avait rencontrée dans un des châteaux de la Septimanie, et dont il avait fait sa femme, bien qu'elle fût celle d'un autre.
  • Saint Césaire Évêque d'Arles (503-543) – page 160 ici
  • Abel Hugo - France historique et monumentale : Histoire générale de France depuis les ... – page 78 ici
  • Société française de numismatique - Revue numismatique, Volume 1 – page 227 ici :
    Mais ce que nous croirons encore, c'est que Justinien ne fit qu'autoriser un envahissement déjà fait par Théodebert, que l'empereur ne se trouvoit pas en position de refuser, et qu'il aima mieux donner que voir prendre, au regret de quelques-uns de ses successeurs, qui mirent encore sur plusieurs pièces les initiales de noms de villes gauloises. C'est donc parce que nous croyons que quelques pièces de Théodebert ont été frappées avant la conquête d'Arles, ou avant la cession de la souveraineté des Gaules, et qu'elles furent celles qui déterminèrent l'empereur à céder le droit de monnoie, que nous expliquons leur plus grande ressemblance avec les monnoies romaines, que d'autres pièces que nous attribuons au même prince, et que celles de Clotaire Ier et de Childebert Ier, qui ne furent que la conséquence de l'autorisation impériale.

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  • Grégoire de Tours – Histoire des Francs – Livre III ici Toutefois cette traduction figurant dans wikisource n'est probablement pas très exacte si on se réfère au texte original GREGORII TURONENSIS HISTORIARUM LIBER TERTIUS ici :
    Arelatensim enim tunc urbem Gothi pervaserant, de qua Theudobertus obsedes retenebat; ad eam Sigivaldus confugit. Sed parum se ibidem cernens esse munitum, Latium petiit ibique et latuit.

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  • Grégoire de ToursHistoire des Francs – Livre III ici :
    En ces jours-là, Théodoric (Ndlr / Thierry est appelé Théodoric par Grégoire) fit périr par le glaive son parent Sigewald, et envoya secrètement vers Théodebert, pour qu’il fit mourir Giwald, fils de Sigewald, qu’il avait avec lui ;
  • Grégoire de ToursHistoire des Francs – Livre III ici :
    En ces jours-là, Théodoric (Ndlr / Thierry est appelé Théodoric par Grégoire) fit périr par le glaive son parent Sigewald, et envoya secrètement vers Théodebert, pour qu’il fit mourir Giwald, fils de Sigewald, qu’il avait avec lui ; mais Théodebert, comme il l’avait tenu sur les fonts de baptême, ne voulut pas le faire périr. Il lui donna même à lire les lettres envoyées par son père : Fuis, lui dit-il, car j’ai reçu de mon père l’ordre de te tuer ; lorsqu’il sera mort et que tu apprendras que je règne, tu reviendras à moi sans crainte. Ce qu’ayant entendu, Giwald lui rendit grâces, lui dit adieu et s’en alla.
  • Grégoire de Tours – Histoire des Francs – Livre III ici Toutefois cette traduction figurant dans wikisource n'est probablement pas très exacte si on se réfère au texte original GREGORII TURONENSIS HISTORIARUM LIBER TERTIUS ici :
    Arelatensim enim tunc urbem Gothi pervaserant, de qua Theudobertus obsedes retenebat; ad eam Sigivaldus confugit. Sed parum se ibidem cernens esse munitum, Latium petiit ibique et latuit.
  • Grégoire de ToursHistoire des Francs – Livre III ici.
  • Grégoire de ToursHistoire des Francs – Livre III ici :
    Giwald s’enfuit dans cette ville ; mais, ne s’y croyant pas fort en sûreté, il se rendit en Italie et y demeura. Tandis que ces choses se passaient, on vint annoncer à Thibert que son père était dangereusement malade, que, s’il ne se hâtait pour le trouver encore en vie, il serait dépouillé par ses oncles, et qu’il ne fallait pas qu’il poussât plus avant. À ces nouvelles, Thibert quitta tout, et partit pour aller vers son père, laissant en Auvergne Deutérie et sa fille. Théodoric mourut quelques jours après l’arrivée de son fils, dans la vingt-troisième année de son règne.