Baptisé La Chanson Havraise ou Le Caveau Havrais, il compte en octobre 1873 six membres fondateurs et un an plus tard 26 membres, au nombre desquels des chanteurs et des musiciens. Voir à ce propos La Chanson Havraise, Première Livraison.
Voir à propos du Caveau Verviétois un article dans La Chanson, 12 décembre 1880, 3e année, numéro 31, page 244 et un autre dans La Chanson, 26 décembre 1880, numéro 33, page 261.
Elle est mentionnée, à la suite de légers incidents qui s'y sont déroulés, dans le Courrier de Paris dans les 83 départements, du 23 novembre 1790, cité dans les Actes de la Commune de Paris pendant la Révolution. 2e série, tome 1, publiés et annotés par Sigismond Lacroix, L. Cerf éditeur, Paris, pages 365-366. Lire en ligne
Mémoires de Marmontel., publiées avec une préface, notes et tables, par Maurice Tourneux, Librairie des bibliophiles, Paris 1891, Tome 2, livre VI, pages 110, 111 et 113.
Salgat, en 1837, et peut-être déjà en 1834, au moment de la fondation du quatrième Caveau, fait partie d'une autre société chantante : le Gymnase lyrique. Voir sa chanson Mes adieux au Gymnase lyrique.
Eugène Grangé, Les Deux Présidences, chanson écrite en 1872 et publiée dans le recueil Le Caveau daté 1873.
Le vingt du mois au Rocher de Cancale., à chanter sur l'air de Lison dormait dans un bocage. Publié dans Le Chansonnier de la Guinguette ou les délices des buveurs. Recueil de chansons anciennes et nouvelles les plus agréables à chanter en société, Le Bailly éditeur, Paris 1851, In-12, page 106.
Avant-propos d'Eugène Grangé aux Loisirs lyriques d'un amateur de chansons, recueil de chansons d'Henri Fénée, édité chez Mme Veuve Édouard Vert Imprimeur-Éditeur, Paris 1881.
Jean Frollo, Paris qui chante, Le Petit Parisien, 18 janvier 1898, page 1.
Article de Jean Frollo, L'Académie et la Chanson, Le Petit Parisien, 25 mars 1896, page 1, 1re, 2e et 3e colonnes.
Joseph Pétréaux, L'Académie et le legs Montariol, paru dans le deuxième volume de Chansons d'un solitaire., édité par l'auteur, Paris 1899, pages 248-249.
Article Société du Caveau, Dictionnaire universel des littératures par Gustave Vapereau, Hachette, Paris 1876, page 398.
Georges Guénot, Léon Darcier. – Pierre Dupont, La Sylphide, 1849, p.173, 2e colonne. Cet article qui parle notamment de Joseph Darcier à ses débuts, l'affuble par erreur du prénom de Léon.
Louis-Agathe Berthaud, Le goguettier, illustré par Paul Gavarni, paru dans le tome 4 de l'ouvrage Les Français peints par eux-mêmes, Encyclopédie morale du dix-neuvième siècle. Louis Curmer éditeur, Paris 1841, pages 313-321, avec deux illustrations pleine page non numérotée hors texte.
La chanson de Désaugiers connue sous le titre de Bon voyage Monsieur Dumollet issue du final de sa folie en un acte Le Départ pour Saint-Malo, donnée pour la première fois le 25 juillet 1809, est restée célèbre jusqu'à nos jours. Ceux qui la connaissent à présent en ignorent souvent l'auteur. C'est sur son air qu'est chantée accompagnée aux fifres l'Air du Carnaval inlassablement répété au cours du grand Carnaval de Dunkerque et des carnavals des villes aux alentours.