« ... il a paru qu'il serait avantageux pour le bien de la religion et de l'État, de fixer un certain nombre de jours de fêtes, le plus petit possible, qui seraient gardées dans tout le territoire de la République, de manière que tous ceux qui sont régis par les mêmes lois, fussent également soumis par-tout à la même discipline ; que la réduction de ces jours vint au secours d'un grand nombre de personnes dans leurs besoins, et que l'observation des fêtes conservées en devint plus facile » (Collection des lois, sénatus-consultes, décrets impériaux et avis du Conseil d'état relatifs aux cultes. 1813).