Sabine Lourde, Dr James Gopalsamy Naidu, « Dr James Gopalsamy Naidu : «L’astrologie médicale permet de prendre en compte sa destinée» », C'est Tabou, Port-Louis (Maurice), Défi Média, Radioplus, 20-21 septembre 2017 (lire en ligne [audio])
« [...] essences spagyriques. Un terme qui découle du mot grec spao (séparer) et ageiro (réunir). »
Centre méridional de rencontres sur le XVIIe siècle, Le XVIIe siècle aujourd'hui : acte du 4e colloque de Marseille, vol. 7, Centre régional de recherche et de documentation pédagogiques, (réimpr. 1975) (1re éd. 1974) (OCLC370886515, lire en ligne), p. 91
« [...] la thèse de Michelet et même s'il ne l'a pas parfaitement démontrée, il est difficile de démontrer le contraire) ont tenu dans les villages le rôle que ne tenait pas le médecin, pour la bonne raison qu'il n'y avait pas de médecins à la campagne. [...] Paracelse disait : « Contre tous les partisans d'Hippocrate et de Gallien, qui n'ont jamais été bons qu'à faire des saignées et à distribuer des lavements, ce que je sais, moi, de médecine nouvelle et de médecine chimique, je l'ai appris chez les sorcières. » Lisez Paracelse et vous vous apercevrez que, de cette façon, lui et quelques autres ont introduit une nouvelle médecine, appelée « iatrochimie » au XVIIe siècle, et qui faisait hurler les gens comme Guy Patin ... La deuxième victoire apparaît au milieu du XVIIe siècle, lorsque, pour la première fois en Europe, dans le royaume de Naples et à Venise, on arrive à vaincre la peste. Cette victoire modifie à nouveau l'opinion, dans un sens favorable, et aide, au XVIIIe siècle, à la lutte contre les épidémies et à l'inoculation assez précoce de populations. »
Jean Paul Tessier et Pierre Jousset, L'Art médical : journal de médecine générale et de médecine pratique, Au bureau du Journal, (lire en ligne), p. 224
« Quand la substance ainsi élevée en perfection appartient à la médecine, elle constitue le médicament spagyrique, forma pollens, non materia, qui, en raison du départ de ses impuretés, s'est affranchi de tout ce qui pouvait exister en lui de vénéneux ou acre, et ne se compose que des parties essentielles, balsamiques, au dire de l'école ; qui, en outre, sous le rapport de sa forme médicatrice, laisse bien loin derrière lui les produits pharmaceutiques. »
spagyros.ch
La spagyrie : une médecine complémentaire, Gümligen, Rottweil, Spagyros, booklet (lire en ligne [PDF]), « La spagyrie – une médecine alternative complémentaire », p. 2
web.archive.org
(it) Roberto Renzetti, Storia dell'alchimia, Introduzione, avec, en préambule, une citation d'André Pichot tirée de l'ouvrage La nascita della scienza publié chez Dedalo en 1993 (lire en ligne), Prima parte, chap. III (« Cos'è l'alchimia »)
(ru) ЭСБЕ/Галеновы препараты [« Préparations galéniques »] (Vygovsky, Galban, T. VIIa, 1892), Saint-Pétersbourg, Encyclopédie Brockhaus et Efron, ouvrage réparti en 86 volumes, dont 82 tomes et 4 addenda complémentaires, 1890—1907 (présentation en ligne, lire en ligne), pp. 892-893
worldcat.org
Centre méridional de rencontres sur le XVIIe siècle, Le XVIIe siècle aujourd'hui : acte du 4e colloque de Marseille, vol. 7, Centre régional de recherche et de documentation pédagogiques, (réimpr. 1975) (1re éd. 1974) (OCLC370886515, lire en ligne), p. 91
« [...] la thèse de Michelet et même s'il ne l'a pas parfaitement démontrée, il est difficile de démontrer le contraire) ont tenu dans les villages le rôle que ne tenait pas le médecin, pour la bonne raison qu'il n'y avait pas de médecins à la campagne. [...] Paracelse disait : « Contre tous les partisans d'Hippocrate et de Gallien, qui n'ont jamais été bons qu'à faire des saignées et à distribuer des lavements, ce que je sais, moi, de médecine nouvelle et de médecine chimique, je l'ai appris chez les sorcières. » Lisez Paracelse et vous vous apercevrez que, de cette façon, lui et quelques autres ont introduit une nouvelle médecine, appelée « iatrochimie » au XVIIe siècle, et qui faisait hurler les gens comme Guy Patin ... La deuxième victoire apparaît au milieu du XVIIe siècle, lorsque, pour la première fois en Europe, dans le royaume de Naples et à Venise, on arrive à vaincre la peste. Cette victoire modifie à nouveau l'opinion, dans un sens favorable, et aide, au XVIIIe siècle, à la lutte contre les épidémies et à l'inoculation assez précoce de populations. »