Spagyrie (French Wikipedia)

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atilf.fr

atilf.atilf.fr

bnam.fr

  • Paracelse le Grand, Theophraste Aureolus Bombast de Hohenheim, Opus paramirum, Chacornac, (lire en ligne)

bnf.fr

catalogue.bnf.fr

defimedia.info

  • Sabine Lourde, Dr James Gopalsamy Naidu, « Dr James Gopalsamy Naidu : «L’astrologie médicale permet de prendre en compte sa destinée» », C'est Tabou, Port-Louis (Maurice), Défi Média, Radioplus,‎ 20-21 septembre 2017 (lire en ligne [audio])
    « [...] essences spagyriques. Un terme qui découle du mot grec spao (séparer) et ageiro (réunir). »

google.fr

books.google.fr

  • Fabre 1629, p. 15 → [lire en ligne]
  • Goodrick-Clarke 2010, p. 75, cf. Carl Friedrich Zimple (1801-1891):
    Theosophy and Electrohomeopathy
    [lire en ligne]
  • Bernus 1984, p. 265, 267, 269 → [lire en ligne]
  • Goodrick-Clarke 2010, p. 79, cf. Contemporary Spagyric Pharmaceutical Companies
    [lire en ligne]
  • Centre méridional de rencontres sur le XVIIe siècle, Le XVIIe siècle aujourd'hui : acte du 4e colloque de Marseille, vol. 7, Centre régional de recherche et de documentation pédagogiques, (réimpr. 1975) (1re éd. 1974) (OCLC 370886515, lire en ligne), p. 91
    « [...] la thèse de Michelet et même s'il ne l'a pas parfaitement démontrée, il est difficile de démontrer le contraire) ont tenu dans les villages le rôle que ne tenait pas le médecin, pour la bonne raison qu'il n'y avait pas de médecins à la campagne. [...] Paracelse disait : « Contre tous les partisans d'Hippocrate et de Gallien, qui n'ont jamais été bons qu'à faire des saignées et à distribuer des lavements, ce que je sais, moi, de médecine nouvelle et de médecine chimique, je l'ai appris chez les sorcières. » Lisez Paracelse et vous vous apercevrez que, de cette façon, lui et quelques autres ont introduit une nouvelle médecine, appelée « iatrochimie » au XVIIe siècle, et qui faisait hurler les gens comme Guy Patin ... La deuxième victoire apparaît au milieu du XVIIe siècle, lorsque, pour la première fois en Europe, dans le royaume de Naples et à Venise, on arrive à vaincre la peste. Cette victoire modifie à nouveau l'opinion, dans un sens favorable, et aide, au XVIIIe siècle, à la lutte contre les épidémies et à l'inoculation assez précoce de populations. »
  • Pierre de Menten de Horne, Brigitte Van Tiggelen, Dictionnaire de chimie : Une approche étymologique et historique, De Boeck Supérieur, , 395 p. (ISBN 978-2-8041-8175-8 et 2-8041-8175-8, EAN 9782804181758, lire en ligne), Chimie, p. 86
  • Pierre Pelle Le Croisa, Les langages symboliques de l'ésotérisme maçonnique, Éditions Dervy, coll. « Bibliothèque de la franc-maçonnerie », , 560 p. (EAN 9791024203836, BNF 45604459, lire en ligne), p. 240
  • Jean Paul Tessier et Pierre Jousset, L'Art médical : journal de médecine générale et de médecine pratique, Au bureau du Journal, (lire en ligne), p. 224
    « Quand la substance ainsi élevée en perfection appartient à la médecine, elle constitue le médicament spagyrique, forma pollens, non materia, qui, en raison du départ de ses impuretés, s'est affranchi de tout ce qui pouvait exister en lui de vénéneux ou acre, et ne se compose que des parties essentielles, balsamiques, au dire de l'école ; qui, en outre, sous le rapport de sa forme médicatrice, laisse bien loin derrière lui les produits pharmaceutiques. »

spagyros.ch

  • La spagyrie : une médecine complémentaire, Gümligen, Rottweil, Spagyros, booklet (lire en ligne [PDF]), « La spagyrie – une médecine alternative complémentaire », p. 2

web.archive.org

  • (it) Roberto Renzetti, Storia dell'alchimia, Introduzione, avec, en préambule, une citation d'André Pichot tirée de l'ouvrage La nascita della scienza publié chez Dedalo en 1993 (lire en ligne), Prima parte, chap. III (« Cos'è l'alchimia »)
  • Les Douze Clefs de philosophie, Paris, ouvrage édité par Jérémie et Christophe Périer pour l'édition de 1624 & Pierre Moët pour l'édition de 1660, (réimpr. 1660), la rédaction de l'ouvrage est supposément attribuée à Basile Valentin[note 1] (lire en ligne)

wikisource.org

ru.wikisource.org

worldcat.org

  • Centre méridional de rencontres sur le XVIIe siècle, Le XVIIe siècle aujourd'hui : acte du 4e colloque de Marseille, vol. 7, Centre régional de recherche et de documentation pédagogiques, (réimpr. 1975) (1re éd. 1974) (OCLC 370886515, lire en ligne), p. 91
    « [...] la thèse de Michelet et même s'il ne l'a pas parfaitement démontrée, il est difficile de démontrer le contraire) ont tenu dans les villages le rôle que ne tenait pas le médecin, pour la bonne raison qu'il n'y avait pas de médecins à la campagne. [...] Paracelse disait : « Contre tous les partisans d'Hippocrate et de Gallien, qui n'ont jamais été bons qu'à faire des saignées et à distribuer des lavements, ce que je sais, moi, de médecine nouvelle et de médecine chimique, je l'ai appris chez les sorcières. » Lisez Paracelse et vous vous apercevrez que, de cette façon, lui et quelques autres ont introduit une nouvelle médecine, appelée « iatrochimie » au XVIIe siècle, et qui faisait hurler les gens comme Guy Patin ... La deuxième victoire apparaît au milieu du XVIIe siècle, lorsque, pour la première fois en Europe, dans le royaume de Naples et à Venise, on arrive à vaincre la peste. Cette victoire modifie à nouveau l'opinion, dans un sens favorable, et aide, au XVIIIe siècle, à la lutte contre les épidémies et à l'inoculation assez précoce de populations. »