Subh-i Azal (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Subh-i Azal" in French language version.

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academia.edu

archive.org

  • « Well, one night about a month after their arrival at Acca, twelve Bahais (nine of whom were still living when I was at Acca) determined to kill them and so prevent them from doing any mischief. So they went at night, armed with swords and daggers, to the house where the Azalis lodged, and knocked at the door. Aga Jan came down to open to them, and was stabbed before he could cry out or offer the least resistance. Then they entered the house and killed the other six. In consequence, the Turks imprisoned Baha and all his family and followers in the caravanserai, but the twelve assassins came forward and surrendered themselves, saying, “We killed them without the knowledge of our Master or of any of the brethren. Punish us, not them.” » citation tirée de “Bahaism and Religious assassination” par S.G. Wilson in Muslim World, vol. 4, Issue 3, p. 236, Londres, 1914 (Published for The Nile Mission Press by the Christian Litterature Society for India 35 John Street, Bedford Row, W.C.)

bahai-biblio.org

  • En multipliant les identités, les professions et les lieux de résidence, Ṣubḥ-i Azal ne faisait que suivre les recommandations du Bāb, en se « dissimulant » pour échapper aux persécutions. Adib Taherzadeh, La Révélation de Baha'u'llah, volume 1, chapitre 15, Maison d'éditions bahā'īes, Bruxelles, (ISBN 978-2-87203-280-8)
  • « Bien qu'il eût rigoureusement interdit à ses fidèles, à plusieurs reprises, toute action de représailles, verbale ou écrite, contre leurs bourreaux — il avait même renvoyé à Beyrouth un Arabe converti, irresponsable, qui méditait de venger les torts soufferts par son chef bien-aimé —, sept de ses compagnons recherchèrent et tuèrent clandestinement trois de leurs persécuteurs, parmi lesquels Siyyid Muḥammad et āqā Jān. La consternation qui s'empara d'une communauté déjà accablée fut indescriptible. L'indignation de Bahāʾ-Allāh ne connut plus de bornes. Dans une tablette révélée peu de temps après cet acte, Bahāʾ-Allāh exprime ainsi son émotion : « S'il nous fallait raconter tout ce qui nous est arrivé, les cieux se fendraient et les montagnes s'écrouleraient. » « Ma captivité », écrit-il ailleurs, « ne peut me faire de mal. Ce qui peut me faire du mal, c'est la conduite de ceux qui m'aiment, qui se réclament de moi et qui, pourtant, commettent ce qui fait gémir mon cœur et ma plume. » Et il ajoute : « Ma détention ne peut m'apporter aucune honte. Et même, par ma vie, elle me confère de la gloire. Ce qui peut me faire honte, c'est la conduite de ceux de mes disciples qui font profession de m'aimer et qui, en fait, suivent pourtant le malin. » Il était en train de dicter ses tablettes à son secrétaire lorsque le gouverneur arriva à la tète de ses troupes qui, sabres au clair, entourèrent sa demeure.[…] Bahāʾ-Allāh fut convoqué d'une manière impérative au siège du gouvernement, interrogé et détenu la première nuit, avec l'un de ses fils, dans une chambre du Ḫān-i Šāvirdi; transféré pour les deux nuits suivantes dans un logement plus convenable, au voisinage, il ne fut autorisé à regagner son domicile que soixante-dix heures plus tard. […] « Est-il convenable », s'enquit avec insolence le commandant de la ville, se tournant vers Bahāʾ-Allāh lorsqu'il arriva au siège du gouvernement, « que certains de vos disciples se conduisent de la sorte ? », « Si l'un de vos soldats », répliqua promptement Bahāʾ-Allāh, « commettait un acte répréhensible, seriez-vous tenu pour responsable et puni à sa place? » Lors de son interrogatoire, on lui demanda de décliner son nom et celui du pays d'où il venait. « Ceci est plus évident que le soleil », répondit-il. On lui posa de nouveau la même question à laquelle il donna cette réponse : « je ne juge pas à propos d'en parier. Reportez-vous au farmān du gouvernement qui se trouve entre vos mains. » Une fois de plus, avec une déférence marquée, ils réitérèrent leur demande, sur quoi Bahāʾ-Allāh prononça, avec puissance et majesté, ces paroles : « Mon nom est Bahāʾ-Allāh » (Lumière de Dieu), « et mon pays est Nour » (Lumière). « Soyez-en informés. » Se tournant alors vers le mufti, il lui adressa des reproches voilés, puis il parla à toute l'assemblée dans un langage si véhément et si élevé que nul n'osa lui répondre. Après avoir cité des versets de la Sūriy-i Mūlūk, il se leva et quitta l'assemblée. Aussitôt après, le gouverneur lui fit savoir qu'il était libre de retourner chez lui, en exprimant ses regrets pour ce qui s'était passé. » citation de Dieu passe près de nous, p. 181-183 au chapitre XI
  • C’était seulement naturel, dans les circonstances d’espoir frustré et de douleur montante, et en vue de la promesse claire et énergique donnés à eux par le Bab, en regard de l’avènement proche de «Celui que Dieu rendra manifeste», que nombre d’entre eux durent presque faire un pas en avant dans un état d’auto-hypnotisme, de revendiquer être Celui pour (whose sake) le Bab avait joyeusement versé Son sang, de proclamer qu’ils étaient venus pour sauver une communauté étourdie par l’adversité des abysses du désespoir et de la dégradation. Une nouvelle fois, il était naturel qu’ils puisent trouver des adhérents, que certains se rallieraient avec joie autour d’eux, car c’était une main guide, un sage conseiller dont les babis avaient désespérément besoin. À peine quelques-uns de ces «Manifestations de Dieu» auto nommées étaient des hommes de ruse, d’avidité ou d’ambition. Alors que les tensions augmentaient, leur nombre s’éleva au nombre élevé de 25. L’un d’entre eux était un indien nommé Siyyid Basir, un homme d’un courage sans bornes et zélé, qui finalement rencontra la mort comme martyre. Un prince obstiné de la maison de Kadjar s’infligea des tortures atroces sur lui auxquelles il succomba. Un autre était Mirza Asadu’llah de Khuy, que le Bab avait nommé Dayyan, connu comme la «troisième Lettre à croire en Celui que Dieu rendra manifeste». Le Bab s’était même référé à lui comme le dépositaire de la vérité et de la connaissance de Dieu. Au moment où Baha’u’llah avait quitté Bagdad pour résider dans les montagnes du nord, Dayyan approcha Mirza Yahya et fut grandement déçu. Puis il avança la revendication de son propre chef, à l’appui de quoi il écrivit un traité et envoya une copie à Mirza Yahya. La réponse de Subh-i Azal fut de le condamner à mort. Il écrivit un livre qu’il appela Mustayqiz( L'endormi réveillé) (dont il y a des copies au British Museum) pour dénoncer Dayyan et Siyyid Ibrahim-i Khalil, un autre important Babi, qui s’était aussi détourné de lui. Dayyan fut fustigé comme « Abu’sh-Shurur » — le « Père des iniquités ». E. G. Browne écrit au sujet de cette accusation : « Ṣubḥ-i Azal [...] non seulement l’insulte dans le langage le plus grossier, mais il exprime sa surprise que ses adhérents 'restent silencieux à leurs places et ne le transpercent pas avec leurs lances', ou 'ne déchirent pas ses intestins avec leurs mains' ». Materials for the Study of the Babi Religion, Cambridge, 1918, p. 218. Lorsque Baha’u’llah revint à Bagdad, Dayyan le rencontra et renonça à sa revendication. Mais la sentence de mort prononcée par Ṣubḥ-i Azal fut exécutée par son serviteur, Mirza Muhamad-i Mazindarani. Mirza Ali-Akbar, un cousin du Bab, qui était dévoué à Dayyan, fut aussi tué. (cf. H.M. Balyuzi, 'Edward Granville Browne and the Bahā'ī Faith, Oxford, éd. George Ronald, (ISBN 978-0-85398-023-0))

bahai-library.com

  • Tablet of the Bāb Lawh-i Vasaya, “Will and Testament” and Titles of Mīrzā Yahyā, mémorandum du 28 mai 2004, rédigé par le Département de Recherche du Centre mondial baha'i à la demande de la Maison universelle de justice
  • Toutes proportions gardées, les décrets (fatwa) de mise à mort qu'il proféra contre des babis défiant son autorité comme successeur du Bab à la tête de la communauté peuvent être considérés comme une forme de Djihad-bis-Sayf et rapprochés des « guerres de l'apostasie » (houroub al-ridda) menées par Abou Bakr As-Siddiq contre ceux qui contestaient son autorité de Calife après la mort de Mahomet. À propos de ces fatwas, lire Extracts from the memoirs of Nabil Zarandi on the conduct of the Babis in Iraq préfacés et traduits par Sepehr Manuchehri, et l'épisode de Dayyan dans (en) Denis MacEoin, The Messiah of Shiraz : Studies in Early and Middle Babism, Leiden, Brill, (ISBN 978-90-04-17035-3, lire en ligne), p. 389-391
  • Dans l'Islam, le sunnisme condamne la sodomie, aussi bien hétérosexuelle qu'homosexuelle, contrairement à certains avis chiites, ne reconnaissant que l'interdiction du deuxième cas. Cette accusation semble plutôt étrange, si l'on pense qu'en même temps, pour essayer de le disqualifier moralement, ses adversaires baha'is l'ont accusé d'avoir eu jusqu'à dix-sept femmes, cf. “The Cyprus Exiles”, écrit par Moojan Momen et publié dans Bahā'ī Studies Bulletin, 1991, p. 81-113.
  • God passes by de Shoghi Effendi à la page 165
  • « He ordered the wife of the Bab [Fatimah Khanum, the sister of Mulla Rajab-Ali Qahir. She was the temporary wife (Siqah) of the Bab in Isfahan], to arrive in Baghdad from land of Sad [means the city of Isfahan in Babi terminology], with hundred treachery and contempt, he took her for one full month, afterwards he gave her away, to that bastard Dajjal from land of Sad », Extracts from the memoirs of Nabil Zarandi on the conduct of the Babis in Iraq', préfacés et traduits par Sepehr Manuchehri
  • “The Cyprus Exiles” de Moojan Momen, dans Bahā'ī Studies Bulletin, 1991, p. 99.

bahaiawareness.com

bayanic.com

  • C’était seulement naturel, dans les circonstances d’espoir frustré et de douleur montante, et en vue de la promesse claire et énergique donnés à eux par le Bab, en regard de l’avènement proche de «Celui que Dieu rendra manifeste», que nombre d’entre eux durent presque faire un pas en avant dans un état d’auto-hypnotisme, de revendiquer être Celui pour (whose sake) le Bab avait joyeusement versé Son sang, de proclamer qu’ils étaient venus pour sauver une communauté étourdie par l’adversité des abysses du désespoir et de la dégradation. Une nouvelle fois, il était naturel qu’ils puisent trouver des adhérents, que certains se rallieraient avec joie autour d’eux, car c’était une main guide, un sage conseiller dont les babis avaient désespérément besoin. À peine quelques-uns de ces «Manifestations de Dieu» auto nommées étaient des hommes de ruse, d’avidité ou d’ambition. Alors que les tensions augmentaient, leur nombre s’éleva au nombre élevé de 25. L’un d’entre eux était un indien nommé Siyyid Basir, un homme d’un courage sans bornes et zélé, qui finalement rencontra la mort comme martyre. Un prince obstiné de la maison de Kadjar s’infligea des tortures atroces sur lui auxquelles il succomba. Un autre était Mirza Asadu’llah de Khuy, que le Bab avait nommé Dayyan, connu comme la «troisième Lettre à croire en Celui que Dieu rendra manifeste». Le Bab s’était même référé à lui comme le dépositaire de la vérité et de la connaissance de Dieu. Au moment où Baha’u’llah avait quitté Bagdad pour résider dans les montagnes du nord, Dayyan approcha Mirza Yahya et fut grandement déçu. Puis il avança la revendication de son propre chef, à l’appui de quoi il écrivit un traité et envoya une copie à Mirza Yahya. La réponse de Subh-i Azal fut de le condamner à mort. Il écrivit un livre qu’il appela Mustayqiz( L'endormi réveillé) (dont il y a des copies au British Museum) pour dénoncer Dayyan et Siyyid Ibrahim-i Khalil, un autre important Babi, qui s’était aussi détourné de lui. Dayyan fut fustigé comme « Abu’sh-Shurur » — le « Père des iniquités ». E. G. Browne écrit au sujet de cette accusation : « Ṣubḥ-i Azal [...] non seulement l’insulte dans le langage le plus grossier, mais il exprime sa surprise que ses adhérents 'restent silencieux à leurs places et ne le transpercent pas avec leurs lances', ou 'ne déchirent pas ses intestins avec leurs mains' ». Materials for the Study of the Babi Religion, Cambridge, 1918, p. 218. Lorsque Baha’u’llah revint à Bagdad, Dayyan le rencontra et renonça à sa revendication. Mais la sentence de mort prononcée par Ṣubḥ-i Azal fut exécutée par son serviteur, Mirza Muhamad-i Mazindarani. Mirza Ali-Akbar, un cousin du Bab, qui était dévoué à Dayyan, fut aussi tué. (cf. H.M. Balyuzi, 'Edward Granville Browne and the Bahā'ī Faith, Oxford, éd. George Ronald, (ISBN 978-0-85398-023-0))

google.fr

books.google.fr

  • Toutes proportions gardées, les décrets (fatwa) de mise à mort qu'il proféra contre des babis défiant son autorité comme successeur du Bab à la tête de la communauté peuvent être considérés comme une forme de Djihad-bis-Sayf et rapprochés des « guerres de l'apostasie » (houroub al-ridda) menées par Abou Bakr As-Siddiq contre ceux qui contestaient son autorité de Calife après la mort de Mahomet. À propos de ces fatwas, lire Extracts from the memoirs of Nabil Zarandi on the conduct of the Babis in Iraq préfacés et traduits par Sepehr Manuchehri, et l'épisode de Dayyan dans (en) Denis MacEoin, The Messiah of Shiraz : Studies in Early and Middle Babism, Leiden, Brill, (ISBN 978-90-04-17035-3, lire en ligne), p. 389-391
  • Le successeur désigné était né en 1862-63 et est mort en 1940. D'après Denis MacEoin : « Yahyâ, however, devoted his energies to education and literature and seems to have had little to do with Babism. » ((en) Denis MacEoin, The Sources for Early Bābī Doctrine and History : A Survey, Leiden, E.J. Brill, , 274 p. (ISBN 978-90-04-09462-8, lire en ligne), p. 38.

h-net.org

iranian.com

  • "We call ourselves Bayani and consider the term Azali (which was fabricated as a term of derision by 'Abbas Effendi) an offensive and misleading." The Bayani community of Iran, sur le site Iranian.com.

iranicaonline.org

  • « The small but influential circle of Azalī Babis and their sympathizers included at least six major preachers of the Constitutional Revolution. By the beginning of the 20th century the separation of the Bahai majority and the Azalī minority was complete. The Babis, loyal to the practice of dissimulation (taqīya), adopted a fully Islamic guise and enjoyed a brief revival during the reign of Moẓaffar-al-Dīn Shah. As they broadened their appeal beyond the Babi core, a loose network of assemblies (majles) and societies (anjomans) gradually evolved into a political forum in which both clerical and secular dissidents who favored reform were welcome. These radicals remained loyal to the old Babi ideal of mass opposition to the conservative ʿolamāʾ and Qajar rule. An example of their approach is Roʾyā-ye ṣādeqa, a lampoon in which the notorious Āqā Najafī Eṣfahānī is tried on Judgment Day; it was written by Naṣr-Allāh Beheštī, better known as Malek-al-Motakallemīn, and Sayyed Jamāl-al-Dīn Wāʿeẓ Eṣfahānī, two preachers of the constitutional period with Babi leanings. Such figures as the celebrated educator and political activist Mīrzā Yaḥyā Dawlatābādī; Moḥammad-Mahdī Šarīf Kāšānī, a close advisor to Sayyed ʿAbd-Allāh Behbahānī and chronicler of the revolution; and the journalist Mīrzā Jahāngīr Khan Ṣūr-e Esrāfīl shared the same Babi background and were associated with the same circle. » Article “Constitutional revolution, i. Intellectual background”, Encyclopaedia Iranica

islamawareness.net

  • « On the other hand, Babi doctrines maintain their traditional bond to Shii Islam, as is the case with taqiya, the possibility of hiding one’s religious thoughts or convictions in times of crisis or danger. The idea of martyrdom and warlike jihad as a means to reach salvation also remain central in Babi thought. » An introduction to Bab'i faith, in Encyclopedia of religion,  éd. par Lindsay Jones, Ed. Macmillan Reference, États-Unis, 2004, 2d édition (December 17) (ISBN 978-0-02-865733-2)

lexicorient.com

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