Le sous-démonstrateur, selon Boerhaave (p. 29), avait plus de privilèges que le démonstrateur.
Paul-Antoine Cap, Le Muséum d'histoire naturelle, p. 24, L. Curmer, 1854 : « La première serre chaude avait été construite par Bouvard. Elle fit partie quelques années après de l'orangerie derrière laquelle furent établies depuis les deux serres de Vaillant. » Cap est la seule source sur ce point.
En 1666, Francesco Redimentionne la sexualité des palmiers comme un fait connu. L'originalité de Vaillant réside dans le fait qu'il fait une expérience.
Sur toute cette question de Vaillant et de la sexualité des plantes, voir le premier chapitre, « Sébastien Vaillant and the sexuality of plants » de l'ouvrage de Roger Lawrence Williams (extraits sur Google Livres) (en) Roger Lawrence Williams, Botanophilia in eighteenth-century France : the spirit of the Enlightenment, vol. 179, Springer, , 197 p. (ISBN978-0-7923-6886-1, lire en ligne)Extraits sur Google Livres.
« Vaillant was probably fortunate that his election to the Académie des sciences had occurred in 1716. » (Williams, p. 16.) (en) Roger Lawrence Williams, Botanophilia in eighteenth-century France : the spirit of the Enlightenment, vol. 179, Springer, , 197 p. (ISBN978-0-7923-6886-1, lire en ligne)Extraits sur Google Livres.
Mérat de Vaumartoise écrit : « Ce furent Waldstein et Kitaibel qui en rectifiant ce genre et l'appelant Vaillantia consacrèrent véritablement son nom dans la science. » (Revue… p. 384 sur Google Livres) Il s'agissait d'une coquille, mais au contraire Linné l'a consacrée.
« [J]usque fort avant dans le XIXe siècle, les études médicales constituent la seule voie d'accès à la botanique et, par l'anatomie comparée, à la zoologie. » (Yves Laissus, « Les voyageurs naturalistes du Jardin du roi et du Muséum d'histoire naturelle : essai de portrait-robot », dans Revue d'histoire des sciences, 1981, t. 34, nos 3-4, p. 266, DOI10.3406/rhs.1981.1768, lire en ligne, consulté le 16 juillet 2012).
« [J]usque fort avant dans le XIXe siècle, les études médicales constituent la seule voie d'accès à la botanique et, par l'anatomie comparée, à la zoologie. » (Yves Laissus, « Les voyageurs naturalistes du Jardin du roi et du Muséum d'histoire naturelle : essai de portrait-robot », dans Revue d'histoire des sciences, 1981, t. 34, nos 3-4, p. 266, DOI10.3406/rhs.1981.1768, lire en ligne, consulté le 16 juillet 2012).