Séfévides (French Wikipedia)

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archive.today

  • V Minorsky, Encyclopedia of Islam, NL, Brill, , 2nd éd. (lire en ligne [archive du ]) :

    « Après 907/1502, Adharbayjan est devenu le principal bastion et point de rassemblement des Safavides, eux-mêmes originaires d'Ardabil et parlant à l'origine le dialecte iranien local »

books.google.com

  • C.E. Bosworth, The New Islamic Dynasties: A Chronological and Genealogical Manual, Columbia University Press, , 251–252 p. (ISBN 978-0231107143, lire en ligne)
  • Roger Savory, L'Iran sous les Safavides, Cambridge University Press, (ISBN 978-0-521-04251-2, lire en ligne), p. 213 :

    « les qizilbash parlaient normalement l'azéri, une variété de turc à la cour, tout comme les shahs Safavides eux-mêmes ; le manque de familiarité avec la langue persane peut avoir contribué au déclin des normes classiques pures des temps antérieurs »

brill.nl

encislam.brill.nl

  • V Minorsky, Encyclopedia of Islam, NL, Brill, , 2nd éd. (lire en ligne [archive du ]) :

    « Après 907/1502, Adharbayjan est devenu le principal bastion et point de rassemblement des Safavides, eux-mêmes originaires d'Ardabil et parlant à l'origine le dialecte iranien local »

doi.org

dx.doi.org

iranicaonline.org

issn.org

portal.issn.org

semanticscholar.org

api.semanticscholar.org

  • Ayşe Baltacıoğlu-Brammer, Le Monde Séfévide, New York et Londres, Routledge, coll. « Routledge Worlds », , 1ère éd., 15–36 p. (ISBN 978-1-003-17082-2, DOI 10.4324/9781003170822, S2CID 236371308), « L'émergence des Séfévides en tant qu'ordre mystique et leur ascension au pouvoir aux quatorzième et quinzième siècles »

web.archive.org

wikipedia.org

en.wikipedia.org

  • Kathryn Babayan, Mystiques, mon

    Prise du pouvoir et les premières conquêtes

    [modifier | modifier le code]

    Au XIVe siècle, Ardabil était le centre d'une organisation destinée à garder les chefs Safavides en contact avec ses mourides (« maîtres spirituels ») sur les territoires qui sont maintenant l'Azerbaïdjan, l'Irak et l'Est de l'Anatolie. L'organisation était contrôlée à travers le poste de khalifat al-khulafa'i qui nommait des représentants (khalifa) dans les régions où la propagande safavide était active. Le khalifa avait à son tour des subordonnés appelés pira. Leur présence dans l'Est de l'Anatolie représentait une menace sérieuse pour les Ottomans, car ils encourageaient la population chiite d'Asie Mineure à se révolter contre le sultan.

    En 1499, Ismaïl, le jeune chef de l'ordre Safavide, a quitté Lanjan (en) pour Ardabil afin de réclamer le pouvoir. Pendant l'été 1500, près de 7 000 de ses partisans originaires des tribus turcomanes d'Anatolie, de Syrie et d'Irak appelés ensemble les Qizilbash se sont joints à lui afin de le soutenir. À la tête de ces troupes, il commence par mener une campagne punitive contre le Chirvanchah (souverain du Chirvan) ; il cherchait alors à se venger de la mort de son père Heydar et de son grand-père au Chirvan. Après avoir battu le Chirvanchah Farrokh Yassar, il se déplace au sud vers l'Azerbaïdjan où ses 7 000 guerriers Qizilbash battent une force de 30 000 Aq Qoyunlu sous les ordres d'Alwand Mirza