[Reinach 1899] Salomon Reinach, « Quelques statuettes de bronze inédites », Revue Archéologique, t. 35, 3e série, , p. 54-72 (lire en ligne [sur gallica], consulté en ).
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[Fischer 2006] Brigitte Fischer, « Deniers romains et imitations gauloises », dans Jacqueline Champeaux & Martine Chassignet (dir.), Aere perennius. Hommage à Hubert Zehnacker, Paris, Presse de l'Université Paris-Sorbonne, , 704 p., sur books.google.fr (ISBN978-2-84050-430-6, présentation en ligne), p. 155-158.
Stéphane Benoist, Anne Daguet-Gagey et Christine Hoët-van Cauwenberghe (éds.), Figures d'empire, fragments de mémoire : Pouvoirs et identités dans le monde romain impérial (IIe siècle av. J.-C. – VIe siècle apr. J.-C.), (Archaiologia) Presses universitaires du Septentrion, 2011, p. 383.Lire en ligne
[Déchelette 1946] François Déchelette, « La route plate de Strabon entre le Rhône et la Loire », Les Études rhodaniennes, vol. 21, nos 3-4, (lire en ligne [sur persee], consulté en ).
Amable Audin et Paul-Louis Couchoud, « Le génie de Lyon et son culte sous l'Empire romain », Revue de l'histoire des religions, t. 148, no 1, (lire en ligne [sur persee]).
« l'État romain ou le Prince a pu attribuer à des particuliers (cas de Sextus Marius) ou à des cités (par exemple, Carthago Noua en Hispanie ; on peut ajouter les Segusiavii en Gaule) des districts miniers ou des mines, ce qui signifie que ces particuliers ou ces cités en touchent les revenus, qu'ils exploitent eux-mêmes ces mines ou les fassent exploiter par des entreprises minières ». C. Domergue, Le régime juridique des mines du domaine public à Rome, Toulouse, 2004. Lire en ligne