[1]. « Je ne parlerai pas de la science des Hindous, un peuple qui n’est pas le même que les Syriens, ni de leurs découvertes subtiles en astronomie, découvertes qui sont plus ingénieuses que celles des Grecs et des Babyloniens, ni de leurs méthodes de calcul de grande valeur et de leurs calculs qui dépassent la description. Je désire seulement dire que leurs calculs sont faits au moyen de neuf signes. » ; cité dans F. Nau, « La plus ancienne mention orientale des chiffres indiens », dans Journal asiatique, série 10, t. XVI, 1910, p. 225-227 et dans F. Nau, « La cosmographie chez les Syriens », dans Revue de l'Orient chrétien, vol. 15, 1910.
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[1]. « Je ne parlerai pas de la science des Hindous, un peuple qui n’est pas le même que les Syriens, ni de leurs découvertes subtiles en astronomie, découvertes qui sont plus ingénieuses que celles des Grecs et des Babyloniens, ni de leurs méthodes de calcul de grande valeur et de leurs calculs qui dépassent la description. Je désire seulement dire que leurs calculs sont faits au moyen de neuf signes. » ; cité dans F. Nau, « La plus ancienne mention orientale des chiffres indiens », dans Journal asiatique, série 10, t. XVI, 1910, p. 225-227 et dans F. Nau, « La cosmographie chez les Syriens », dans Revue de l'Orient chrétien, vol. 15, 1910.