(en) Paul Williams, Mahāyāna Buddhism : The Doctrinal Foundations,, London - New York, Routledge, 1989, 2nd edition, 438 p. (ISBN978-0-415-35653-4, lire en ligne), p. 149
(en) Graham Lock et Gary S. Linebarger, Chinese Buddhist Texts : An Introductory Reader, London - New York, Routledge, , 176 p. (ISBN978-1-317-35794-0, lire en ligne), p. 92
(es) Dr Fernando Tola, Sūtra del Loto de la Verdadera Doctrina : Saddharmapuṇḍarīkasūtra, Fundación Bodhiyana, , 681 p. (ISBN978-0-578-04576-4, lire en ligne), p. 314
(es) Dr Fernando Tola, Sūtra del Loto de la Verdadera Doctrina : Saddharmapuṇḍarīkasūtra, Fundación Bodhiyana, , 681 p. (ISBN978-0-578-04576-4, lire en ligne), p. 331
Kyong-Kon Kim, « La première traduction coréenne du Sūtra du Lotus (1463) », Revue de l’histoire des religions, no 3, , p. 425-465 (lire en ligne)
persee.fr
Costantino Moretti, « Leon Hurvitz, Scripture of the Lotus Blossom of the Fine Dharma (The Lotus Sutra), 2009 » (compte-rendu), Études chinoises 漢學研究, vol. 29, no 1, , p. 439–441 (lire en ligne, consulté le )
Akira Yuyama: Eugene Burnouf: The Background to his Research into the Lotus Sutra, Bibliotheca Philologica et Philosophica Buddhica, Vol. III, The International Research Institute for Advanced Buddhology, Tokyo 1998, p. 61-77, (2000). (ISBN4-9980622-2-0) Internet Archive
wikipedia.org
en.wikipedia.org
Dans le Sūtra du Lotus les 14 premiers chapitres sont considérés comme “la porte de la trace” et les 14 chapitres suivants comme “la porte de la source”. Les concepts pali les plus proches seraient abhi (supérieur) et sankhata (fabriqué, produit). De même que dans la distinction “"Hongaku, 本覚 / Shikaku, 始覚"”, qui est un concept proche du précédent : "Kaku" (覚) signifie “quitter l'illusion”, s'éveiller. Dans ce contexte, "hon" (本) signifie “originel” au sens d'inné, inhérent, authentique, non-acquis, non-produit, non-manifeste et s'applique aux vertus possédées naturellement, qui ne sont pas surajoutées (des talents innés). "Shi" (始) signifie littéralement “commencer”, “entrer dans”. Dans ce contexte, "shi" indique un point de départ et traduit l'accès à la bouddhéité, la prise de conscience de l'Éveil, la maîtrise d'une stratégie. En d'autres termes, "shi" s'applique à des mérites acquis plutôt qu'à une capacité innée. Le Pabhassara Sutta (Pabhassara citta(en)) explique que la citta, “l'intelligence du coeur” (la spiritualité) est originellement pure et lumineuse mais devient souillée
Prabhūtaratna, sk : प्रभूतरत्न ; chinois traditionnel : 多寶 ; chinois simplifié : 多宝 ; pinyin: duō bǎo ; japonais : 多宝如来 Ta takara nyorai ou Tahō nyorai, traduit en anglais par “Abundant Treasures” ou “Many Treasures” et en français “Maints-Trésors” (en japonais, son nom fait référence à tahōtō). Il est le Bouddha apparu pour attester la validité et la rectitude des enseignements de Shakyamuni dans le Sūtra du Lotus et le Samantabhadra Meditation Sutra(en).
Sous son nom de Yakushi Nyorai, il fait l’objet d’un culte important au Japon depuis le VIIe siècle où il a supplanté Akṣobhya (Ashuku). Situé à l'est il représente plutôt le soleil levant, la vie, tandis qu'Amida qui se trouve à l'ouest est relié au soleil couchant et au monde des morts : Louis Frédéric, Le Japon : dictionnaire et civilisation, Paris, Éditions Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 1419 p. (ISBN978-2-221-06764-2 et 2221067649, OCLC36327575), p. 1201.