Friedman décrit ces entiers comme « incompréhensiblement grands » ; n(p) reste cependant plus petit que TREE(3), même pour des valeurs énormes de p, telles que le nombre de Graham ; on trouvera une analyse plus serrée de ces encadrements dans ces notes de conférence (en), et des calculs plus précis des premières valeurs de n(k) dans cet autre article de Friedman (en) ; enfin, une estimation déjà moins imparfaite de TREE(3) figure sur cette page de MathOverflow.
osu.edu
math.osu.edu
Friedman décrit ces entiers comme « incompréhensiblement grands » ; n(p) reste cependant plus petit que TREE(3), même pour des valeurs énormes de p, telles que le nombre de Graham ; on trouvera une analyse plus serrée de ces encadrements dans ces notes de conférence (en), et des calculs plus précis des premières valeurs de n(k) dans cet autre article de Friedman (en) ; enfin, une estimation déjà moins imparfaite de TREE(3) figure sur cette page de MathOverflow.