Jon Savage explique dans une interview au site web 3:am magazine : « Je détestais Jam et les Stranglers : une épouvantable merde rétro, une vieille information. Alors que dans le punk tout devait être neuf ». (en) Andrew Gallix, « London's outrage : an interview with Jon Savage », 3:am magazine, (lire en ligne, consulté le )
(en) « Interviews », sur BBC - Top of the pops 2, (consulté le )
Un certain nombre de critiques ont souligné la proximité entre les titres Part of the Queue et Golden brown par exemple Simon Fernand, « Oasis Don't Believe the Truth review », sur BBC, (consulté le )
bigtimemusicmag.com
(en) « the Girth Godwyn interview », Big Time music mag, no 4, (lire en ligne)
Voir ce post du blogue C-noise : « The Stranglers-band introduction », sur C-noise, (consulté le ) et voir aussi : (en) Simon Reynolds et Joy Press, The sex revolts : gender, rebellion and rock'n roll., Harvard University Press, où les Stranglers sont décrits comme « un des groupes les plus misogynes de l'histoire du rock, dépassant même les Rolling Stones en méchanceté pure » !
(en) « The Stranglers », Classic Rock Magazine, (lire en ligne)
(en) « Studio report », Classic Rock, (lire en ligne)
Pour Jet Black, Peaches fait partie « d'une longue tradition de ce que nous appelons l'humour britannique de carte postale de plage ». « Peaches-The Stranglers (1977) », Classic Rock Magazine, (lire en ligne, consulté le )
dailymotion.com
Il le dira encore dans une interview filmée pour Overviews : Overviews, « Interview JJ Burnel », (consulté le )
floatationsuite.com
(en) Tom Lynn, « Baz Warne interview », sur Floatation suite, (consulté le )
Les Stranglers sont présents aux côtés des Clash, des Cure et autre Dr Feelgood dans le triple DVD, sorti le 5 octobre 2010, de l'émission Chorus, présentée par Antoine de Caunes, entre 1979 et 1981. Ils ont été filmés lors d'un concert au Théâtre de l'Empire à Paris le 12 novembre 1979, mais seulement une vingtaine de minutes a été diffusée. Concert The Stranglers - Chorus - 25/11/1979 [archive] sur ina.fr
lefigaro.fr
C'est une idée qui prévaut encore à l'heure actuelle chez nombre de journalistes. Olivier Nuc titrait ainsi son article : « The Stranglers : les dinosaures sans tête », Le Figaro, (lire en ligne)
Dans une interview au site web Punk Rocker, Alex Ogg explique les raisons qui l'ont conduit à écrire un livre sur le mouvement punk britannique, livre dans lequel les Stranglers sont mentionnés et qui s'intitule… No more heroes : « J'étais frustré de ce que l'histoire du punk en 77 soit relatée à partir de deux groupes seulement : les Pistols et les Clash. J'ai toujours pensé qu'il y avait plus que ça. Je détestais également le point de vue staliniste sur qui était authentique ou pas alors je me suis lancé dans le projet d'écrire sur les groupes amateurs, les franc-tireurs de l'art, ceux qui avaient pris le train en marche et les perdants. Parce que je pense (...) qu'ils faisaient autant partie de ce que j'appelle punk que les quelques victimes de la mode qui rodaient dans l'ouest de Londres ». Brian Sheklian, « Punk interviews : Alex Ogg », sur Punk Rocker, (consulté le )
(en) Tom Service, « For one night only... the Stranglers and London Sinfonietta together at last. », The Guardian, (lire en ligne)
themeninblack.co.uk
Il n'existe pas de liste complète des concerts du groupe mais on peut se référer à la liste qui est donnée sur le forum de discussion non officiel du groupe : Burning Up Time.
theprodigy.com
Voir leur biographie sur le site officiel : « Biography », sur The Prodigy, (consulté le )
(en) Jet Black, The Stranglers : A biography, The Stranglers web, (lire en ligne)
Son premier concert en tant que batteur des Stranglers remonte à 2006 comme indiqué dans l'interview qu'il donne au site officiel des Stranglers : « Some big shoes to fill... Ian Barnard interview », sur The Stranglers (officiel), (consulté le )
(en) « JJ Giants Interview », sur site officiel des Stranglers, (consulté le )