C'est la version, par exemple, de l'Encyclopédie britannique de 1911, voir Thomas Robert, « Bugeaud de la Piconnerie », Encyclopædia Britannica, 1911. Ce n'est cependant pas la seule, puisqu'Henri Amédée Le Lorgne Ideville affirme au contraire que le duel provenait d'une insulte de Dulong lors d'un débat sur le budget à la Chambre qui se serait tenu le 25 janvier. Cf. Henri Amédée Le Lorgne Ideville, Le Maréchal Bugeaud : d'après sa correspondance intime et des documents inédits, 1784-1840 (1881). Toujours selon ce dernier, c'était la troisième fois que Bugeaud se battait en duel.
La version de l'Encyclopédie britannique semble toutefois plus probable: elle recoupe par exemple le récit fait par Auguste Wahlen dans son Nouveau dictionnaire de la conversation ; ou, Répertoire universel, 1841 (accessible sur Google Books) et de diverses autres sources contemporaines.
Hélène Rietsch, « Plutôt que déboulonner la statue de Bugeaud, « homme condamnable », Périgueux y ajoute un rappel historique », Sud Ouest, Dordogne, (ISSN1760-6454, lire en ligne, consulté le )
« « A Paris, comme dans les autres villes concernées, la glorification du maréchal Bugeaud n’a que trop duré » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
Hélène Rietsch, « Plutôt que déboulonner la statue de Bugeaud, « homme condamnable », Périgueux y ajoute un rappel historique », Sud Ouest, Dordogne, (ISSN1760-6454, lire en ligne, consulté le )
wikisource.org
en.wikisource.org
C'est la version, par exemple, de l'Encyclopédie britannique de 1911, voir Thomas Robert, « Bugeaud de la Piconnerie », Encyclopædia Britannica, 1911. Ce n'est cependant pas la seule, puisqu'Henri Amédée Le Lorgne Ideville affirme au contraire que le duel provenait d'une insulte de Dulong lors d'un débat sur le budget à la Chambre qui se serait tenu le 25 janvier. Cf. Henri Amédée Le Lorgne Ideville, Le Maréchal Bugeaud : d'après sa correspondance intime et des documents inédits, 1784-1840 (1881). Toujours selon ce dernier, c'était la troisième fois que Bugeaud se battait en duel.
La version de l'Encyclopédie britannique semble toutefois plus probable: elle recoupe par exemple le récit fait par Auguste Wahlen dans son Nouveau dictionnaire de la conversation ; ou, Répertoire universel, 1841 (accessible sur Google Books) et de diverses autres sources contemporaines.