L. Rodet, l’algèbre d’Al-Khârizmi et les méthodes indienne et grecque, lire sur Gallica, p. 24.
Joseph-Louis Lagrange, Réflexions sur la résolution algébrique des équations, Nouveaux mémoires de l’académie royale des sciences et belles lettres de Berlin, 1771, lire sur Gallica
Lagrange précise : « Si les équations de degré supérieur au quatrième n'est pas impossible, elle doit dépendre de quelque fonctions racine, différentes de la précédente. »J-L Lagrange, Réflexions sur la résolution algébrique des équations, Nouveaux mémoires de l’académie royale des sciences et belles lettres de Berlin, 1771, p. 357.
Sur les travaux d’Abel, on peut consulter le site, extrait du livre : B. Hauchecorne, D. Surateau, [PDF] Des mathématiciens de A à Z, Ellipses, Paris, 1996 (ISBN2729846832).
emath.fr
smf.emath.fr
H. Bellosta indique : « Son successeur Sharaf al-Dîn al-Tûsî (XIIe siècle) va étudier de façon plus rigoureuse les conditions d’existence de ces points d’intersection, dont l’abscisse détermine la racine positive demandée ; ceci va l’amener à se pencher sur des problèmes de localisation et de séparation des racines et l’obliger à définir la notion de maximum d’une expression algébrique (en introduisant la dérivée formelle d’un polynôme). Une autre innovation d’al-Tûsî consiste à traiter, en même temps que la résolution géométrique, la résolution numérique des équations du troisième degré. Il développe pour cela une variante de la méthode de Ruffini Horner. » : [PDF] « À propos de l’histoire des sciences arabes », SMF Gazette, no 82, 1999.
André Lichnerowicz utilise les termes suivants, pour décrire la mutation dont Galois peut être pris comme un symbole : « Au lieu de subir les structures et de les reconnaître un peu au hasard, la mathématique s'efforcera de les dominer » : L'activité mathématique et son rôle dans notre conception du monde, Séance du 27 février 1965 au Collège de France.
st-and.ac.uk
www-groups.dcs.st-and.ac.uk
J. J. O'Connor E. F. Robertson, Niels Henrik Abel, université de St Andrew.
Jean-Yves Briend, Le théorème fondamental de l'algèbre (version moderne de cette preuve, la no 5), Centre de mathématiques et informatique de l'université de Provence Aix-Marseille, 30 janvier 2006, [PDF] [lire en ligne]
Collectif IREM-APMEP de Poitiers, (Institut de recherche sur l'enseignement en mathématiques - Association des professeurs de mathématiques de l’enseignement public), Histoire de symboles, chapitre 12 : La première inconnue, 2003, [lire en ligne]
univ-rennes1.fr
irem.univ-rennes1.fr
Cette question est extraite d’une tablette conservée au British museum sous le numéro BM 13901 : L’algèbre babylonienne, par l’IREM de Rennes. La notation 6 15 est ambiguë, la signification choisie ici correspond à la solution x = 1/2 de l'équation donnée dans la tablette.