Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Théorie du nudge" in French language version.
Samuel Ferey, « Paternalisme libéral et pluralité du moi, Libertarian paternalism and multiple-selves », Revue économique, vol. 62, no 4, , p. 737–750 (ISSN 0035-2764, DOI 10.3917/reco.624.0737, lire en ligne, consulté le ), note 1 :« « To nudge », c’est pousser du coude, remettre sur le droit chemin par une petite impulsion. « Nudge » propose d’analyser nos choix à la lumière de la psychologie sociale et de les guider doucement, sans contrainte, en utilisant les techniques découvertes par les nouveaux « comportementalistes. » Les auteurs appellent cette philosophie le « paternalisme libéral » (libertarian paternalism, mal traduit dans le livre français par « paternalisme libertaire »). À noter que le mot américain liberal est également mal traduit (page 14 de l’édition française) par « libéral » au lieu de « gauche » ou « libertaire ». »
« Nous avons choisi de traduire libertarian paternalism par « paternalisme libéral » et non par « paternalisme libertarien ». En effet, il nous semble que, autant dans la tradition politique américaine, le terme liberal ne doit pas être confondu avec celui de libertarian ; autant en français, le risque de confusion est moindre, et le terme « libéral » renvoie bien à une doctrine politique et économique qui fait du choix libre individuel le critère de l’efficacité et de la justice de l’intervention publique. »
Samuel Ferey, « Paternalisme libéral et pluralité du moi, Libertarian paternalism and multiple-selves », Revue économique, vol. 62, no 4, , p. 737–750 (ISSN 0035-2764, DOI 10.3917/reco.624.0737, lire en ligne, consulté le ), note 1 :« « To nudge », c’est pousser du coude, remettre sur le droit chemin par une petite impulsion. « Nudge » propose d’analyser nos choix à la lumière de la psychologie sociale et de les guider doucement, sans contrainte, en utilisant les techniques découvertes par les nouveaux « comportementalistes. » Les auteurs appellent cette philosophie le « paternalisme libéral » (libertarian paternalism, mal traduit dans le livre français par « paternalisme libertaire »). À noter que le mot américain liberal est également mal traduit (page 14 de l’édition française) par « libéral » au lieu de « gauche » ou « libertaire ». »
« Nous avons choisi de traduire libertarian paternalism par « paternalisme libéral » et non par « paternalisme libertarien ». En effet, il nous semble que, autant dans la tradition politique américaine, le terme liberal ne doit pas être confondu avec celui de libertarian ; autant en français, le risque de confusion est moindre, et le terme « libéral » renvoie bien à une doctrine politique et économique qui fait du choix libre individuel le critère de l’efficacité et de la justice de l’intervention publique. »
Samuel Ferey, « Paternalisme libéral et pluralité du moi, Libertarian paternalism and multiple-selves », Revue économique, vol. 62, no 4, , p. 737–750 (ISSN 0035-2764, DOI 10.3917/reco.624.0737, lire en ligne, consulté le ), note 1 :« « To nudge », c’est pousser du coude, remettre sur le droit chemin par une petite impulsion. « Nudge » propose d’analyser nos choix à la lumière de la psychologie sociale et de les guider doucement, sans contrainte, en utilisant les techniques découvertes par les nouveaux « comportementalistes. » Les auteurs appellent cette philosophie le « paternalisme libéral » (libertarian paternalism, mal traduit dans le livre français par « paternalisme libertaire »). À noter que le mot américain liberal est également mal traduit (page 14 de l’édition française) par « libéral » au lieu de « gauche » ou « libertaire ». »
« Nous avons choisi de traduire libertarian paternalism par « paternalisme libéral » et non par « paternalisme libertarien ». En effet, il nous semble que, autant dans la tradition politique américaine, le terme liberal ne doit pas être confondu avec celui de libertarian ; autant en français, le risque de confusion est moindre, et le terme « libéral » renvoie bien à une doctrine politique et économique qui fait du choix libre individuel le critère de l’efficacité et de la justice de l’intervention publique. »
Samuel Ferey, « Paternalisme libéral et pluralité du moi, Libertarian paternalism and multiple-selves », Revue économique, vol. 62, no 4, , p. 737–750 (ISSN 0035-2764, DOI 10.3917/reco.624.0737, lire en ligne, consulté le ), note 1 :« « To nudge », c’est pousser du coude, remettre sur le droit chemin par une petite impulsion. « Nudge » propose d’analyser nos choix à la lumière de la psychologie sociale et de les guider doucement, sans contrainte, en utilisant les techniques découvertes par les nouveaux « comportementalistes. » Les auteurs appellent cette philosophie le « paternalisme libéral » (libertarian paternalism, mal traduit dans le livre français par « paternalisme libertaire »). À noter que le mot américain liberal est également mal traduit (page 14 de l’édition française) par « libéral » au lieu de « gauche » ou « libertaire ». »
« Nous avons choisi de traduire libertarian paternalism par « paternalisme libéral » et non par « paternalisme libertarien ». En effet, il nous semble que, autant dans la tradition politique américaine, le terme liberal ne doit pas être confondu avec celui de libertarian ; autant en français, le risque de confusion est moindre, et le terme « libéral » renvoie bien à une doctrine politique et économique qui fait du choix libre individuel le critère de l’efficacité et de la justice de l’intervention publique. »