Pour l'énoncé (et sa démonstration) : Euclide 1994, p. 159, Euclide (trad. François Peyrard), Les œuvres d'Euclide, en grec, en latin et en français, d'après un manuscrit très-ancien qui était resté inconnu jusq'à nos jours, vol. 1, Paris, M. Patris, (lire en ligne) p. 293, ou le (en) site de David E. Joyce.
bnf.fr
gallica.bnf.fr
Eugène Rouché et Charles de Comberousse, Traité de géométrie élémentaire, Gauthier-Villars, , 2e éd. (lire en ligne) p. 136 pour cette citation précise et l'attribution à Thalès, p. 229 pour la dénomination « théorème de Thalès », dénomination que l'on retrouve déjà, associée au même théorème dans la première édition de 1864, p. 229, mais aussi chez d'autres auteurs, Antoine-Augustin Cournot, De l'origine et des limites de la correspondance entre l'algèbre et la géométrie, Paris, L. Hachette, , Auguste Comte en 1853. Toutes ces citations sont reprises de Herreman 2017, Sur l'origine de l'appellation « théorème de Thalès ».
Le théorème de Thalès, celui dans le triangle ou celui sur les deux sécantes découpés par des parallèles, est cité sous ce nom dans les programmes de la seconde moitié du XXe siècle selon Plane 1995, p. 80-81. On le trouve déjà par exemple dans le programme du diplôme d'aptitude de l'enseignement secondaire de jeune fille de 1911 (Journal officiel 10 septembre 1011, p. 7390), dans le programme de troisième de 1941 (Journal officiel, 21 septembre 1941, p. 4121)…
clarku.edu
aleph0.clarku.edu
Pour l'énoncé (et sa démonstration) : Euclide 1994, p. 159, Euclide (trad. François Peyrard), Les œuvres d'Euclide, en grec, en latin et en français, d'après un manuscrit très-ancien qui était resté inconnu jusq'à nos jours, vol. 1, Paris, M. Patris, (lire en ligne) p. 293, ou le (en) site de David E. Joyce.
Mar Moyon, « Mathématiques et interculturalité : l'exemple des la division des figures planes dans l'histoire des pratiques mathématiques », Repères, no 103, , p. 5-21 (lire en ligne), p.7
Eugène Rouché et Charles de Comberousse, Traité de géométrie élémentaire, Gauthier-Villars, , 2e éd. (lire en ligne) p. 136 pour cette citation précise et l'attribution à Thalès, p. 229 pour la dénomination « théorème de Thalès », dénomination que l'on retrouve déjà, associée au même théorème dans la première édition de 1864, p. 229, mais aussi chez d'autres auteurs, Antoine-Augustin Cournot, De l'origine et des limites de la correspondance entre l'algèbre et la géométrie, Paris, L. Hachette, , Auguste Comte en 1853. Toutes ces citations sont reprises de Herreman 2017, Sur l'origine de l'appellation « théorème de Thalès ».