Le Petit Larousse illustré 1991, p. 964, écrit « tiers-monde ». Le Petit Robert 2004, p. 2613, écrit « tiers-monde », mais cite un auteur qui écrit « Tiers-Monde ». Le Petit Robert 2014 écrit aussi « tiers-monde ». Le TLFi écrit « tiers monde » et « tiers-monde »[1], mais cite un auteur qui écrit « Tiers Monde ».
L'Express du 9 octobre 2003, cité plus bas. Voir aussi, Georges Balandier, « Images, images, images », Cahiers internationaux de sociologie, no 82, , p. 7-22 (lire en ligne) : « L'expression « société de communication » est une forme presque pléonastique. Toutes les sociétés, de tout temps, sont des espaces de communication, d'information et de communication ; c'est, avec la double production matérielle et symbolique, ce qui caractérise leur mode d'exister et leur inscription dans l'histoire. »
Guy Gosselin et Marcel Fillion, Régimes politiques et Sociétés dans le monde, Québec, Presses Université Laval, , 388 p. (ISBN978-2-7637-8291-1, lire en ligne), p. 314
Sophie Bessis, « Les nouveaux enjeux et les nouveaux acteurs des débats internationaux dans les années 90 », Tiers-Monde, Paris, no 151, , p. 659-675, part. p. 666 (lire en ligne). Voir aussi John M. Hobson 2004 en bibliographie.
L'Express du 9 octobre 2003, cité plus bas. Voir aussi, Georges Balandier, « Images, images, images », Cahiers internationaux de sociologie, no 82, , p. 7-22 (lire en ligne) : « L'expression « société de communication » est une forme presque pléonastique. Toutes les sociétés, de tout temps, sont des espaces de communication, d'information et de communication ; c'est, avec la double production matérielle et symbolique, ce qui caractérise leur mode d'exister et leur inscription dans l'histoire. »