Tiken Jah Fakoly (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Tiken Jah Fakoly" in French language version.

refsWebsite
Global rank French rank
559th place
65th place
low place
2,297th place
1,467th place
787th place
low place
low place
2,131st place
128th place
9th place
19th place
low place
low place
2,564th place
186th place
low place
1,136th place
2,314th place
155th place
low place
1,859th place
low place
low place
low place
low place
low place
6,995th place
low place
3,784th place
low place
3,809th place
5,461st place
379th place
1st place
1st place
425th place
24th place
232nd place
15th place
1,104th place
64th place
low place
low place
1,363rd place
1,363rd place
low place
1,732nd place
low place
3,618th place
8,244th place
591st place
low place
3,083rd place
955th place
568th place

abidjan.net

news.abidjan.net

africatopsuccess.com

allafrica.com

fr.allafrica.com

ecole-fakoly.com

franceculture.fr

  • « Tiken Jah Fakoly », sur www.franceculture.fr (consulté le ).
  • Interrogé par Mathilde Serrell et Martin Quenehen dans l'émission Ping Pong sur France Culture le 29 septembre 2015, Tiken Jah Fakoly déclare : « En 2002 je suis parti en exil parce que j'ai été averti, il paraît qu'un escadron de la mort avait une liste de personnes à tuer, dont je faisais partie. Donc je n'ai pas plaisanté avec ça. J'ai un ami qui était comédien qui s'appelait H Camara qui était sur la liste et qui a refusé de partir. Il a dit « Je ne me reproche rien, je reste là. ». Et il a été arrêté un soir en 2003, après avoir dîné avec sa famille, et le lendemain on a trouvé son corps dans les rues d'Abidjan. Je suis parti au Mali, parce que simplement, mon message dérangeait ceux qui étaient au pouvoir. » (à 45:20). L'assassinat est rapporté dans les articles de Vincent Hugeux, « Les tueurs de l'ombre », L'Express,‎ (lire en ligne, consulté le ), de Virginie Gomez, « Mieux vaut mourir en martyr que vivre en hypocrite », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ), et de Thomas Hofnung, « L'ombre de Gbagbo sur les escadrons de la mort », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).

fratmat.info

  • « CULTURE », sur FratMat, FratMat, (consulté le ).

freemuse.org

genius.com

  • (en) Tiken Jah Fakoly (Ft. Soprano) – Le monde est chaud (lire en ligne)

koffi.net

lesinrocks.com

  • Francis Dordor, « Tiken Jah Fakoly, la musique au service de la démocratie », Les Inrocks,‎ (lire en ligne, consulté le ).

letelegramme.fr

lexpress.fr

  • Interrogé par Mathilde Serrell et Martin Quenehen dans l'émission Ping Pong sur France Culture le 29 septembre 2015, Tiken Jah Fakoly déclare : « En 2002 je suis parti en exil parce que j'ai été averti, il paraît qu'un escadron de la mort avait une liste de personnes à tuer, dont je faisais partie. Donc je n'ai pas plaisanté avec ça. J'ai un ami qui était comédien qui s'appelait H Camara qui était sur la liste et qui a refusé de partir. Il a dit « Je ne me reproche rien, je reste là. ». Et il a été arrêté un soir en 2003, après avoir dîné avec sa famille, et le lendemain on a trouvé son corps dans les rues d'Abidjan. Je suis parti au Mali, parce que simplement, mon message dérangeait ceux qui étaient au pouvoir. » (à 45:20). L'assassinat est rapporté dans les articles de Vincent Hugeux, « Les tueurs de l'ombre », L'Express,‎ (lire en ligne, consulté le ), de Virginie Gomez, « Mieux vaut mourir en martyr que vivre en hypocrite », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ), et de Thomas Hofnung, « L'ombre de Gbagbo sur les escadrons de la mort », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).

liberation.fr

  • Interrogé par Mathilde Serrell et Martin Quenehen dans l'émission Ping Pong sur France Culture le 29 septembre 2015, Tiken Jah Fakoly déclare : « En 2002 je suis parti en exil parce que j'ai été averti, il paraît qu'un escadron de la mort avait une liste de personnes à tuer, dont je faisais partie. Donc je n'ai pas plaisanté avec ça. J'ai un ami qui était comédien qui s'appelait H Camara qui était sur la liste et qui a refusé de partir. Il a dit « Je ne me reproche rien, je reste là. ». Et il a été arrêté un soir en 2003, après avoir dîné avec sa famille, et le lendemain on a trouvé son corps dans les rues d'Abidjan. Je suis parti au Mali, parce que simplement, mon message dérangeait ceux qui étaient au pouvoir. » (à 45:20). L'assassinat est rapporté dans les articles de Vincent Hugeux, « Les tueurs de l'ombre », L'Express,‎ (lire en ligne, consulté le ), de Virginie Gomez, « Mieux vaut mourir en martyr que vivre en hypocrite », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ), et de Thomas Hofnung, « L'ombre de Gbagbo sur les escadrons de la mort », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).

linfodrome.com

maliactu.net

maliweb.net

myspace.com

mytaratata.com

nologobzh.com

ouestaf.com

over-blog.com

editions-sources-du-nil.over-blog.com

rfi.fr

musique.rfi.fr

  • « Tiken Jah Fakoly », sur RFI Musique, (consulté le )
  • « Tiken Jah Fakoly », RFI Musique,‎ (lire en ligne, consulté le )
  • « Troisième disque d’or pour Tiken Jah Fakoly », RFI Musique,‎ (lire en ligne, consulté le )

rfimusique.com

rti.ci

unicef.fr

vosgesmatin.fr

web.archive.org

youtube.com