Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Tombeau de Talpiot" in French language version.
« François Bovon explique, pages 57 et 58 :
« Le récit débute, je l'ai dit, par la répartition des destinations missionnaires et l'auteur ajoute : « Lorsque Philippe entendit le nom du pays et de la ville qui lui étaient échus, il trouva la chose rude et il se mit à pleurer et à gémir. » Et de poursuivre: « Voyant ses pleurs, le Sauveur se tourna vers lui, avec Jean et Mariamne, la sœur de Philippe. » Et de donner cette indication curieuse reflétant la responsabilité et l'autorité, pour ne pas dire le privilège de cette femme : « C'est elle qui détenait le registre (ή άναγραϕή) des pays et c'est elle qui préparait le pain et le sel et la fraction du pain ; Marthe, pour sa part, servait la multitude et peinait beaucoup. Mariamne parla au Sauveur en faveur de Philippe qui était affligé par le choix de la ville où il était envoyé. » [Note 64] Voici la réponse du Seigneur : « Je sais que tu es bonne et vaillante en ton âme et bénie parmi les femmes ; voila qu'une mentalité de femme a gagné Philippe, tandis qu'habite en toi une mentalité virile et vaillante. »
Après avoir donné l'ordre à Mariamne d'accompagner Philippe, le Christ lui transmet cet ordre : « Quant a toi, Mariamné, change de costume et d'apparence : dépouille tout ce qui, dans ton extérieur, rappelle la femme, la robe d'été que tu portes, ne laisse pas la frange de ton vêtement traîner par terre... »
Ces quelques citations auront montré que la Μαριάμνη des APh [i.e. Actes de Philippe] s'inscrit dans le sillage des témoignages hétérodoxes de notre seconde partie, preuve supplémentaire de la survie des traditions gnostiques et indice des lectures fort peu canoniques des moines du IVe siècle, surtout des moines apotactites d'Asie. Trois traits nouveaux apparaissent : 1° Non seulement Mariamne encourage les apôtres a prendre le risque de la mission, mais elle détient elle-même le registre des régions à évangéliser ; 2° Mariamne est présentée comme la sœur de Philippe ; 3° elle accompagne, par ailleurs, son frère en voyage et se tient a ses cotés durant son martyre. Mais ces éléments inédits n'éclipsent pas les caractères traditionnels qui ont donc eu la vie dure ; ils ont plutôt tendance a les souligner en les compliant.
Nous voici au terme de notre percée qui, du Ier siècle, nous a acheminés au IVe siècle. Le temps mais non l'envie me manque pour examiner si la survie médiévale de Marie-Madeleine dérive de la Bible ou des relectures apocryphes. »
Note 64, page 62 :
« [64] Ibid. L'auteur paraît admettre que Mariamne est la sœur de Marthe. II assimile donc, comme beaucoup d'autres, Marie-Madeleine et Marie, sœur de Marthe. A. Harnack, op. cit. (n. 41), p. 17 attire l’attention sur un curieux passage de la Constitution ecclésiastique des Apôtres, 26, qui va dans le sens inverse de ce passage des Actes de Philippe ; après avoir rappelé que lors de l'institution de la Cène, le Maître avait interdit aux deux femmes de se tenir aux côtés des Douze, l'auteur introduit un petit dialogue: « Marthe dit : "C'est à cause de Marie, parce qu'il (elle ?) l’a vue sourire." Marie répondit : "Je n'ai pas encore ri." » Comme c'est Jean qui est censé parler au paragraphe 26, il faut sans doute, avec A. Harnack, admettre que ce curieux dialogue entre les deux femmes constitue une parenthèse. Le texte se poursuit ainsi : « II nous prédisait, lorsqu'il enseignait, que le faible serait sauvé par le fort. » Sur ce passage, cf. A. Harnack, Die Quellen der sogenannten Apostolischen Kirchenordnung… (TU 2, 5) (Leipzig, 1886), p. 28-31. Parmi les diverses éditions de la Constitution ecclésiastique des Apôtres, j'ai consulté celle de A. Harnack, Die Lehre der zwölf Aposiel nebst Untersuchungen zur altesten Geschichte der Kirchenverfassung und des Kirchenrechts. Anhang: ein iibersehenes Fragment der ΔIΔAXH in alter lateinischer Ubersetzung mitgeteilt von O. v. Gebhaidt (Leipzig, 1884), p. 236 qui indique dans l'apparat critique en traduction latine la version éthiopienne ; il faut lire aussi aux p. 214-16 la longue n. 37. Bibliographie sur cet écrit, cf. J. Quasten, Initiation aux Pires de I ‘Église, trad. fr. pai J. Laporte, II (Paris, 1959), p. 143-4. II faudrait examiner tous les textes qui interdisent aux femmes de prêcher et de dispenser les sacrements. Certains doivent mentionner que la règle s'applique malgré la présence de femmes, telle Marie-Madeleine aux côtés de Jésus et des disciples, ainsi les Constitutions Apostoliques, III, 5, 6, ed. F. X. Funk, Didascalia et Constitutiones apostolorum, I (Paderborn, 1905) (reprint Torino 1964), p. 190-1. » »
« Pages 274 à 278 : « Le Messie juif de la fin de la période du Second Temple était conçu comme une figure terrestre pleinement humaine, bien qu'il soit possible que plusieurs messies remplissent des rôles différents et généralement distincts : royal, sacerdotal et prophétique. De nombreux Juifs s'attendaient à ce que le Messie royal descende de la maison de David et naisse donc à Bethléem, conformément à la prophétie biblique. Même la secte de Qumran, qui prévoyait un deuxième messie (sacerdotal), et peut-être un troisième messie prophétique, identifiait le messie royal comme davidique. Comme le remarque John Collins, « ce concept du messie davidique en tant que roi guerrier qui détruirait les ennemis d'Israël et instaurerait une ère de paix sans fin constitue le noyau commun du messianisme juif au tournant de cette ère ». (...) En tant que demi-Juif iduméen nommé roi de Judée par les Romains, Hérode n'était pas un « Juif authentique », pas plus qu'il n'était d'ascendance davidique ou sacerdotale. Par conséquent, une grande partie de la population juive l'aurait considéré comme un roi illégitime. Hérodium [la colline artificielle sur laquelle Hérode fit ériger son tombeau, juste en face de Bethléem] est la réponse d'Hérode aux défis posés par sa légitimité. (...) Schalit a proposé qu'Hérode - qui dirigeait un royaume de David et de Salomon ressuscité - ait reconstruit le temple de Jérusalem pour se rattacher à Salomon et démontrer qu'il jouissait de la faveur de Dieu. Par ces actions, Hérode s'est présenté comme l'accomplissement de la prophétie biblique en tant que messie davidique, conformément à la volonté de Dieu. (...) Sous Hérode - incarnation du Messie davidique - le royaume biblique est renouvelé, le temple de Jérusalem est restauré dans la gloire qui était la sienne sous Salomon, et le royaume de Dieu est établi sur terre. (...) Jacob Neusner observe : « Alors qu'Hérode lui-même était un Iduméen, il devint politiquement opportun pour lui de prétendre que sa famille était issue de l'exil babylonien. A cette époque et par la suite, il était courant pour tout prétendant au pouvoir légitime en Israël d'affirmer qu'il était d'origine davidique. Pour Hérode, la revendication d'une origine babylonienne donnait un fondement plus raisonnable à la revendication supplémentaire d'une descendance davidique que celui dont disposait un Iduméen. » »
« James Charlesworth, Princeton Theological Seminary: « Thus we may discern: HNOJ. Since Hebrew is written right to left, we may recognize: JONH. »
Robert Deutsch, épigraphiste : « Self-evident "Yonah". I don't know if it's a fish or an amphora, I have to see it, but the inscription is made intentionally and is not just a decoration. »
James D. Tabor, University of North Carolina (UNC) Charlotte: « I believe it says Yonah, very clearly. The implications are huge. I still believe we have the stick figure, but ingeniously made into the name as well. The artist is telling us what he/she wants us to understand – this is Yonah! »
Haggai Misgav, Hebrew University of Jerusalem: « [I read it as] ZYLH – Zilah or Zoilah, a Greek feminine name. A woman from Jerusalem, probably Jew, that died in the first century. [The image] is an amphora. I've seen a lot of amphorae on ossuaries. I don't think it has any meaning. »
Christopher Rollston, Emmanuel Christian Seminary: « I've looked at the photographs really carefully. The name Jonah is simply not there. It's really ridiculous. They are etchings that are part of the amphora. There are no letters. » »
« Pages 274 à 278 : « Le Messie juif de la fin de la période du Second Temple était conçu comme une figure terrestre pleinement humaine, bien qu'il soit possible que plusieurs messies remplissent des rôles différents et généralement distincts : royal, sacerdotal et prophétique. De nombreux Juifs s'attendaient à ce que le Messie royal descende de la maison de David et naisse donc à Bethléem, conformément à la prophétie biblique. Même la secte de Qumran, qui prévoyait un deuxième messie (sacerdotal), et peut-être un troisième messie prophétique, identifiait le messie royal comme davidique. Comme le remarque John Collins, « ce concept du messie davidique en tant que roi guerrier qui détruirait les ennemis d'Israël et instaurerait une ère de paix sans fin constitue le noyau commun du messianisme juif au tournant de cette ère ». (...) En tant que demi-Juif iduméen nommé roi de Judée par les Romains, Hérode n'était pas un « Juif authentique », pas plus qu'il n'était d'ascendance davidique ou sacerdotale. Par conséquent, une grande partie de la population juive l'aurait considéré comme un roi illégitime. Hérodium [la colline artificielle sur laquelle Hérode fit ériger son tombeau, juste en face de Bethléem] est la réponse d'Hérode aux défis posés par sa légitimité. (...) Schalit a proposé qu'Hérode - qui dirigeait un royaume de David et de Salomon ressuscité - ait reconstruit le temple de Jérusalem pour se rattacher à Salomon et démontrer qu'il jouissait de la faveur de Dieu. Par ces actions, Hérode s'est présenté comme l'accomplissement de la prophétie biblique en tant que messie davidique, conformément à la volonté de Dieu. (...) Sous Hérode - incarnation du Messie davidique - le royaume biblique est renouvelé, le temple de Jérusalem est restauré dans la gloire qui était la sienne sous Salomon, et le royaume de Dieu est établi sur terre. (...) Jacob Neusner observe : « Alors qu'Hérode lui-même était un Iduméen, il devint politiquement opportun pour lui de prétendre que sa famille était issue de l'exil babylonien. A cette époque et par la suite, il était courant pour tout prétendant au pouvoir légitime en Israël d'affirmer qu'il était d'origine davidique. Pour Hérode, la revendication d'une origine babylonienne donnait un fondement plus raisonnable à la revendication supplémentaire d'une descendance davidique que celui dont disposait un Iduméen. » »
« Mon examen détaillé de toutes les preuves concernant le nom Joseph dans toutes ses variantes et formes abrégées (...) me permet d'apporter les éléments de réponse suivants.
(1) Yose (יוסה, יסה, יסה, Ἰωσῆς, Ἰωσή, Ἰωσε, Ἰoσε, Ἰωσίας, Ἰωσίς) est une forme courte du nom Yehosef/Yosef. En outre, la forme hébraïque rare Yehose (יהוסה, יהסה) ne peut pas vraiment être traitée séparément, car il n'y a aucun moyen de savoir si les exemples grecs enregistrés reflètent l'hébreu/araméen Yose ou Yehose (la distinction ne peut pas être faite en lettres grecques), et il se peut qu'il y ait eu peu de différence dans la prononciation entre Yose et Yehose. Au total, il y a seize occurrences de la forme courte du nom pour la période allant de 100 avant notre ère à 135 de notre ère dans des sources autres que les sources rabbiniques.
(2) יוסה et יוסי sont respectivement les orthographes araméenne et hébraïque de la même forme courte du nom Joseph, prononcée de manière identique (Yôsê). L'orthographe originale dans la Mishna était probablement יוסה, et il se peut que cela ait été le cas dans la littérature rabbinique palestinienne antérieure en général. Il n'y a donc même pas de différence orthographique entre ce que la Mishna appelle les personnes de ce nom et la forme courte telle qu'elle apparaît dans les sources de la période du Second Temple.
(3) Malgré l'affirmation de [James] Tabor selon laquelle « les sages portant ce surnom sont presque toujours du milieu de la fin du deuxième siècle de l'ère chrétienne et au-delà », il y a en fait huit personnes portant ce nom dans la littérature rabbinique qui ont vécu entre 100 avant notre ère et 135 de l'ère chrétienne. Les occurrences de la forme courte Yose au cours de cette période s'élèvent donc à 24 (dont deux Yehose).
(4) Il existe plusieurs cas attestés où la même personne est connue à la fois sous la forme complète et sous la forme abrégée du nom, comme c'est le cas pour d'autres noms. Il ne semble pas y avoir de raison pour que quelqu'un portant le nom de Yehosef/Yosef n'ait pas également été appelé Yose, tandis que quelqu'un appelé Yose aurait sans aucun doute également utilisé la forme complète de son nom dans certains contextes, notamment juridiques. Si le même homme peut être appelé Yehosef et Yehose même sur son propre ossuaire (CIIP 352), il est tout à fait possible que le Yose d'un ossuaire de la tombe A de Talpiot (CIIP 475) soit la même personne que le Yehosef d'un autre ossuaire (CIIP 474).
(5) L'analyse des preuves montre que, comme pour d'autres noms, la forme courte de ce nom n'a jamais été utilisée sur les documents légaux et n'a pas eu tendance à être utilisée sur les ossuaires, bien qu'elle ait pu l'être. En fait, la forme courte est présente sur neuf ossuaires, ce qui fait de l'exemple de la tombe A de Talpiyot un cas inhabituel mais pas du tout remarquable.
(6) Les preuves de l'utilisation quotidienne de la forme courte comprennent les huit exemples rabbiniques, les deux exemples du Nouveau Testament et cinq autres : quinze au total. Étant donné qu'une grande partie de nos preuves concernant les noms de cette période provient de documents juridiques, d'ossuaires et de Josèphe (qui préfère aussi manifestement la forme formelle et complète du nom), il s'agit là d'une preuve assez solide de l'utilisation assez courante de Yose dans la vie de tous les jours. »
« [199] Arian le jeune, qui, comme nous l'avons dit, reçut le grand-pontificat, était d'un caractère fier et d'un courage remarquable ; il suivait, en effet, la doctrine les Sadducéens, qui sont inflexibles dans leur manière de voir si on les compare aux autres Juifs, ainsi que nous l'avons déjà montré. [200] Comme Anan était tel et qu'il croyait avoir une occasion favorable parce que Festus était mort et Albinus encore en route, il réunit un sanhédrin, traduisit devant lui Jacques, frère de Jésus appelé le Christ, et certains autres, en les accusant d'avoir transgressé la loi, et il les fit lapider. [201] Mais tous ceux des habitants de la ville qui étaient les plus modérés et les plus attachés à la loi en furent irrités et ils envoyèrent demander secrètement au roi d'enjoindre à Anan de ne plus agir ainsi, car déjà auparavant il s'était conduit injustement. [202] Certains d'entre eux allèrent même à la rencontre d'Albinus qui venait d'Alexandrie et lui apprirent qu'Anan n'avait pas le droit de convoquer le sanhédrin sans son autorisation. [203] Albinus, persuadé par leurs paroles, écrivit avec colère à Anan en le menaçant de tirer vengeance de lui. Le roi Agrippa lui enleva pour ce motif le grand-pontificat qu'il avait exercé trois mois et en investit Jésus, fils de Damnaios. »
« Il est interdit de transférer un cadavre ou des ossements d'un lieu d'honneur à un autre, ou d'un lieu de honte à un lieu d'honneur, et il va sans dire d'un lieu d'honneur à un lieu de honte ; mais dans la propriété [du mort], il est permis [de transférer] même d'un lieu d'honneur à un lieu de honte, parce que c'est à son honneur. »
« James Charlesworth, Princeton Theological Seminary: « Thus we may discern: HNOJ. Since Hebrew is written right to left, we may recognize: JONH. »
Robert Deutsch, épigraphiste : « Self-evident "Yonah". I don't know if it's a fish or an amphora, I have to see it, but the inscription is made intentionally and is not just a decoration. »
James D. Tabor, University of North Carolina (UNC) Charlotte: « I believe it says Yonah, very clearly. The implications are huge. I still believe we have the stick figure, but ingeniously made into the name as well. The artist is telling us what he/she wants us to understand – this is Yonah! »
Haggai Misgav, Hebrew University of Jerusalem: « [I read it as] ZYLH – Zilah or Zoilah, a Greek feminine name. A woman from Jerusalem, probably Jew, that died in the first century. [The image] is an amphora. I've seen a lot of amphorae on ossuaries. I don't think it has any meaning. »
Christopher Rollston, Emmanuel Christian Seminary: « I've looked at the photographs really carefully. The name Jonah is simply not there. It's really ridiculous. They are etchings that are part of the amphora. There are no letters. » »
« (...) [4] Jacques, le frère du Seigneur, reçut l'administration de l'Église avec les apôtres. Depuis les temps du Christ jusqu'à nous, il a été surnommé le Juste parce que beaucoup s'appelaient Jacques. [5] Il fut sanctifié dès le sein de sa mère : il ne buvait ni vin ni boisson enivrante, ne mangeait rien qui ait eu vie ; le rasoir n'était jamais passé sur sa tête ; il ne se faisait jamais oindre et s'abstenait des bains. [6] À lui seul il était permis d'entrer dans le sanctuaire ; car ses habits n'étaient pas de laine, mais de lin. Il entrait seul dans le Temple et on l'y trouvait à genoux demandant pardon pour le peuple. La peau de ses genoux était devenue dure comme celle des chameaux, parce qu'il était constamment prosterné adorant Dieu et demandant pardon pour le peuple. [7] Du reste, son éminente justice le faisait appeler le Juste et Oblias, c'est-à-dire en grec rempart du peuple et justice, selon que les prophètes le montrent à son sujet. [8] Certains membres des sectes, qui existaient au nombre de sept dans le peuple juif, et dont nous avons parlé plus haut [dans les Mémoires] demandèrent à Jacques quelle était la porte de Jésus. Il répondit que Jésus était le Sauveur. [9] Quelques-uns d'entre eux se laissèrent convaincre qu'il était le Christ, mais les sectes susdites ne voulurent pas croire qu'il fût ressuscité, ni qu'il dût venir pour rendre à chacun selon ses œuvres ; en tout cas, ceux qui avaient la foi la tenaient de Jacques. (...) »
« (...) [17] Cependant ils l'accablaient de pierres; et un des prêtres, des fils de Rechab, fils de Rechabim auxquels le prophète Jérémie a rendu témoignage, s'écriait: « Arrêtez, que faites-vous? Le Juste prie pour vous. » [18] Alors un foulon qui se trouvait parmi eux prit le bâton avec lequel il foulait les étoffes et frappa le juste à la tête. Ce fut ainsi que Jacques fut martyrisé. On l'ensevelit sur place près du temple, où l'on voit encore aujourd'hui s'élever son monument. Il ail donné aux Juifs et aux Grecs le témoignage véridique que Jésus est le Christ. Et bientôt après, Vespasien les assiégea. (...) »
« Le tableau [VI-1] indique également que les inscriptions masculines représentent presque le double des inscriptions féminines. »