Tombeau de Talpiot (French Wikipedia)

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  • Pour une approche élargie des débats relatifs à la lecture des inscriptions sur les ossuaires n° 46.173 et n° 46.174, ainsi que l'interprétation des motifs gravés ou tracés dessus, on lira également l'article d'Erich Dinkler, Zur Geschichte des Kreuzsymbols, paru dans Zeitschrift für Theologie und Kirche, Vol. 48, No. 2 (1951), pp. 148-172 ; l'article de John P. Kane By No Means ‘The Earliest Records of Christianity’ — With an Emended Reading of the Talpioth Inscription IHΣOγΣ IOγ, paru dans Palestine Exploration Quarterly, no 103, 1971, pp. 103-108 ; l'article de Berndt Gustafsson, The Oldest Graffiti in the History of the Church?, publié dans New Testament Studies , Volume 3 , Issue 1 , November 1956 , pp. 65 - 69 ; l'article de Duncan Fushwick, The Talpiot Ossuaries Again, paru dans New Testament Studies, Volume 10, 1963-1964, pp. 49-61.
  • François Bovon, « Le Privilège Pascal de Marie-Madeleine », New Testament Studies,‎ , p. 50-62, et en particulier pages 57-58 ainsi que la note 64 page 62. (lire en ligne Accès payant [PDF]) :

    « François Bovon explique, pages 57 et 58 :

    « Le récit débute, je l'ai dit, par la répartition des destinations missionnaires et l'auteur ajoute : « Lorsque Philippe entendit le nom du pays et de la ville qui lui étaient échus, il trouva la chose rude et il se mit à pleurer et à gémir. » Et de poursuivre: « Voyant ses pleurs, le Sauveur se tourna vers lui, avec Jean et Mariamne, la sœur de Philippe. » Et de donner cette indication curieuse reflétant la responsabilité et l'autorité, pour ne pas dire le privilège de cette femme : « C'est elle qui détenait le registre (ή άναγραϕή) des pays et c'est elle qui préparait le pain et le sel et la fraction du pain ; Marthe, pour sa part, servait la multitude et peinait beaucoup. Mariamne parla au Sauveur en faveur de Philippe qui était affligé par le choix de la ville où il était envoyé. » [Note 64] Voici la réponse du Seigneur : « Je sais que tu es bonne et vaillante en ton âme et bénie parmi les femmes ; voila qu'une mentalité de femme a gagné Philippe, tandis qu'habite en toi une mentalité virile et vaillante. »

    Après avoir donné l'ordre à Mariamne d'accompagner Philippe, le Christ lui transmet cet ordre : « Quant a toi, Mariamné, change de costume et d'apparence : dépouille tout ce qui, dans ton extérieur, rappelle la femme, la robe d'été que tu portes, ne laisse pas la frange de ton vêtement traîner par terre... »

    Ces quelques citations auront montré que la Μαριάμνη des APh [i.e. Actes de Philippe] s'inscrit dans le sillage des témoignages hétérodoxes de notre seconde partie, preuve supplémentaire de la survie des traditions gnostiques et indice des lectures fort peu canoniques des moines du IVe siècle, surtout des moines apotactites d'Asie. Trois traits nouveaux apparaissent : 1° Non seulement Mariamne encourage les apôtres a prendre le risque de la mission, mais elle détient elle-même le registre des régions à évangéliser ; 2° Mariamne est présentée comme la sœur de Philippe ; 3° elle accompagne, par ailleurs, son frère en voyage et se tient a ses cotés durant son martyre. Mais ces éléments inédits n'éclipsent pas les caractères traditionnels qui ont donc eu la vie dure ; ils ont plutôt tendance a les souligner en les compliant.

    Nous voici au terme de notre percée qui, du Ier siècle, nous a acheminés au IVe siècle. Le temps mais non l'envie me manque pour examiner si la survie médiévale de Marie-Madeleine dérive de la Bible ou des relectures apocryphes. »

    Note 64, page 62 :

    « [64] Ibid. L'auteur paraît admettre que Mariamne est la sœur de Marthe. II assimile donc, comme beaucoup d'autres, Marie-Madeleine et Marie, sœur de Marthe. A. Harnack, op. cit. (n. 41), p. 17 attire l’attention sur un curieux passage de la Constitution ecclésiastique des Apôtres, 26, qui va dans le sens inverse de ce passage des Actes de Philippe ; après avoir rappelé que lors de l'institution de la Cène, le Maître avait interdit aux deux femmes de se tenir aux côtés des Douze, l'auteur introduit un petit dialogue: « Marthe dit : "C'est à cause de Marie, parce qu'il (elle ?) l’a vue sourire." Marie répondit : "Je n'ai pas encore ri." » Comme c'est Jean qui est censé parler au paragraphe 26, il faut sans doute, avec A. Harnack, admettre que ce curieux dialogue entre les deux femmes constitue une parenthèse. Le texte se poursuit ainsi : « II nous prédisait, lorsqu'il enseignait, que le faible serait sauvé par le fort. » Sur ce passage, cf. A. Harnack, Die Quellen der sogenannten Apostolischen Kirchenordnung… (TU 2, 5) (Leipzig, 1886), p. 28-31. Parmi les diverses éditions de la Constitution ecclésiastique des Apôtres, j'ai consulté celle de A. Harnack, Die Lehre der zwölf Aposiel nebst Untersuchungen zur altesten Geschichte der Kirchenverfassung und des Kirchenrechts. Anhang: ein iibersehenes Fragment der ΔIΔAXH in alter lateinischer Ubersetzung mitgeteilt von O. v. Gebhaidt (Leipzig, 1884), p. 236 qui indique dans l'apparat critique en traduction latine la version éthiopienne ; il faut lire aussi aux p. 214-16 la longue n. 37. Bibliographie sur cet écrit, cf. J. Quasten, Initiation aux Pires de I ‘Église, trad. fr. pai J. Laporte, II (Paris, 1959), p. 143-4. II faudrait examiner tous les textes qui interdisent aux femmes de prêcher et de dispenser les sacrements. Certains doivent mentionner que la règle s'applique malgré la présence de femmes, telle Marie-Madeleine aux côtés de Jésus et des disciples, ainsi les Constitutions Apostoliques, III, 5, 6, ed. F. X. Funk, Didascalia et Constitutiones apostolorum, I (Paderborn, 1905) (reprint Torino 1964), p. 190-1. » »

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  • André Lemaire, « L’ossuaire de Jacques, frère de Jésus » Accès libre, sur clio.fr (consulté le ) : « L’ossuaire lui-même est une sorte de caisse de calcaire tendre d’environ 2,5 centimètres d’épaisseur, avec un couvercle glissant sur des bords intérieurs d’environ 0,6 centimètre taillés dans le bord supérieur. La décoration est en partie érodée. On discerne une ligne d’encadrement à environ 1,2 centimètre des bords et sur le long côté opposé à celui de l’inscription, les restes de deux rosaces incisées dans le calcaire tendre, motif décoratif classique des ossuaires. De plus, au musée de Toronto, la restauratrice a noté la présence de quelques restes d’enduit rouge, très souvent présent sur les ossuaires de cette époque. Cette caisse présente une forme trapézoïdale, plus longue en haut (56 centimètres) qu’en bas (50,5 centimètres), sur une hauteur de 30,5 centimètres et une largeur de 25 centimètres. Ces dimensions sont conformes aux dimensions habituelles des ossuaires d’adultes alors que les ossuaires d’enfants ou d’adolescents sont généralement plus petits. ».
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    « Pages 274 à 278 : « Le Messie juif de la fin de la période du Second Temple était conçu comme une figure terrestre pleinement humaine, bien qu'il soit possible que plusieurs messies remplissent des rôles différents et généralement distincts : royal, sacerdotal et prophétique. De nombreux Juifs s'attendaient à ce que le Messie royal descende de la maison de David et naisse donc à Bethléem, conformément à la prophétie biblique. Même la secte de Qumran, qui prévoyait un deuxième messie (sacerdotal), et peut-être un troisième messie prophétique, identifiait le messie royal comme davidique. Comme le remarque John Collins, « ce concept du messie davidique en tant que roi guerrier qui détruirait les ennemis d'Israël et instaurerait une ère de paix sans fin constitue le noyau commun du messianisme juif au tournant de cette ère ». (...) En tant que demi-Juif iduméen nommé roi de Judée par les Romains, Hérode n'était pas un « Juif authentique », pas plus qu'il n'était d'ascendance davidique ou sacerdotale. Par conséquent, une grande partie de la population juive l'aurait considéré comme un roi illégitime. Hérodium [la colline artificielle sur laquelle Hérode fit ériger son tombeau, juste en face de Bethléem] est la réponse d'Hérode aux défis posés par sa légitimité. (...) Schalit a proposé qu'Hérode - qui dirigeait un royaume de David et de Salomon ressuscité - ait reconstruit le temple de Jérusalem pour se rattacher à Salomon et démontrer qu'il jouissait de la faveur de Dieu. Par ces actions, Hérode s'est présenté comme l'accomplissement de la prophétie biblique en tant que messie davidique, conformément à la volonté de Dieu. (...) Sous Hérode - incarnation du Messie davidique - le royaume biblique est renouvelé, le temple de Jérusalem est restauré dans la gloire qui était la sienne sous Salomon, et le royaume de Dieu est établi sur terre. (...) Jacob Neusner observe : « Alors qu'Hérode lui-même était un Iduméen, il devint politiquement opportun pour lui de prétendre que sa famille était issue de l'exil babylonien. A cette époque et par la suite, il était courant pour tout prétendant au pouvoir légitime en Israël d'affirmer qu'il était d'origine davidique. Pour Hérode, la revendication d'une origine babylonienne donnait un fondement plus raisonnable à la revendication supplémentaire d'une descendance davidique que celui dont disposait un Iduméen. » »

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    « James Charlesworth, Princeton Theological Seminary: « Thus we may discern: HNOJ. Since Hebrew is written right to left, we may recognize: JONH. »

    Robert Deutsch, épigraphiste : « Self-evident "Yonah". I don't know if it's a fish or an amphora, I have to see it, but the inscription is made intentionally and is not just a decoration. »

    James D. Tabor, University of North Carolina (UNC) Charlotte: « I believe it says Yonah, very clearly. The implications are huge. I still believe we have the stick figure, but ingeniously made into the name as well. The artist is telling us what he/she wants us to understand – this is Yonah! »

    Haggai Misgav, Hebrew University of Jerusalem: « [I read it as] ZYLH – Zilah or Zoilah, a Greek feminine name. A woman from Jerusalem, probably Jew, that died in the first century. [The image] is an amphora. I've seen a lot of amphorae on ossuaries. I don't think it has any meaning. »

    Christopher Rollston, Emmanuel Christian Seminary: « I've looked at the photographs really carefully. The name Jonah is simply not there. It's really ridiculous. They are etchings that are part of the amphora. There are no letters. » »

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    « Pages 274 à 278 : « Le Messie juif de la fin de la période du Second Temple était conçu comme une figure terrestre pleinement humaine, bien qu'il soit possible que plusieurs messies remplissent des rôles différents et généralement distincts : royal, sacerdotal et prophétique. De nombreux Juifs s'attendaient à ce que le Messie royal descende de la maison de David et naisse donc à Bethléem, conformément à la prophétie biblique. Même la secte de Qumran, qui prévoyait un deuxième messie (sacerdotal), et peut-être un troisième messie prophétique, identifiait le messie royal comme davidique. Comme le remarque John Collins, « ce concept du messie davidique en tant que roi guerrier qui détruirait les ennemis d'Israël et instaurerait une ère de paix sans fin constitue le noyau commun du messianisme juif au tournant de cette ère ». (...) En tant que demi-Juif iduméen nommé roi de Judée par les Romains, Hérode n'était pas un « Juif authentique », pas plus qu'il n'était d'ascendance davidique ou sacerdotale. Par conséquent, une grande partie de la population juive l'aurait considéré comme un roi illégitime. Hérodium [la colline artificielle sur laquelle Hérode fit ériger son tombeau, juste en face de Bethléem] est la réponse d'Hérode aux défis posés par sa légitimité. (...) Schalit a proposé qu'Hérode - qui dirigeait un royaume de David et de Salomon ressuscité - ait reconstruit le temple de Jérusalem pour se rattacher à Salomon et démontrer qu'il jouissait de la faveur de Dieu. Par ces actions, Hérode s'est présenté comme l'accomplissement de la prophétie biblique en tant que messie davidique, conformément à la volonté de Dieu. (...) Sous Hérode - incarnation du Messie davidique - le royaume biblique est renouvelé, le temple de Jérusalem est restauré dans la gloire qui était la sienne sous Salomon, et le royaume de Dieu est établi sur terre. (...) Jacob Neusner observe : « Alors qu'Hérode lui-même était un Iduméen, il devint politiquement opportun pour lui de prétendre que sa famille était issue de l'exil babylonien. A cette époque et par la suite, il était courant pour tout prétendant au pouvoir légitime en Israël d'affirmer qu'il était d'origine davidique. Pour Hérode, la revendication d'une origine babylonienne donnait un fondement plus raisonnable à la revendication supplémentaire d'une descendance davidique que celui dont disposait un Iduméen. » »

  • (en) E. Netzer, Y. Kalman, R. Porath et R. Chachy-Laureys, « Preliminary report on Herod’s mausoleum and theatre with a royal box at Herodium », Journal of Roman Archaeology, vol. 23,‎ , p. 84-108 (ISSN 1047-7594, e-ISSN 2331-5709, lire en ligne Inscription nécessaire [PDF])
  • (en) Eleazar Lipa Sukenik, « The Earliest Records of Christianity », American Journal of Archaeology, vol. 51, no 4,‎ , p. 351-365 (ISSN 0002-9114, e-ISSN 1939-828X, lire en ligne Inscription nécessaire [PDF])
  • (en) Eleazar Lipa Sukenik, « The Earliest Records of Christianity », American Journal of Archaeology, vol. 51, no 4,‎ octobre-décembre 1947, p. 351-365, p. 353 (ISSN 0002-9114, e-ISSN 1939-828X, lire en ligne Inscription nécessaire)
  • Rainer Riesner, « Ein falsches Jesus-Grab, Maria Magdalena und kein Ende », Theologische Beiträge,‎ , p. 296-299 (ISSN 0342-2372, lire en ligne Accès libre [PDF])
  • La traduction « de Mariamne [qui est aussi appelée] Mara » est erronée (Mariamne étant selon l'apocryphe Évangile selon Philippe un nom de la figure légendaire de Marie de Magdala). Source : (en) Stephen J. Pfann, « Mary Magdalene has left the room: a suggested new reading of ossuary CJO 701 », Near Eastern Archaeology, vol. 69, nos 3-4,‎ , p. 130-131 (ISSN 1094-2076).
  • (en) Stephen J. Pfann, « Mary Magdalene Has Left the Room. A Suggested New Reading of Ossuary CJO 701 », Near Eastern Archaeology, vol. 69: 3-4,‎ , p. 130-131 (ISSN 1094-2076, lire en ligne Accès libre [PDF])
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  • Le Talmud de Babylone contient deux passages relatifs aux onctions royales et sacerdotales : Horayot, f° 12a : « ת"ר כיצד מושחין את המלכים כמין נזר ואת הכהנים כמין כי מאי כמין כי אמר רב מנשיא בר גדא כמין כף יוני » (« Nos rabbins enseignèrent : "Comment oignent-ils les rois ? En forme de couronne. Et les prêtres ? En forme de chi." Que signifie en forme de chi ? Rabbi Menashia bar Gada dit : "Une sorte de kaf grec." ») S'agissant de ce passage, l'Encyclopedia Judaica (lire en ligne) observe qu'il est probable que, « en raison de leur opposition à la croix chrétienne, les interprètes juifs aient adopté la forme du kaph au lieu de la forme χ - le tav original d'Ezek. ix. 4 ». Sans être équivalent au tav du paléo-hébreu, la graphie du kaph (𐤊) de ce même alphabet s'approche encore du chi grec. Keritot, f° 5b : « ת"ר מושחין את המלכים כמין נזר ואת הכהנים כמין כי אמר רב מנשיה כמין כי יוני תני חדא בתחלה מציק שמן על ראשו ואחר כך נותן לו שמן בין ריסי עיניו ותני אחריתי בתחלה נותן לו שמן בין ריסי עיניו ואחר כך מציק לו שמן על ראשו » (« Les Sages ont enseigné dans une baraita : "On oint les rois en plaçant l'huile autour de la tête dans une forme semblable à une couronne, et on oint les grands prêtres en plaçant l'huile sur la tête dans une forme semblable à chi." Pour expliquer cette affirmation, Rav Menashya dit : "Elle est placée dans une forme similaire à la lettre grecque chi, qui ressemble à la lettre Χ." Cela est enseigné dans une baraita : "On verse d'abord de l'huile sur la tête du grand prêtre, puis on met de l'huile entre ses cils." Et il est enseigné dans une autre baraita : "D'abord, on met de l'huile entre ses cils, et ensuite on met de l'huile sur sa tête." Les baraitot se contredisent. »)

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  • Pour une approche élargie des débats relatifs à la lecture des inscriptions sur les ossuaires n° 46.173 et n° 46.174, ainsi que l'interprétation des motifs gravés ou tracés dessus, on lira également l'article d'Erich Dinkler, Zur Geschichte des Kreuzsymbols, paru dans Zeitschrift für Theologie und Kirche, Vol. 48, No. 2 (1951), pp. 148-172 ; l'article de John P. Kane By No Means ‘The Earliest Records of Christianity’ — With an Emended Reading of the Talpioth Inscription IHΣOγΣ IOγ, paru dans Palestine Exploration Quarterly, no 103, 1971, pp. 103-108 ; l'article de Berndt Gustafsson, The Oldest Graffiti in the History of the Church?, publié dans New Testament Studies , Volume 3 , Issue 1 , November 1956 , pp. 65 - 69 ; l'article de Duncan Fushwick, The Talpiot Ossuaries Again, paru dans New Testament Studies, Volume 10, 1963-1964, pp. 49-61.

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    « Mon examen détaillé de toutes les preuves concernant le nom Joseph dans toutes ses variantes et formes abrégées (...) me permet d'apporter les éléments de réponse suivants.

    (1) Yose (יוסה, יסה, יסה, Ἰωσῆς, Ἰωσή, Ἰωσε, Ἰoσε, Ἰωσίας, Ἰωσίς) est une forme courte du nom Yehosef/Yosef. En outre, la forme hébraïque rare Yehose (יהוסה, יהסה) ne peut pas vraiment être traitée séparément, car il n'y a aucun moyen de savoir si les exemples grecs enregistrés reflètent l'hébreu/araméen Yose ou Yehose (la distinction ne peut pas être faite en lettres grecques), et il se peut qu'il y ait eu peu de différence dans la prononciation entre Yose et Yehose. Au total, il y a seize occurrences de la forme courte du nom pour la période allant de 100 avant notre ère à 135 de notre ère dans des sources autres que les sources rabbiniques.

    (2) יוסה et יוסי sont respectivement les orthographes araméenne et hébraïque de la même forme courte du nom Joseph, prononcée de manière identique (Yôsê). L'orthographe originale dans la Mishna était probablement יוסה, et il se peut que cela ait été le cas dans la littérature rabbinique palestinienne antérieure en général. Il n'y a donc même pas de différence orthographique entre ce que la Mishna appelle les personnes de ce nom et la forme courte telle qu'elle apparaît dans les sources de la période du Second Temple.

    (3) Malgré l'affirmation de [James] Tabor selon laquelle « les sages portant ce surnom sont presque toujours du milieu de la fin du deuxième siècle de l'ère chrétienne et au-delà », il y a en fait huit personnes portant ce nom dans la littérature rabbinique qui ont vécu entre 100 avant notre ère et 135 de l'ère chrétienne. Les occurrences de la forme courte Yose au cours de cette période s'élèvent donc à 24 (dont deux Yehose).

    (4) Il existe plusieurs cas attestés où la même personne est connue à la fois sous la forme complète et sous la forme abrégée du nom, comme c'est le cas pour d'autres noms. Il ne semble pas y avoir de raison pour que quelqu'un portant le nom de Yehosef/Yosef n'ait pas également été appelé Yose, tandis que quelqu'un appelé Yose aurait sans aucun doute également utilisé la forme complète de son nom dans certains contextes, notamment juridiques. Si le même homme peut être appelé Yehosef et Yehose même sur son propre ossuaire (CIIP 352), il est tout à fait possible que le Yose d'un ossuaire de la tombe A de Talpiot (CIIP 475) soit la même personne que le Yehosef d'un autre ossuaire (CIIP 474).

    (5) L'analyse des preuves montre que, comme pour d'autres noms, la forme courte de ce nom n'a jamais été utilisée sur les documents légaux et n'a pas eu tendance à être utilisée sur les ossuaires, bien qu'elle ait pu l'être. En fait, la forme courte est présente sur neuf ossuaires, ce qui fait de l'exemple de la tombe A de Talpiyot un cas inhabituel mais pas du tout remarquable.

    (6) Les preuves de l'utilisation quotidienne de la forme courte comprennent les huit exemples rabbiniques, les deux exemples du Nouveau Testament et cinq autres : quinze au total. Étant donné qu'une grande partie de nos preuves concernant les noms de cette période provient de documents juridiques, d'ossuaires et de Josèphe (qui préfère aussi manifestement la forme formelle et complète du nom), il s'agit là d'une preuve assez solide de l'utilisation assez courante de Yose dans la vie de tous les jours. »

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  • (en) Tsadok Tsach, Nir Finkelstein et Nikolai Volkov, « The James Ossuary - A Forensic Inquiry », Journal of Historical Archaeology & Anthropological Sciences, vol. 2, no 1,‎ , p. 1-6 (lire en ligne Inscription nécessaire [PDF], consulté le )

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  • (he) Zvi Ilan, « חרדים מונעים הוצאת גלוםקמאות מקבר עתיק » [« Les ultra-orthodoxes empêchent le retrait des ossuaires d'une tombe ancienne »], Davar,‎ , p. 8 (L'article se trouve en haut à gauche de la page 8, sur trois colonnes. Il enjambe un encadré en fausse justification sur une colonne. Il s'appuie sur sa droite contre la photo d'actualité de la page., lire en ligne Accès libre [PDF])

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  • André Lemaire, « Trois inscriptions araméennes sur ossuaire et leur intérêt historique », Comptes rendus des séances de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres,‎ , p. 301-319 (ISSN 1969-6663, lire en ligne Accès libre [PDF])

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  • Flavius Josèphe, Antiquités judéennes, vol. XX (lire en ligne), § 199-203 :

    « [199] Arian le jeune, qui, comme nous l'avons dit, reçut le grand-pontificat, était d'un caractère fier et d'un courage remarquable ; il suivait, en effet, la doctrine les Sadducéens, qui sont inflexibles dans leur manière de voir si on les compare aux autres Juifs, ainsi que nous l'avons déjà montré. [200] Comme Anan était tel et qu'il croyait avoir une occasion favorable parce que Festus était mort et Albinus encore en route, il réunit un sanhédrin, traduisit devant lui Jacques, frère de Jésus appelé le Christ, et certains autres, en les accusant d'avoir transgressé la loi, et il les fit lapider. [201] Mais tous ceux des habitants de la ville qui étaient les plus modérés et les plus attachés à la loi en furent irrités et ils envoyèrent demander secrètement au roi d'enjoindre à Anan de ne plus agir ainsi, car déjà auparavant il s'était conduit injustement. [202] Certains d'entre eux allèrent même à la rencontre d'Albinus qui venait d'Alexandrie et lui apprirent qu'Anan n'avait pas le droit de convoquer le sanhédrin sans son autorisation. [203] Albinus, persuadé par leurs paroles, écrivit avec colère à Anan en le menaçant de tirer vengeance de lui. Le roi Agrippa lui enleva pour ce motif le grand-pontificat qu'il avait exercé trois mois et en investit Jésus, fils de Damnaios. »

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  • (en) Aryeh E. Shimron, Moshe Shirav, Kevin T. Kilty, Ludwik Halicz, Rolf B. Pedersen et Harald Furnes, « The Geochemistry of Intrusive Sediment Sampled from the 1st Century CE Inscribed Ossuaries of James and the Talpiot Tomb, Jerusalem », sur scirp.org, (consulté le ).
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  • [Texte hébreu in « Talmud Bavli », ed. Vilna, 1883 ; Traduction anglaise de l'hébreu sur le site Sefaria.org tirée de « The Minor Tractates of the Talmud », par A. Cohen, Londres, Soncino Press, 1965.] (en) The Minor Tractates of the Talmud : Tractate Semachot, Londres, Vilna, (lire en ligne), chap. 13 §7 :

    « Il est interdit de transférer un cadavre ou des ossements d'un lieu d'honneur à un autre, ou d'un lieu de honte à un lieu d'honneur, et il va sans dire d'un lieu d'honneur à un lieu de honte ; mais dans la propriété [du mort], il est permis [de transférer] même d'un lieu d'honneur à un lieu de honte, parce que c'est à son honneur. »

    « Semachot » (« Occasions joyeuses », un nom euphémique) est l'un des traités mineurs, ou ouvrages rédigés dans le style de la « Mishna » sur des sujets pour lesquels il n'existe pas de traité spécifique dans la « Mishna » ou le « Talmud ». Il traite des lois relatives à la mort, depuis le moment de la mort jusqu'à l'enterrement, la conduite du cimetière et le deuil. L'ouvrage a été compilé entre le troisième et le huitième siècle et était à l'origine connu sous le titre de « Evel Rabbati ». Il est souvent cité dans les sections pertinentes des codes juridiques ultérieurs tels que le « Tur » et le « Shulchan Arukh ».

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  • (en) Michael Posner, « U of T scientist puts odds on lost tomb » Accès libre, sur theglobeandmail.com, (ISSN 0319-0714, e-ISSN 1196-2607, consulté le ).
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  • (en) Michael Posner, « Ancient ossuary hints at earliest reference to resurrection of Jesus », The Globe and Mail,‎ (ISSN 0319-0714, e-ISSN 1196-2607, lire en ligne Accès libre) :

    « James Charlesworth, Princeton Theological Seminary: « Thus we may discern: HNOJ. Since Hebrew is written right to left, we may recognize: JONH. »

    Robert Deutsch, épigraphiste : « Self-evident "Yonah". I don't know if it's a fish or an amphora, I have to see it, but the inscription is made intentionally and is not just a decoration. »

    James D. Tabor, University of North Carolina (UNC) Charlotte: « I believe it says Yonah, very clearly. The implications are huge. I still believe we have the stick figure, but ingeniously made into the name as well. The artist is telling us what he/she wants us to understand – this is Yonah! »

    Haggai Misgav, Hebrew University of Jerusalem: « [I read it as] ZYLH – Zilah or Zoilah, a Greek feminine name. A woman from Jerusalem, probably Jew, that died in the first century. [The image] is an amphora. I've seen a lot of amphorae on ossuaries. I don't think it has any meaning. »

    Christopher Rollston, Emmanuel Christian Seminary: « I've looked at the photographs really carefully. The name Jonah is simply not there. It's really ridiculous. They are etchings that are part of the amphora. There are no letters. » »

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  • (en) Simcha Jacobovici, « "I Never Saw Such a Tomb!" » Accès libre, sur blogs.timesofisrael.com, (consulté le ).

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  • (en) Amnon Rosenfeld, Howard R. Feldman, Wolfgang E. Krumbein, « The Authenticity of the James Ossuary », Open Journal of Geology,‎ , p. 69-78 (ISSN 2161-7570, e-ISSN 2161-7589, lire en ligne Accès libre [PDF])

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  • (en) Stephen J. Pfann, « Mary Magdalene Has Left the Room. A Suggested New Reading of Ossuary CJO 701 », Near Eastern Archaeology, vol. 69: 3-4,‎ , p. 130-131 (ISSN 1094-2076, lire en ligne Accès libre [PDF])

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bkv.unifr.ch

  • Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, vol. Livre II (lire en ligne), chap. 23 (« Comment Jacques, appelé le frère du Seigneur, fut martyr »), § 4 à 9 :

    « (...) [4] Jacques, le frère du Seigneur, reçut l'administration de l'Église avec les apôtres. Depuis les temps du Christ jusqu'à nous, il a été surnommé le Juste parce que beaucoup s'appelaient Jacques. [5] Il fut sanctifié dès le sein de sa mère : il ne buvait ni vin ni boisson enivrante, ne mangeait rien qui ait eu vie ; le rasoir n'était jamais passé sur sa tête ; il ne se faisait jamais oindre et s'abstenait des bains. [6] À lui seul il était permis d'entrer dans le sanctuaire ; car ses habits n'étaient pas de laine, mais de lin. Il entrait seul dans le Temple et on l'y trouvait à genoux demandant pardon pour le peuple. La peau de ses genoux était devenue dure comme celle des chameaux, parce qu'il était constamment prosterné adorant Dieu et demandant pardon pour le peuple. [7] Du reste, son éminente justice le faisait appeler le Juste et Oblias, c'est-à-dire en grec rempart du peuple et justice, selon que les prophètes le montrent à son sujet. [8] Certains membres des sectes, qui existaient au nombre de sept dans le peuple juif, et dont nous avons parlé plus haut [dans les Mémoires] demandèrent à Jacques quelle était la porte de Jésus. Il répondit que Jésus était le Sauveur. [9] Quelques-uns d'entre eux se laissèrent convaincre qu'il était le Christ, mais les sectes susdites ne voulurent pas croire qu'il fût ressuscité, ni qu'il dût venir pour rendre à chacun selon ses œuvres ; en tout cas, ceux qui avaient la foi la tenaient de Jacques. (...) »

  • Eusèbe de Césarée, citant Hégésipe, Histoire ecclésiastique, vol. Livre II (lire en ligne), chap. 23 (« Comment Jacques, appelé le frère du Seigneur, fut martyr »), § 10-18 ainsi que 19, 20 et 21-24. :

    « (...) [17] Cependant ils l'accablaient de pierres; et un des prêtres, des fils de Rechab, fils de Rechabim auxquels le prophète Jérémie a rendu témoignage, s'écriait: « Arrêtez, que faites-vous? Le Juste prie pour vous. » [18] Alors un foulon qui se trouvait parmi eux prit le bâton avec lequel il foulait les étoffes et frappa le juste à la tête. Ce fut ainsi que Jacques fut martyrisé. On l'ensevelit sur place près du temple, où l'on voit encore aujourd'hui s'élever son monument. Il ail donné aux Juifs et aux Grecs le témoignage véridique que Jésus est le Christ. Et bientôt après, Vespasien les assiégea. (...) »

web.archive.org

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en.wikipedia.org

wikisource.org

fr.wikisource.org

  • Le patronyme « Barsaba », qui signifie « fils de Saba », est également celui de deux disciples entrés dans la communauté judéo-chrétienne primitive après la Passion. Il s'agit de « Joseph dit Barsaba » (Ac 1,23) et de « Judas dit Barsaba » (Ac 15,22).

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nnp.wustl.edu

  • (en) Superior Stamp & Coin Co., Inc., The Abraham Bromberg Collection of Jewish Coins, Part II, 9478 West Olympic Boulevard Beverly Hills, CA 90212, United-States of America, Superior Stamp & Coin Co., Inc., , 174 p. (lire en ligne), p. 38-43
    Second volume du catalogue de la collection numismatique d'Abraham Bromberg, édité sans dépôt légal par la maison de ventes aux enchères Superior Stamp & Coin Co., Inc.. Les notices n° 395 à 404 reproduisent différentes versions de tétradrachmes en argent frappés durant la révolte de Shimon Bar Kochba avec un « tav » en forme de croix égale surplombant le temple de Jérusalem. Voir en particulier, page 40, les photographies des notices n° 398 et 399. Archivage numérique en ligne du catalogue par la Eric P. Newman Numismatic Education Society sur le site Newman Numismatic Portal (NNP), hébergé par la Washington University in St. Louis (Missouri).

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  • Simcha Jacobovici, « Interview d'Émile Puech » Accès libre [vidéo], sur YouTube, (consulté le ).
  • (he) Amos Kloner, « Burial Cave 1050 in East Talpiot » Accès libre [vidéo] (Conférence d'Amos Kloner en hébreu consacrée à la tombe n° 1050 (Talpiot B), le début de son intervention est sous-titrée en anglais.), sur youtube.com, (consulté le ).

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  • (en) Rachel Hachlili, Jewish Funerary Customs, Practices and Rites in the Second Temple Period, Leiden, Brill, coll. « Supplements to the Journal for the Study of Judaism » (no 94), , 588 p. (ISBN 978-90-04-12373-1, lire en ligne), p. 62-63
    À consulter pour une description exhaustive des différents types de fermetures de tombes.
  • (en) Rachel Hachlili (dir.), chap. 5 « Inscriptions : B. Personal Names, Nicknames and Family Names », dans Jewish Funerary Customs, Practices and Rites in the Second Temple Period, vol. 94, Leiden - Boston, Brill, coll. « Supplements to the Journal for the Study of Judaism », , 670 p. (ISBN 978-90-04-12373-1, ISSN 1384-2161, lire en ligne), p. 193-234
  • (en) Rachel Hachlili, Jewish Funerary Customs, Practices And Rites In The Second Temple Period, Leiden, Brill, coll. « Supplements to the Journal for the Study of Judaism » (no 94), , 588 p. (ISBN 978-9004123731, lire en ligne), p. 298-299 :

    « Le tableau [VI-1] indique également que les inscriptions masculines représentent presque le double des inscriptions féminines. »