Georges de Nédonchel, Des monnaies gallo-romaines, attribuées à Tournai in « Bulletins de la Société Historique et Littéraire de Tournai », Tome XI, Tournai, 1866, p. 122-138, [lire en ligne]
(nl) Van der Baan J. (dir), De Navorscher, Bij Frederick Muller, Amsterdam, 1857 (7e année), p. 96,[lire en ligne]
La recette est également utilisée par la Brasserie de Brunehaut sous l'appellation « Saint Martin » : [2]
cfwb.be
ecoles.cfwb.be
En effet, il n'est pas rare de voir le nom de la ville raccourci en TY. Les unités scoutes de Tournai utilisaient l'abréviation TY pour Tournai pour ensuite passer à l'abréviation ES pour Escaut lors du redécoupage régional de 1999 par la Fédération des Scouts de Belgique : par exemple, la « 9e TY » est devenue la « 29e Escaut ». De nombreux exemples existent : la Ville de Tournai l'utilise notamment pour indiquer sa propriété sur les panneaux routiers qu'elles louent aux citoyens, certaines associations comme le Cercle Astronomique de Tournai utilisent également l'abréviation de manière officielle (CATY).
Vieillard Françoise et Guyotjeannin Olivier (dir.), Conseils pour l'édition des textes médiévaux, Fascicule 1 (Conseils généraux), Éditions du CTHS, Collection : Orientations et méthodes, 2001, Paris, p. 50, (ISBN2-7355-0450-6), [présentation en ligne].
Euratlas.net : Mise en évidence de Turnaco sur la table de Peutinger
frank-timme.de
(de) Bernd Löhberg, Das "Itinerarium provinciarum Antonini Augusti" : Ein kaiserzeitliches Strassenverzeichnis des Römischen Reiches Überlieferung, Strecken, Kommentare, Karten, Berlin, Frank & Timme, , 422 p. (ISBN978-3-86596-085-6, présentation en ligne), p. 279
google.be
books.google.be
Cette appellation n'est désormais plus utilisée dans les grammaires françaises actuelles, il convient donc de se tourner vers les ouvrages de l'époque de Frédéric Hennebert. Selon le Journal grammatical (tome III, 1836), « on ne doit entendre par voyelle composée que la réunion de deux voyelles simples qui, ensemble, produisent un son, en perdant chacun celui qui leur est naturel, ainsi ai, ei, au, eu, ou, sont de cette espèce. » (Redler G.-N. (dir.), Journal grammatical, littéraire et philosophique de la langue française et des autres langues en général, 2e série, tome III, Paris, 1853, p. 28-29, [lire en ligne]). Aujourd'hui, on parle plutôt de digramme ou de « fausse diphtongue ».
Hennebert Frédéric, « Essai historico-philologique sur le nom de Tournai » in Mémoires de la Société historique et littéraire de Tournai, tome 1, Société historique et archéologique de Tournai, 1853, Tournai, p. 13-15, [lire en ligne].
Bozière Aimé-François-Joseph, Tournai Ancien et Moderne ou description historique et pittoresque de cette ville, de ses monuments, de ses institutions, depuis son origine jusqu'à nos jours, Adolphe Delmée éditeur, Tournai, 1864, p. 3, [Google Books].
Raepsaet Jean-Joseph, « Mémoire sur la démarcation des langues flamandes et wallonnes d'une partie de la Belgique » in Messager des sciences et des arts de la Belgique, Tome V, Imprimerie de Léonard Hebbelynck, Gand, 1837, p. 188-200, [lire en ligne].
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Adolphe Duchalais, Description des médailles gauloises faisant partie des collections de la bibliothèque royale, Paris, , 487 p. (OCLC13551944, lire en ligne), p. 207-211.
Chotin Alexandre-Guillaume, « Mémoire sur l'étymologie historique et l'orthographe des noms des villes, bourgs et hameaux de la province de Hainaut » in Mémoires et publications, IIe série, Tome IV, Société des sciences, des arts et des lettres du Hainaut, Mons, Imprimerie de Masquelier et Lamir, 1857, p. 315, [Google Books]
(nl) Japikse Nicolas, Bijdragen voor vaderlandsche geschiedenis en oudheidkunde, Tome III, Is. An. Nijhoff, Arnhem, 1842, p. 67.[Google Books]
Van der Elst C., « Notice ethnographique » in Messager des sciences historiques, ou Archives des Arts et de la Bibliographie de Belgique, Société Royale des Beaux-Arts et de Littérature de Gand, Gand, Imprimerie et lithographie de Léonard Hebbelynk, 1861, p. 59.[Google Books]
(nl) Maurits Gysseling, Toponymisch Woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en West-Duitsland (vóór 1226), Tongres, Belgisch Interuniversitair Centrum voor Neerlandistiek, (lire en ligne).
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preprod.lalibre.be
Laurent Dupuis, « Bienvenue en Wallonie picarde » dans La Libre, 24 juin 2009 [lire en ligne (page consultée le 17 novembre 2009)]
Verlinden Charles, Les origines de la frontière linguistique en Belgique et la colonisation franque, La Renaissance du Livre, Série « Notre passé », Bruxelles, 1955, 138 p., (OCLC23429827), [présentation en ligne].
Loicq Jean, « La toponymie ou science des noms de lieux. Son application au patrimoine celtique de l'Ardenne », Folia Electronica Classica, no 5, Louvain-la-Neuve, janvier-Juin 2003, [lire en ligne].
Glorieux Isabelle, « Tournai, une ville fondée par un soldat de Tullus Hostilius ? À propos des origines légendaires de la cité des Cinq clochers », Folia Electronica Classica, no 8, Louvain-la-Neuve, juillet-Décembre 2004, [lire en ligne].
univ-fcomte.fr
ista.univ-fcomte.fr
Deroc Antoine, Les monnaies gauloises d'argent de la vallée du Rhône, Les Belles Lettres, Paris, 1983, p. 47-48, [lire en ligne]
wallonie.be
lutgen.wallonie.be
Si le territoire de l'intercommunale est toujours dénommé « Tournaisis », l'intercommunale a décidé en juin 2009 d'actualiser sa signalétique en utilisant le concept de « Wallonie picarde ». L'action fut subventionnée à près de 80 % par la Région wallonne (65 000 € de subvention sur une action de 81 445 €) : [1]
worldcat.org
(de) Axel Persson, Staat und Manufaktur im Römischen Reiche, New York, Arno Press, coll. « Ancient economic history » (no 3), , 143 p. (ISBN978-0-405-12387-0, OCLC5353830), p. 70.
(en) Delamarre Xavier, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, Errance, coll. « Hespérides », , 2e éd., 440 p. (ISBN978-2-87772-237-7 et 978-2-877-72369-5, OCLC354152038)
Adolphe Duchalais, Description des médailles gauloises faisant partie des collections de la bibliothèque royale, Paris, , 487 p. (OCLC13551944, lire en ligne), p. 207-211.
Verlinden Charles, Les origines de la frontière linguistique en Belgique et la colonisation franque, La Renaissance du Livre, Série « Notre passé », Bruxelles, 1955, 138 p., (OCLC23429827), [présentation en ligne].