À noter que l'inspiration de la scène des hôtesses de l'air à l'accueil de cet hôtel trouve sa source dans les repérages — fait au « Jolly Hotel » de Trieste en Italie —, réalisés pour son film Le Stade de Wimbledon (2002) dont le documentaire Malus rend compte. Voir Malus (à la 10e minute) de Mathieu Amalric, constituant le bonus du film.